Oeuvres de J.J. Rousseau, Volume 5Werdet et Lequien, 1826 |
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... étoient battus . C'est ainsi que les Francs , les Goths , les Bourguignons , les Lombards , les Avares , et mille autres , reconnurent enfin l'auto- rité de l'empire après l'avoir subjugué , et reçurent , du moins en apparence , avec la ...
... étoient battus . C'est ainsi que les Francs , les Goths , les Bourguignons , les Lombards , les Avares , et mille autres , reconnurent enfin l'auto- rité de l'empire après l'avoir subjugué , et reçurent , du moins en apparence , avec la ...
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... écrivoit en faveur de le polysynodie , il la trouvoit établie dans son pays . Toujours paisible et sensé , il se plaisoit à montrer à ses compatriotes les avantages du gouvernement auquel ils étoient soumis ; il en fai- JUGEMENT.
... écrivoit en faveur de le polysynodie , il la trouvoit établie dans son pays . Toujours paisible et sensé , il se plaisoit à montrer à ses compatriotes les avantages du gouvernement auquel ils étoient soumis ; il en fai- JUGEMENT.
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... étoient venues sous le règne de Louis XIV ; mais il avoit eu la sagesse de les taire jusqu'à ce que l'intérêt de l'état , celui du gouvernement et le sien , lui permissent de les publier . Il faut convenir cependant que , sous un même ...
... étoient venues sous le règne de Louis XIV ; mais il avoit eu la sagesse de les taire jusqu'à ce que l'intérêt de l'état , celui du gouvernement et le sien , lui permissent de les publier . Il faut convenir cependant que , sous un même ...
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... étoient des dieux , ou que les peuples étoient des bêtes ** . térêts de la France avec ses voisins , par M. le marquis d'Argenson ( imprimé chez Rey , à Amsterdam ) . Voilà précisément ce qu'a fait Grotius . * Grotius , célèbre ...
... étoient des dieux , ou que les peuples étoient des bêtes ** . térêts de la France avec ses voisins , par M. le marquis d'Argenson ( imprimé chez Rey , à Amsterdam ) . Voilà précisément ce qu'a fait Grotius . * Grotius , célèbre ...
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... usurpateur . Si ces deux écrivains avoient adopté les vrais principes , toutes les difficultés étoient lévées , et ils eussent été toujours conséquents ; mais ils auroient tristement dit la vé- rité LIVRE II , CHAPITRE II . 125.
... usurpateur . Si ces deux écrivains avoient adopté les vrais principes , toutes les difficultés étoient lévées , et ils eussent été toujours conséquents ; mais ils auroient tristement dit la vé- rité LIVRE II , CHAPITRE II . 125.
Contents
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Common terms and phrases
abus acte affaires aisément ames assemblées auront avantages avoient avoit besoin centuries CHAPITRE chefs choses citoyens civil cœur comices confédération conserver constitution Contrat social corps politique Corse démocratie diéte diétines dire doit donner élections éphores établi état étoient étoit faudroit foible force forme gouvernement guerre hommes institution intérêt j'ai jamais jugement l'autre l'élection l'état l'Europe l'ordre équestre laisser liberté liberum veto logne lois Lycurgue magistrats manière maximes membres ment mieux mœurs moyen n'en n'étoit nation nécessaire nombre nonces palatinats palatins parcequ'il parceque paroît patriciens patrie pays petite Pologne peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puissance législative puisse qu'un raison rapport république république de Venise république romaine reste rien rois Romains Rome s'il sauroit sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte starosties suffrages sujets tion toyens tribunat tribus troupes visirat Voilà volonté générale voudrois
Popular passages
Page 141 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 129 - On convient que tout ce que chacun aliène , par le pacte social , de sa puissance , de ses biens , de sa liberté , c'est seulement la partie de tout cela dont l'usage importe à la communauté ; mais il faut convenir aussi que le souverain seul est juge de cette importance.
Page 210 - La souveraineté ne peut être représentée , par la même raison qu'elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans la volonté générale , et la volonté ne se représente point : elle est la même , ou elle est autre; il n'ya point de milieu.
Page 113 - A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté.
Page 298 - C'est l'éducation qui doit donner aux âmes la forme nationale , et diriger telleI ment leurs opinions et leurs goûts , qu'elles soient patriotes par inclination , par passion , par nécessité.
Page 117 - Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent, son...
Page 210 - Le peuple anglais pense être libre, il se trompe fort; il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement : sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.
Page 126 - On veut toujours son bien, mais on ne le voit pas toujours : jamais on ne .corrompt le peuple, mais souvent on le trompe, et c'est alors seulement qu'il paraît vouloir ce qui est mal.
Page 114 - A l'égard des associés, ils prennent collectivement le nom de peuple, et s'appellent en particulier citoyens, comme participant à l'autorité souveraine, et sujets, comme soumis aux lois de l'État.
Page 155 - ... il ne faut pas entendre par ce mot que les degrés de puissance et de richesse soient absolument les mêmes, mais que, quant à la puissance, elle soit audessous de toute violence et ne s'exerce jamais qu'en vertu du rang et des lois et, quant à la richesse, que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre, et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre.