Collection des mémoires relatifs à la Revolution française, Volume 45, Page 11824 |
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... tion de son indépendance ; et telle est la chaleur des réactions dans les affections des Français , qu'il n'est pas sans vraisemblance que d'alliés nous fus- sions devenus ennemis . Ce fut un jeune homme de SUR LA FAYETTE . 9.
... tion de son indépendance ; et telle est la chaleur des réactions dans les affections des Français , qu'il n'est pas sans vraisemblance que d'alliés nous fus- sions devenus ennemis . Ce fut un jeune homme de SUR LA FAYETTE . 9.
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... tion , à les regarder comme des hommes inférieurs aux Anglais en courage ; et il était bon de leur faire voir qu'un Français n'était nullement effrayé de se mesurer avec un habitant de la Grande - Bretagne . D'ailleurs , cela diminuait ...
... tion , à les regarder comme des hommes inférieurs aux Anglais en courage ; et il était bon de leur faire voir qu'un Français n'était nullement effrayé de se mesurer avec un habitant de la Grande - Bretagne . D'ailleurs , cela diminuait ...
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... tion ces pirates , que Louis xiv n'avaient pas craint de châtier , et qui depuis ne furent que trop ménagés par l'amiral Exmouth et par Sydney Smith . ( * ) ( * ) Quoique l'association anti - pirate , fondée par ce com- Ce n'est pas ...
... tion ces pirates , que Louis xiv n'avaient pas craint de châtier , et qui depuis ne furent que trop ménagés par l'amiral Exmouth et par Sydney Smith . ( * ) ( * ) Quoique l'association anti - pirate , fondée par ce com- Ce n'est pas ...
Page 20
... tion dont ils prenaient l'initiative , les Bataves avaient convoqué La Fayette : c'est ce qu'on peut voir dans une lettre qui lui fut adressée par M. de Saint - Priest ( * ) . Mais le libérateur , qui s'était essayé sur un peuple neuf ...
... tion dont ils prenaient l'initiative , les Bataves avaient convoqué La Fayette : c'est ce qu'on peut voir dans une lettre qui lui fut adressée par M. de Saint - Priest ( * ) . Mais le libérateur , qui s'était essayé sur un peuple neuf ...
Page 45
... tion des ordres . L'enthousiasme des gens de bien concourut avec la frénésie des séditieux . La fausse érudition devint aussi funeste que la présomptueuse ignorance . Quand il eût fallu calmer et contenir , toutes les passions furent ...
... tion des ordres . L'enthousiasme des gens de bien concourut avec la frénésie des séditieux . La fausse érudition devint aussi funeste que la présomptueuse ignorance . Quand il eût fallu calmer et contenir , toutes les passions furent ...
Common terms and phrases
Alexandre Lameth américain anglais armée avaient Bailly bataille bataille de Ligny bientôt Bureau-de-Puzy c'était camp de Maulde carac cause Chambre Champ-de-Mars Charleroi chef citoyens commandant constitutionnels courage crime cris d'État d'Olmütz déclarer décret demande députés despotisme devait duc de Wellington Dulaure Dumouriez ennemis esprits eussent eût événemens factions fédérés force fût garde nationale général La Fayette gloire gouvernement Grouchy guerre heures Jacobins jour justice l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'autre l'empereur l'ennemi l'indépendance Lanjuinais Latour-Maubourg législatif liberté long-temps Louis xvi Luckner maréchal Blücher maréchal Grouchy Maubourg ment militaire mille hommes ministre monarchie monarque n'était Napoléon nation nobles Olmütz ordre patrie patriotisme peuple peut-être philosophie politique position pouvait pouvoir premier président prince principes prisonniers Prussiens Puzy qu'un Quatre-Bras refusé remarque représentans républicain réunies révolution Rochambeau rois royale s'était Ségur semble sentimens serait serment seul sort talens tion Toulongeon tribune trône troupes trouva voulait Washington Wavres
Popular passages
Page 223 - Enfin , que le règne des clubs , anéanti par vous , fasse place au règne de la loi , leurs...
Page 153 - Nous jurons d'être à jamais fidèles à la nation, à la loi et au Roi; « De maintenir de tout notre pouvoir la constitution décrétée par l'assemblée nationale et acceptée par le Roi;
Page 194 - L'Assemblée Nationale constituante en remet le dépôt à la fidélité du Corps législatif, du Roi et des juges, à la vigilance des pères de famille, aux épouses et aux mères, à l'affection des jeunes citoyens, au courage de tous les Français.
Page 219 - Jacobins) sont nommés? Sont-ils devenus sacrés, parce que Léopold a prononcé leur nom? Et parce que nous devons combattre les étrangers qui s'immiscent dans nos querelles, sommes-nous dispensés de -délivrer notre patrie d'une tyrannie domestique?
Page 220 - qu'une nation soit libre, il suffit qu'elle veuille « l'être; » je viens aujourd'hui, plein de confiance dans la justice de notre cause , de mépris pour les lâches qui la désertent , et...
Page 154 - ... Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 220 - ... autorités constituées, substitue l'esprit d'un parti à la volonté du peuple ; lorsque l'audace des agitateurs impose silence aux citoyens paisibles, écarte les hommes utiles; et lorsque le dévouement sectaire tient lieu des vertus privées et publiques, qui, dans un pays libre, doivent être l'austère et unique moyen de parvenir aux premières fonctions du gouvernement?
Page 282 - C'est une intention que j'ai souvent manifestée. Mais, comme dans le moment actuel, ma réponse semblerait reconnaître le droit de m'imposer cette condition, je ne pense pas qu'il me convienne de satisfaire à cette demande. •
Page 221 - France a plusieurs millions d'hommes qui peuvent devenir de pareils soldats , je me demande à quel degré d'avilissement serait donc réduit un peuple immense , plus fort encore par ses ressources naturelles que par les défenses de l'art, opposant à une confédération monstrueuse l'avantage...
Page 374 - Mont-Saint-Jean était mal choisie. La première condition d'un champ de bataille est de n'avoir pas de défilés sur ses derrières. Pendant la bataille , le général anglais ne sut pas tirer parti de sa nombreuse cavalerie ; il ne jugea pas qu'il devait être et serait attaqué par sa gauche : il crut qu'il le serait par sa droite.