Oeuvres de J.J. Rousseau, Volume 5Werdet et Lequien, 1826 |
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... législation . Car l'acte primitif par lequel ce corps se forme et s'u- nit ne détermine rien encore de ce qu'il doit faire pour se conserver . la Ce qui est bien et conforme à l'ordre est LIVRE II , CHAPITRE V. 135 De la loi, 135-
... législation . Car l'acte primitif par lequel ce corps se forme et s'u- nit ne détermine rien encore de ce qu'il doit faire pour se conserver . la Ce qui est bien et conforme à l'ordre est LIVRE II , CHAPITRE V. 135 De la loi, 135-
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... législation ? De lui - même le peuple veut toujours le bien , mais de lui - même il ne le voit pas toujours . La volonté générale est tou- jours droite , mais le jugement qui la guide n'est pas toujours éclairé . Il faut lui faire voir ...
... législation ? De lui - même le peuple veut toujours le bien , mais de lui - même il ne le voit pas toujours . La volonté générale est tou- jours droite , mais le jugement qui la guide n'est pas toujours éclairé . Il faut lui faire voir ...
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... législation com- mence à décliner . On ignore durant combien de siècles l'institution de Lycurgue fit le bonheur des Spartiates avant qu'il fût question d'eux dans le reste de la Grèce . * Voyez le dialogue de Platon qui , dans les ...
... législation com- mence à décliner . On ignore durant combien de siècles l'institution de Lycurgue fit le bonheur des Spartiates avant qu'il fût question d'eux dans le reste de la Grèce . * Voyez le dialogue de Platon qui , dans les ...
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... législation ? Celui qui , se trouvant déjà lié par quelque union d'origine , d'intérêt ou de convention , n'a point encore porté le vrai joug des lois ; celui qui n'a ni coutumes , ni superstitions bien enracinées ; celui qui ne craint ...
... législation ? Celui qui , se trouvant déjà lié par quelque union d'origine , d'intérêt ou de convention , n'a point encore porté le vrai joug des lois ; celui qui n'a ni coutumes , ni superstitions bien enracinées ; celui qui ne craint ...
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... législation est moins ce qu'il faut éta- blir que ce qu'il faut détruire ; et ce qui rend le suc- cès si rare , c'est l'impossibilité de trouver la simplicité de la nature jointe aux besoins de la société . Toutes ces conditions , il ...
... législation est moins ce qu'il faut éta- blir que ce qu'il faut détruire ; et ce qui rend le suc- cès si rare , c'est l'impossibilité de trouver la simplicité de la nature jointe aux besoins de la société . Toutes ces conditions , il ...
Contents
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Common terms and phrases
abus acte affaires aisément ames assemblées auront avantages avoient avoit besoin centuries CHAPITRE chefs choses citoyens civil cœur comices confédération conserver constitution Contrat social corps politique Corse démocratie diéte diétines dire doit donner élections éphores établi état étoient étoit faudroit foible force forme gouvernement guerre hommes institution intérêt j'ai jamais jugement l'autre l'élection l'état l'Europe l'ordre équestre laisser liberté liberum veto logne lois Lycurgue magistrats manière maximes membres ment mieux mœurs moyen n'en n'étoit nation nécessaire nombre nonces palatinats palatins parcequ'il parceque paroît patriciens patrie pays petite Pologne peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puissance législative puisse qu'un raison rapport république république de Venise république romaine reste rien rois Romains Rome s'il sauroit sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte starosties suffrages sujets tion toyens tribunat tribus troupes visirat Voilà volonté générale voudrois
Popular passages
Page 141 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 129 - On convient que tout ce que chacun aliène , par le pacte social , de sa puissance , de ses biens , de sa liberté , c'est seulement la partie de tout cela dont l'usage importe à la communauté ; mais il faut convenir aussi que le souverain seul est juge de cette importance.
Page 210 - La souveraineté ne peut être représentée , par la même raison qu'elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans la volonté générale , et la volonté ne se représente point : elle est la même , ou elle est autre; il n'ya point de milieu.
Page 113 - A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté.
Page 298 - C'est l'éducation qui doit donner aux âmes la forme nationale , et diriger telleI ment leurs opinions et leurs goûts , qu'elles soient patriotes par inclination , par passion , par nécessité.
Page 117 - Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent, son...
Page 210 - Le peuple anglais pense être libre, il se trompe fort; il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement : sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.
Page 126 - On veut toujours son bien, mais on ne le voit pas toujours : jamais on ne .corrompt le peuple, mais souvent on le trompe, et c'est alors seulement qu'il paraît vouloir ce qui est mal.
Page 114 - A l'égard des associés, ils prennent collectivement le nom de peuple, et s'appellent en particulier citoyens, comme participant à l'autorité souveraine, et sujets, comme soumis aux lois de l'État.
Page 155 - ... il ne faut pas entendre par ce mot que les degrés de puissance et de richesse soient absolument les mêmes, mais que, quant à la puissance, elle soit audessous de toute violence et ne s'exerce jamais qu'en vertu du rang et des lois et, quant à la richesse, que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre, et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre.