Histoire de la Révolution de France, pendant les dernières années du règne de Louis XVI, Volume 6 |
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Common terms and phrases
à-la-fois adressé affaires étrangères assemblée assignats auroit avoient avoit baron de Breteuil baron de Vioménil Bertrand de Moleville bonheur Brest Brissot Calonne Cavelier circonstances citoyens club des jacobins colonies comité confiance connoissance connoître constitution constitutionnel corps législatif déclaration décret d'accusation demande démarches dénonciation départemens département député devoir discours donner doute Duportail émigrés ennemis envoyé étoient étoit eût falloit fidèle force fût garde nationale guerre hommes j'ai j'avois j'étois jesté jour justice l'assem l'assemblée nationale l'électeur l'empereur l'empire l'état Lafayette Lessart lettre liberté lois madame de Staël majesté marine ment message messieurs mesures ministre des affaires mois monsieur Montmorin motifs moyens n'avoit n'étoit Narbonne nation française nistre notification novembre officiers patrie peuple pourroient pourroit pouvoir président prêtres princes projet public puissances étrangères rapport rassemblemens reconnoissance refus régiment de Châteauvieux rendre réponse révolution royaume s'étoient séance secours sentimens serment seroient seroit seul St.-Domingue sur-le-champ tion Trèves troupes
Popular passages
Page 151 - non pas le fer et la flamme, mais la liberté ! » C'est à eux de calculer quelles peuvent être les » suites du réveil des nations. Depuis deux ans » que les Français patriotes sont persécutés près » des frontières, et que les rebelles y trouvent » des secours, quel ambassadeur a parlé comme
Page 149 - N'applaudissez pas, n'applaudissez » pas, respectez mon enthousiasme, c'est celui » de la liberté. Disons donc à l'Europe, que tous » les combats que se livrent les peuples par » ordre des despotes, ressemblent aux coups que » deux amis excités par un instigateur perfide , » se portent dans l'obscurité ; si la clarté du jour .
Page 64 - prince français, est requis de » rentrer dans le royaume sous le délai de deux » mois, à compter du jour où la proclamation » du corps législatif aura été publiée dans la » ville de Paris, lieu actuel de ses séances. » Dans le cas où Louis-Stanislas-Xavier, prince
Page 34 - a fait le premier monarque du monde ; votre » amour pour elle placera votre majesté au rang » des rois les plus chéris, et le bonheur de la » nation vous rendra plus heureux. Forts de notre » réunion mutuelle, nous en sentirons bientôt » l'influence salutaire. Epurer la législation, » ranimer le crédit public , achever de
Page 376 - extraordinaires pourroient exiger dans le cours de l'année. La guerre ne peut être décidée que par un décret du corps législatif, rendu sur la proposition formelle et
Page 384 - de remplir. Croyez-moi, mon frère , repoussez les doutes qu'on voudroit vous donner sur ma liberté. Je vais prouver , par un acte bien solemnel , et dans une circonstance qui vous intéresse , que je puis 'agir librement. Prouvez-moi que vous êtes mon frère et Francais-, en cédant à mes instances. Votre véritable
Page 346 - L'assemblée nationale vient de me présenter l'acte constitutionnel qu'elle a décrété, et je me suis déterminé à l'accepter, parce que je dois le regarder comme le résultat des vœux de la grande majorité de la nation. Je m'empresse de faire part de cet événement à votre majesté , connoissant l'intérêt qu'elle prend à la prospérité de la monarchie
Page 343 - ses desseins ; cependant, c'est à cette même époque que les émigrations ont semblé s,e multiplier. Une foule de citoyens abandonnent leur pays et leur roi , et vont porter chez les nations voisines des richesses que. sollicitent les besoins de le.urs concitoyens. Ainsi, lorsque le roi cherche à rappeler la paix et le
Page 384 - pour tous les Français trompés , qui croient me servir en tenant la France entière dans une inquiétude et une agitation qui font le tourment de ma vie. La révolution est finie , la constitution est achevée, la France la veut , je la maintiendrai : c'est de son affermissement que dépend
Page 384 - II novembre 1791. Je vous ai écrit, mon frère ,-le 16 octobre dernier , et vous avez dû ne pas douter de mes véritables sentimens. Je suis étonné que ma lettre n'ait pas produit l'effet que je devois en attendre. Pour vous rappeler à vos devoirs , j'ai employé tous les motifs