Le 20 juin 1792M. Lévy, 1864 - 259 pages |
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... jour encore , dans toutes les crises de la politique contemporaine . Par cette combinaison , nous croyons rendre un véritable service à cet immense public qui veut s'instruire , mais s'instruire rapidement , et qui trouvera dans les ...
... jour encore , dans toutes les crises de la politique contemporaine . Par cette combinaison , nous croyons rendre un véritable service à cet immense public qui veut s'instruire , mais s'instruire rapidement , et qui trouvera dans les ...
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... jour même de son avénement au trône , Louis XVI avait commencé cette longue série de tergiversations qui , après ... jours après avoir fait destituer son adversaire , le garde des sceaux Miromesnil ( avril 1787 ) ; Dumouriez se voyait ...
... jour même de son avénement au trône , Louis XVI avait commencé cette longue série de tergiversations qui , après ... jours après avoir fait destituer son adversaire , le garde des sceaux Miromesnil ( avril 1787 ) ; Dumouriez se voyait ...
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... jours de 1791 le renouvellement de la moitié de la muni- cipalité parisienne , et ce renouvellement y avait amené des individus pris dans d'autres classes , dans d'autres conditions sociales , et imbus naturellement d'autres idées que ...
... jours de 1791 le renouvellement de la moitié de la muni- cipalité parisienne , et ce renouvellement y avait amené des individus pris dans d'autres classes , dans d'autres conditions sociales , et imbus naturellement d'autres idées que ...
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... jour où on avait encore besoin de sa signature pour l'expédition de certains ordres et surtout pour la délivrance des poudres , il fut arrêté le 21 par les ordres du nouveau Comité de surveillance et de salut public , conduit à l'Abbaye ...
... jour où on avait encore besoin de sa signature pour l'expédition de certains ordres et surtout pour la délivrance des poudres , il fut arrêté le 21 par les ordres du nouveau Comité de surveillance et de salut public , conduit à l'Abbaye ...
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... jours d'août 1790 , qu'éclatèrent les désordres dont tous les actes d'indiscipline antérieurs n'avaient été que le prélude . La garnison de l'ancienne capitale de la Lorraine se composait d'un régiment de cavalerie ( mestre de camp ) ...
... jours d'août 1790 , qu'éclatèrent les désordres dont tous les actes d'indiscipline antérieurs n'avaient été que le prélude . La garnison de l'ancienne capitale de la Lorraine se composait d'un régiment de cavalerie ( mestre de camp ) ...
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Common terms and phrases
20 juin Acloque administrateurs de police amis André Chénier applaudissements armes arrêté avaient Barnave bataillon c'était Carrousel Château chef Chénier Collot-d'Herbois comité commandant général commission des Douze conseil général constitution constitutionnel corps municipal cortége crie Débats et Décrets Déclaration défilé demande députés devait directoire directoire du département Dumouriez écharpe faubourg Saint-Antoine Fayette fête foule gardes nationaux gauche hommes instant Jacobins jour Journal des Débats journée l'arrêté l'Assemblée nationale législative lettre liberté Louis XVI madame de Tourzel Madame Élisabeth magistrats maire Maubourg membres ment ministre monarque monsieur motion Mouchet n'avait Nancy nation officiers municipaux ordre passer patriotes personne Pétion pétition pétitionnaires peuple place populaire porte présenter président procureur général syndic Rapport rassemblement reine répond repondue quil Révolution Rochefoucauld Roederer Roland royal s'écrie Saint-Marcel Saint-Prix salle sans-culottes Santerre séance section serait Sergent Servan seul sieur Bouffart soldats de Châteauvieux sortir Suisses de Châteauvieux tion tribunes Tuileries Vergniaud Veto voiture
Popular passages
Page 56 - Salut, divin triomphe ! Entre dans nos murailles : Rends-nous ces guerriers illustrés Par le sang de Désille et par les funérailles De tant de Français massacrés. Jamais rien de si grand n'embellit ton entrée, Ni quand l'ombre de Mirabeau S'achemina jadis vers la voûte sacrée Où la gloire donne un tombeau ; Ni quand Voltaire mort et sa cendre bannie Rentrèrent aux murs de Paris, Vainqueurs du fanatisme et de la calomnie Prosternés devant ses écrits. Un seul jour peut atteindre à tant...
Page 172 - Paris, les hommes du 14 juillet viennent vous dénoncer un roi faussaire , coupable de haute trahison, indigne d'occuper plus longtemps le trône. Nos soupçons sur sa conduite sont enfin vérifiés, et nous demandons que le glaive de la justice frappe sa tête, afin que la punition qu'il mérite serve d'exemple à tous les tyrans. Si vous vous refusez encore à nos vœux, nos bras sont levés, et nous frapperons les traîtres partout où nous les trouverons, même parmi vous.
Page 170 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. Le Roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. Le Roi ignore quel sera le...
Page 71 - Mais toutes cesobjectionsdilatoiresn'empêchentpas la droite d'insister pour l'envoi de la lettre du général aux départements. Les interpellations les plus violentes s'entrecroisent, le tumulte arrive à son comble, lorsque Guadet, qui a réussi à s'emparer de la tribune, s'écrie : « Si un général peut nous dicter des lois, nous n'avons plus de Constitution : lorsque Cromwell tenait un pareil langage, la liberté était perdue en Angleterre. Je demande que la ' lettre du général soit renvoyée...
Page 68 - Il n'est plus temps de reculer, il n'ya même plus moyen de temporiser. La Révolution est faite dans les esprits : elle s'achèvera au prix du sang et sera cimentée par lui, si la sagesse ne prévient pas les malheurs qu'il est encore possible d'éviter.
Page 171 - Le roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public ; le roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter; mais il a besoin de dire à la nation française que la violence, à quelque excès qu'on veuille la porter, ne lui arrachera jamais un consentement à tout ce qu'il croira contraire à l'intérêt public.
Page 183 - L'enquête ordonnée par le directoire du département se trouvait donc à peu près complète. Pétion avait lui-même fourni sa justification en faisant imprimer un exposé de sa conduite. Seul, le procureur de la commune, Manuel, persistait à ne pas répondre aux injonctions réitérées qui lui étaient faites. Pressé par Rœderer, il avait eu l'insolence d'écrire que, le 20 juin, il n'avait passé qu'une heure aux Tuileries, sa place du matin et du soir étant à la maison commune, et qu'il...
Page 171 - Mais, comme représentant héréditaire de la nation française, il a des devoirs sévères à remplir, et s'il peut faire le sacrifice de son repos, il ne fera pas le sacrifice de ses devoirs. « Si ceux qui veulent renverser la monarchie ont besoin d'un crime de plus, ils peuvent le commettre ; dans l'état de crise où elle se trouve, le roi donnera à toutes les autorités constituées l'exemple du courage et de la fermeté, qui seuls peuvent sauver l'empire.
Page 141 - II a bien fait, f. — ! de le mettre, car nous aurions vu ce qu'il en serait arrivé — ; et, f ! s'il ne sanctionne pas les décrets sur les prêtres réfractaires et sur le camp des vingt mille hommes, nous reviendrons tous les jours , et c'est par là que nous le lasserons et que nous saurons nous faire craindre 1.
Page 213 - Passant de l'autre côté de la voiture, je demandai du silence, je l'obtins et je donnai aux citoyens lecture de ce décret; il fut applaudi. M. Dumas prit à l'instant le commandement de toutes les gardes qui jusqu'à ce moment avaient accompagné le roi. 11 y eut de la part de ces gardes une soumission admirable. C'était avec joie qu'elles reconnaissaient le chef militaire qui se plaçait à leur tête ; l'Assemblée l'avait désigné ; il semblait que c'était pour eux un objet sacré.