Bibliothèque universelle des sciences, belles-lettres, et arts: Sciences et arts, Volume 63la Bibliothèque universelle, 1816 - Science |
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Page 90
... Cicéron ; et que s'identifiant avec ce Romain , dont il avoit la renommée , l'universalité de talens , et la passion pour la gloire , on croyoit entendre cet orateur tonner du haut de la tribune aux harangues , quand il disoit : Romains ...
... Cicéron ; et que s'identifiant avec ce Romain , dont il avoit la renommée , l'universalité de talens , et la passion pour la gloire , on croyoit entendre cet orateur tonner du haut de la tribune aux harangues , quand il disoit : Romains ...
Page 92
... Cicéron . Mais Cicéron vivoit au milieu de Rome , qui étoit le noble théâtre de l'éloquence . Mais Cicéron avoit été re- vêtu des plus éminentes magistratures de la ville éternelle . Et Voltaire , au contraire , Voltaire , loin des ...
... Cicéron . Mais Cicéron vivoit au milieu de Rome , qui étoit le noble théâtre de l'éloquence . Mais Cicéron avoit été re- vêtu des plus éminentes magistratures de la ville éternelle . Et Voltaire , au contraire , Voltaire , loin des ...
Page 217
... Cicéron ( 1 ) . En examinant un manuscrit de la Bibliothéque Am- brosienne , Mr. Majo s'aperçut que les vers de Sédulius qu'il contenoit , cachoient une écriture plus ancienne . Ce volume , de format in - 8 ° . ayant été déplié pour lui ...
... Cicéron ( 1 ) . En examinant un manuscrit de la Bibliothéque Am- brosienne , Mr. Majo s'aperçut que les vers de Sédulius qu'il contenoit , cachoient une écriture plus ancienne . Ce volume , de format in - 8 ° . ayant été déplié pour lui ...
Page 218
... Cicéron . Ce manuscrit est un de ceux que l'illustre cardinal Fréderic Borromée acheta , au commencement du 17 . siècle , du monastère de Bobio , pour enrichir la magni- fique bibliothèque qu'il fondoit à Milan . Le couvent de Bobio ...
... Cicéron . Ce manuscrit est un de ceux que l'illustre cardinal Fréderic Borromée acheta , au commencement du 17 . siècle , du monastère de Bobio , pour enrichir la magni- fique bibliothèque qu'il fondoit à Milan . Le couvent de Bobio ...
Page 219
... Cicéron donne des éloges à ses Mémoires , quoiqu'ils n'eussent plus de lecteurs de son temps ( 1 ) . Metella , mère du client de Cicéron , après la mort de son premier mari , avoit épousé Sylla . Une sœur de Scaurus le fils avoit épousé ...
... Cicéron donne des éloges à ses Mémoires , quoiqu'ils n'eussent plus de lecteurs de son temps ( 1 ) . Metella , mère du client de Cicéron , après la mort de son premier mari , avoit épousé Sylla . Une sœur de Scaurus le fils avoit épousé ...
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Common terms and phrases
Abyssinie aît Albanois Ali Pacha anglais auroit avoient avoit Bâle Belooches c'étoit chef cheval Cicéron Cléonyme Cockerell cœur composition connoissance connoître côté découverte devoit Dieu discours donner écrit enfans esclaves étoient étoit faisoit falloit famille femme Fernex fille fils fragmens frère Fronton général Gertrude gouvernement Grecs habitans homme Indous isles j'ai j'avois Java Javanois Joannina jour Khan l'assemblée l'auteur l'éducation l'isle langue législation lettres Littér long-temps Lucius Verus main Majo manière manuscrit marbre Marc-Aurèle Maures ment mille montagnes mort n'avoit Niobé nombre Nouv observations Ochiltree ouvrage Pacha parens parler paroît passer Pausanias pays Penn Pensylvanie père peuple Plaute poëte porte pourroit pouvoit Praxitèle pré première présent Prevesa prince principes quakers raison rente reste rien Rome Rudolph Scaurus Scopas sentiment seroient seroit seul sophismes sorte statue N.º Sumatra systême temple terre tête Thémiste tion Trikala trouve Verus visiter Voltaire voyage Wart Zambezé Zannoni
Popular passages
Page 23 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 26 - Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 27 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse.
Page 46 - ... médiocre et modeste dans ses mœurs ? Une grande ville fort peuplée d'artisans occupés à amollir les mœurs par les délices de la vie, quand elle est entourée d'un royaume pauvre et mal cultivé, ressemble à un monstre dont la tête est d'une grosseur énorme, et dont tout le corps, exténué et privé de nourriture, n'a aucune proportion avec cette tête. C'est le nombre du peuple et l'abondance des aliments qui font la vraie force et la vraie richesse d'un royaume.
Page 24 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 14 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 47 - C'est le nombre du peuple et l'abondance des aliments qui font la vraie force et la vraie richesse d'un royaume. Idoménée a maintenant un peuple innombrable et infatigable dans le travail, qui remplit toute l'étendue de son pays. Tout son pays n'est plus qu'une seule ville : Salente n'en est que le centre. Nous avons transporté...
Page 21 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 46 - Salente pendant mon absence ? d'où vient qu'on n'y remarque plus cette magnificence qui éclatoit par-tout avant mon départ ? Je ne vois plus ni or, ni argent, ni pierres précieuses; les habits sont simples ; les bâtiments qu'on fait sont moins vastes et moins ornés; les arts languissent; la ville est devenue une solitude.
Page 46 - ... une solitude. Mentor lui répondit en souriant : Avez-vous -remarqué l'état de la campagne autour de la ville? Oui ,• reprit Télémaque; j'ai vu par-tout le labourage en honneur, et les champs défrichés. Lequel vaut mieux, ajouta Mentor, ou une ville superbe en marbre, en or et en argent , avec une campagne négligée et stérile ; ou une campagne cultivée et fertile, avec une ville médiocre et modeste dans ses mœurs? Une grande ville fort peuplée d'artisans occupés à amollir les...