Souvenirs diplomatiques de Russie et d'Allemagne (1870-1872) |
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affaires étrangères allemand ambassadeur assez aujourd'hui aurait avaient Berlin C'était cabinet de Berlin catholiques celier chancelier de l'Empire chancelier fédéral chancellerie fédérale chargé d'affaires Chaudordy comte Andrassy comte d'Arnim comte de Beust convention déclaration Delbrück demander dénonciation du traité dépêche devait diplomatique entente entretien entrevues envoyé fédéral Francfort frontière fût Gabriac général de Manteuffel général Lebrun gouver gouvernement allemand guerre intérêts j'ai j'avais jours Jules Favre l'Allemagne l'Autriche l'empereur Alexandre l'empereur François-Joseph l'entrevue de Gastein l'Europe l'évacuation l'Internationale laisser langage m'avait Majesté Manteuffel ment mer Noire mesure milliards ministre des affaires mission n'avait nation nationale négociations nement officielle pays pensée personnelle Pétersbourg plénipotentiaire politique possible pouvait Pouyer-Quertier presse prince de Bismarck prince Gort prince Gortchacow Prusse prussien puissances neutres question rapports ratification Rémusat reste Russie Saint-Péters Saint-Pétersbourg Salzbourg sentiment serait situation souvenirs souverain sympathie télégramme Thiers Thile tion traité de 1856 troupes allemandes trouvé Tsarkoë-Selo Versailles Vienne vis-à-vis
Popular passages
Page 282 - République française, seront échangées à Francfort dans le délai de dix jours ou plus tôt si faire se peut. En foi de quoi les Plénipotentiaires respectifs l'ont signé et y ont apposé le cachet de leurs armes. Fait à Francfort, le 10 mai 1871.
Page 285 - Pour le cas où le Gouvernement français serait subrogé, soit par le rachat de la concession de la Compagnie de l'Est, soit par une entente spéciale, aux droits acquis par cette société en vertu des conventions susindiquées, il s'engage à céder gratuitement dans un délai de six semaines ces droits au Gouvernement allemand.
Page 281 - Allemands qui avaient obtenu l'autorisation exigée par les lois francaises pour fixer leur domicile en France sont réintégrés dans tous leurs droits et peuvent, en conséquence, établir de nouveau leur domicile sur le territoire français. Le délai stipulé par les lois françaises pour obtenir la naturalisation sera considéré comme n'étant pas interrompu par l'état de guerre pour...
Page 272 - Les prisonniers de guerre qui n'auront pas déjà été mis en liberté par voie d'échange seront rendus immédiatement après la ratification des présents préliminaires. Afin d'accélérer le transport des prisonniers français, le Gouvernement français mettra à la disposition des autorités allemandes, à l'intérieur du territoire allemand, une partie du matériel roulant de ses chemins de fer, dans une mesure qui sera déterminée par des arrangements spéciaux, et aux prix payés en France...
Page 270 - Le payement d'au moins un milliard de francs aura lieu dans le courant de l'année 1871, et celui de tout le reste de la dette dans un espace de trois années, à partir de la ratification des présentes.
Page 277 - Traité, sans retard, sur les mesures à prendre en commun à cet effet. Les communautés appartenant soit à l'Église réformée, soit à la Confession d'Augsbourg, établies sur les territoires cédés par la France, cesseront de relever de l'autorité ecclésiastique française. Les communautés de l'Église de la Confession d'Augsbourg établies dans les territoires français cesseront de relever du consistoire supérieur et du directeur siégeant à Strasbourg Les communautés israélites des...
Page 281 - Les bâtiments allemands qui étaient condamnés par les conseils de prise avant le 2 mars 1871 seront considérés comme condamnés définitivement Ceux qui n'auraient pas été condamnés à la date susindiquée seront rendus avec la cargaison en tant qu'elle existe encore. Si la restitution des bâtiments et de la cargaison n'est plus possible, leur valeur, fixée d'après le prix de la vente, sera rendue à leurs propriétaires.
Page 262 - La mer Noire est neutralisée : ouverts à la marine marchande de toutes les nations, ses eaux et ses ports sont, formellement et à perpétuité, interdits au pavillon de guerre soit des Puissances riveraines, soit de toute autre Puissance, sauf les exceptions mentionnées aux articles 14 et 19 du présent Traité.
Page 268 - La France renonce en faveur de l'Empire allemand à tous ses droits et titres sur les territoires situés à l'est de la frontière ci-après désignée. La ligne de démarcation commence à la frontière nordouest du canton de Cattenom vers le Grand-Duché de Luxembourg, suit vers le sud les frontières occidentales des cantons de Cattenom et Thionville, passe par le canton de Briey en longeant les frontières occidentales des communes de Montoisla-Montagne et Roncourt ainsi que les frontières...