Collection des mémoires relatifs à la Revolution française, Volume 45, Page 11824 |
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empêcher de renaître ; que sans les moeurs domes- tiques , le patriotisme n'est qu'un mot , comme sans le joug de la loi , la liberté n'est qu'une furie ; et que pour conserver leur dignité par leur indé- pendance , les peuples échappés ...
empêcher de renaître ; que sans les moeurs domes- tiques , le patriotisme n'est qu'un mot , comme sans le joug de la loi , la liberté n'est qu'une furie ; et que pour conserver leur dignité par leur indé- pendance , les peuples échappés ...
Page 20
... patriotisme opérait en Hollande et que la maladresse tentait dans les Pays - Bas , préludaient à la grande catastrophe qui , du centre de la France , devait , en ébranlant l'Europe , changer la face du monde . Afin d'étayer d'un grand ...
... patriotisme opérait en Hollande et que la maladresse tentait dans les Pays - Bas , préludaient à la grande catastrophe qui , du centre de la France , devait , en ébranlant l'Europe , changer la face du monde . Afin d'étayer d'un grand ...
Page 35
... patriotisme , dressa toute la morgue d'une opposition calculée contre un minis- tère novateur , qui , pour cacher ses maladresses , simulait lui - même la tyrannie ; la France , comme on l'a trop souvent répété , ne touchait pas au ...
... patriotisme , dressa toute la morgue d'une opposition calculée contre un minis- tère novateur , qui , pour cacher ses maladresses , simulait lui - même la tyrannie ; la France , comme on l'a trop souvent répété , ne touchait pas au ...
Page 51
... patriotisme devenait un délit , et le courage était réputé séditieux . Témoins les États de Bretagne , et cette célèbre assemblée de Vizille , près Grenoble , d'où , avec le cri de liberté , sortirent des troubles suscités par la ...
... patriotisme devenait un délit , et le courage était réputé séditieux . Témoins les États de Bretagne , et cette célèbre assemblée de Vizille , près Grenoble , d'où , avec le cri de liberté , sortirent des troubles suscités par la ...
Page 59
... patriotisme , cet empereur sou- tint long - temps avec gloire le pouvoir du prince , ébranlé par de puissans vassaux , et les débris des libertés nationales attaquées de toutes parts . Cette Mably et Dubos , Observations sur l'Histoire ...
... patriotisme , cet empereur sou- tint long - temps avec gloire le pouvoir du prince , ébranlé par de puissans vassaux , et les débris des libertés nationales attaquées de toutes parts . Cette Mably et Dubos , Observations sur l'Histoire ...
Common terms and phrases
Alexandre Lameth américain anglais armée avaient Bailly bataille bataille de Ligny bientôt Bureau-de-Puzy c'était camp de Maulde carac cause Chambre Champ-de-Mars Charleroi chef citoyens commandant constitutionnels courage crime cris d'État d'Olmütz déclarer décret demande députés despotisme devait duc de Wellington Dulaure Dumouriez ennemis esprits eussent eût événemens factions fédérés force fût garde nationale général La Fayette gloire gouvernement Grouchy guerre heures Jacobins jour justice l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'autre l'empereur l'ennemi l'indépendance Lanjuinais Latour-Maubourg législatif liberté long-temps Louis xvi Luckner maréchal Blücher maréchal Grouchy Maubourg ment militaire mille hommes ministre monarchie monarque n'était Napoléon nation nobles Olmütz ordre patrie patriotisme peuple peut-être philosophie politique position pouvait pouvoir premier président prince principes prisonniers Prussiens Puzy qu'un Quatre-Bras refusé remarque représentans républicain réunies révolution Rochambeau rois royale s'était Ségur semble sentimens serait serment seul sort talens tion Toulongeon tribune trône troupes trouva voulait Washington Wavres
Popular passages
Page 223 - Enfin , que le règne des clubs , anéanti par vous , fasse place au règne de la loi , leurs...
Page 153 - Nous jurons d'être à jamais fidèles à la nation, à la loi et au Roi; « De maintenir de tout notre pouvoir la constitution décrétée par l'assemblée nationale et acceptée par le Roi;
Page 194 - L'Assemblée Nationale constituante en remet le dépôt à la fidélité du Corps législatif, du Roi et des juges, à la vigilance des pères de famille, aux épouses et aux mères, à l'affection des jeunes citoyens, au courage de tous les Français.
Page 219 - Jacobins) sont nommés? Sont-ils devenus sacrés, parce que Léopold a prononcé leur nom? Et parce que nous devons combattre les étrangers qui s'immiscent dans nos querelles, sommes-nous dispensés de -délivrer notre patrie d'une tyrannie domestique?
Page 220 - qu'une nation soit libre, il suffit qu'elle veuille « l'être; » je viens aujourd'hui, plein de confiance dans la justice de notre cause , de mépris pour les lâches qui la désertent , et...
Page 154 - ... Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 220 - ... autorités constituées, substitue l'esprit d'un parti à la volonté du peuple ; lorsque l'audace des agitateurs impose silence aux citoyens paisibles, écarte les hommes utiles; et lorsque le dévouement sectaire tient lieu des vertus privées et publiques, qui, dans un pays libre, doivent être l'austère et unique moyen de parvenir aux premières fonctions du gouvernement?
Page 282 - C'est une intention que j'ai souvent manifestée. Mais, comme dans le moment actuel, ma réponse semblerait reconnaître le droit de m'imposer cette condition, je ne pense pas qu'il me convienne de satisfaire à cette demande. •
Page 221 - France a plusieurs millions d'hommes qui peuvent devenir de pareils soldats , je me demande à quel degré d'avilissement serait donc réduit un peuple immense , plus fort encore par ses ressources naturelles que par les défenses de l'art, opposant à une confédération monstrueuse l'avantage...
Page 374 - Mont-Saint-Jean était mal choisie. La première condition d'un champ de bataille est de n'avoir pas de défilés sur ses derrières. Pendant la bataille , le général anglais ne sut pas tirer parti de sa nombreuse cavalerie ; il ne jugea pas qu'il devait être et serait attaqué par sa gauche : il crut qu'il le serait par sa droite.