Collection des mémoires relatifs à la Revolution française, Volume 45, Page 11824 |
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... Opprimées par leur métropole , les colonies amé- ricaines avaient levé le drapeau de l'insurrection : à ce signal , qui révélait , dans le cœur de La Fayette , son penchant pour la liberté , il obéit au désir SUR LA FAYETTE . 5.
... Opprimées par leur métropole , les colonies amé- ricaines avaient levé le drapeau de l'insurrection : à ce signal , qui révélait , dans le cœur de La Fayette , son penchant pour la liberté , il obéit au désir SUR LA FAYETTE . 5.
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... avaient béni son départ , accueillent son retour par l'offre d'une épée . Le gouvernement pour lequel il venait de verser son sang , et dont ses exploits avaient assis les plus solides fondemens , n'avait pas cru devoir prodiguer , dans ...
... avaient béni son départ , accueillent son retour par l'offre d'une épée . Le gouvernement pour lequel il venait de verser son sang , et dont ses exploits avaient assis les plus solides fondemens , n'avait pas cru devoir prodiguer , dans ...
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... avaient obtenu un prêt de plusieurs millions ; et c'est dans ces dispositions que le dernier s'embarque pour Boston sur une frégate française . Pendant la campagne de 1780 , il commande l'infanterie légère et les dragons formant l'avant ...
... avaient obtenu un prêt de plusieurs millions ; et c'est dans ces dispositions que le dernier s'embarque pour Boston sur une frégate française . Pendant la campagne de 1780 , il commande l'infanterie légère et les dragons formant l'avant ...
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... avaient fait sourire à la cour de France , ne pouvaient blesser deux souverains qui allaient à la république par le despotisme . En effet , quel spectacle offrait la Prusse à cette époque ? celui d'une démocratie militaire , dominée par ...
... avaient fait sourire à la cour de France , ne pouvaient blesser deux souverains qui allaient à la république par le despotisme . En effet , quel spectacle offrait la Prusse à cette époque ? celui d'une démocratie militaire , dominée par ...
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... avaient connu que les malheurs . Aux cruels effets du crime qui obscurcissait leur intelligence , en mutilant leurs membres , il fallait substituer une lueur progressive et des soins ménagés qui fissent rentrer à la fois la santé , la ...
... avaient connu que les malheurs . Aux cruels effets du crime qui obscurcissait leur intelligence , en mutilant leurs membres , il fallait substituer une lueur progressive et des soins ménagés qui fissent rentrer à la fois la santé , la ...
Common terms and phrases
Alexandre Lameth américain anglais armée avaient Bailly bataille bataille de Ligny bientôt Bureau-de-Puzy c'était camp de Maulde carac cause Chambre Champ-de-Mars Charleroi chef citoyens commandant constitutionnels courage crime cris d'État d'Olmütz déclarer décret demande députés despotisme devait duc de Wellington Dulaure Dumouriez ennemis esprits eussent eût événemens factions fédérés force fût garde nationale général La Fayette gloire gouvernement Grouchy guerre heures Jacobins jour justice l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'autre l'empereur l'ennemi l'indépendance Lanjuinais Latour-Maubourg législatif liberté long-temps Louis xvi Luckner maréchal Blücher maréchal Grouchy Maubourg ment militaire mille hommes ministre monarchie monarque n'était Napoléon nation nobles Olmütz ordre patrie patriotisme peuple peut-être philosophie politique position pouvait pouvoir premier président prince principes prisonniers Prussiens Puzy qu'un Quatre-Bras refusé remarque représentans républicain réunies révolution Rochambeau rois royale s'était Ségur semble sentimens serait serment seul sort talens tion Toulongeon tribune trône troupes trouva voulait Washington Wavres
Popular passages
Page 223 - Enfin , que le règne des clubs , anéanti par vous , fasse place au règne de la loi , leurs...
Page 153 - Nous jurons d'être à jamais fidèles à la nation, à la loi et au Roi; « De maintenir de tout notre pouvoir la constitution décrétée par l'assemblée nationale et acceptée par le Roi;
Page 194 - L'Assemblée Nationale constituante en remet le dépôt à la fidélité du Corps législatif, du Roi et des juges, à la vigilance des pères de famille, aux épouses et aux mères, à l'affection des jeunes citoyens, au courage de tous les Français.
Page 219 - Jacobins) sont nommés? Sont-ils devenus sacrés, parce que Léopold a prononcé leur nom? Et parce que nous devons combattre les étrangers qui s'immiscent dans nos querelles, sommes-nous dispensés de -délivrer notre patrie d'une tyrannie domestique?
Page 220 - qu'une nation soit libre, il suffit qu'elle veuille « l'être; » je viens aujourd'hui, plein de confiance dans la justice de notre cause , de mépris pour les lâches qui la désertent , et...
Page 154 - ... Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 220 - ... autorités constituées, substitue l'esprit d'un parti à la volonté du peuple ; lorsque l'audace des agitateurs impose silence aux citoyens paisibles, écarte les hommes utiles; et lorsque le dévouement sectaire tient lieu des vertus privées et publiques, qui, dans un pays libre, doivent être l'austère et unique moyen de parvenir aux premières fonctions du gouvernement?
Page 282 - C'est une intention que j'ai souvent manifestée. Mais, comme dans le moment actuel, ma réponse semblerait reconnaître le droit de m'imposer cette condition, je ne pense pas qu'il me convienne de satisfaire à cette demande. •
Page 221 - France a plusieurs millions d'hommes qui peuvent devenir de pareils soldats , je me demande à quel degré d'avilissement serait donc réduit un peuple immense , plus fort encore par ses ressources naturelles que par les défenses de l'art, opposant à une confédération monstrueuse l'avantage...
Page 374 - Mont-Saint-Jean était mal choisie. La première condition d'un champ de bataille est de n'avoir pas de défilés sur ses derrières. Pendant la bataille , le général anglais ne sut pas tirer parti de sa nombreuse cavalerie ; il ne jugea pas qu'il devait être et serait attaqué par sa gauche : il crut qu'il le serait par sa droite.