Mémoires de tous: collection de souvenirs contemporains tendant a établir la verité dans l'histoire, Volume 1 |
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Mémoires De Tous: Collection De Souvenirs Contemporains Tendant A Établir La ... Anonymous No preview available - 2019 |
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Common terms and phrases
amis Ancône anglais Arenenberg arrivée Athlone Autrichiens avaient Bourbons Bressieux brigadier-général c'était Casimir Périer Castlebar cause chambre chose cœur colonel comte comté de Kildare comté de Longford comté de Mayo COMTE DE PEYRONNET courage courrier crainte Crawfurt d'Houdetot demande devait douleur doute dragons duchesse enfans Enni Killen envoyé eût évènemens faisait fallait famille fils Florence force Foxford frère fusiliers garde général Lake gouvernement Hollymount homme j'ai j'allais j'avais j'en j'étais j'eus jeune jour Kilbeggan Kilkenny Killalla l'assemblée l'empereur l'ennemi laisser lettre liberté long-temps lord Cornwalis Louis XVI m'avait m'en m'était Madame major-général malheur ment Milices ministre Monseigneur n'avait Napoléon ordre passeport passer patrie pays pensée Périer personne peuple porte position pourtant pouvait prince qu'un quitter régiment reine reste révolution rien Rome s'était sauver sentimens sentiment serait Seravezza seul Shannon Sligo sort souvent Suisse tion tour d'Ordre troupes trouver venir vint voiture voulait yeomancy Zappi
Popular passages
Page 121 - ... que nous portons nous oblige à secourir les peuples »malheureux qui nous appellent. Faites que je passe » aux yeux de ma belle-sœur pour avoir entraîné son » mari , qui souffre de lui avoir caché une action de
Page 88 - Le peuple est seul maître, >•> disait-il; il a reconnu un nouveau souverain. » Irais-je porter la guerre civile dans ma patrie, » lorsque je voudrais la servir au prix de tout » mon sang? » De la Corse on lui avait fait des propositions auxquelles il avait répondu de la même manière. J'approuvai sa conduite. D'ailleurs...
Page 81 - ... famille. Aucun des membres de cette famille ne pensait encore à revenir en France. Il ya des convenances que les positions forcent à garder, et sans une invitation du pays ils ne pouvaient s'y présenter. — Mais les voilà encore, avec leurs malheurs, sans protection, et en butte à toutes les vexations dont les gouvernemens se plaisaient à les accabler!
Page 202 - ... satisfaite. Cette inquiétude me toucha et me disposait d'autant mieux à le voir. Lorsque je fus assise, seule dans un appartement particulier, M. d'Houdetot alla prévenir le roi. Il fut poli, gracieux même. Il me parla de l'exil de notre famille comme lui pesant sur le cœur. « Je connais toute la douleur de l'exil, me » dit-il, et il ne tient pas à moi que le vôtre n'ait » déjà cessé. » Je lui exprimai la douceur que je trouvais à revoir la patrie, mais je lui dis que je ne venais...
Page 321 - ... cour, distinguer sa liaison avec Mirabeau , qui , après avoir servi M. d'Orléans, et s'être approché de moi en m'écrivant, pour gage de sa foi, deux lettres propres à le perdre, finit par un arrangement avec la reine, et m'estima assez pour redevenir mon ennemi. Son plan de contre - constitution avait pour base l'évasion du roi, justifiée par une émeute de commande, et appuyée par une armée aux ordres de M. de Bouillé. On suivit cette idée , mais le génie directeur n'existait plus....
Page 256 - L'alerte fut générale; chacun de fuir et de se désespérer d'être au bal lorsqu'on passait en Angleterre. Une foule de jeunes officiers, présents à cette fête, se précipitaient sur la route de Boulogne que je parcourus comme eux avec la rapidité de l'éclair, toujours escortée du général Defrance qui brûlait d'impatience de se retrouver près de l'empereur. J'éprouvais moi-même une émotion inexprimable à l'idée qu'une si grande affaire allait se décider sous mes yeux. Je me figurais...
Page 332 - ... juridiquement assassiné deux ans après, avait manifesté envers moi, dans la crise du 21 juin, un mouvement généreux ; mais il n'est pas vrai que j'aie pris , dans aucun temps, la moindre part directe ou indirecte aux liaisons qu'ils formèrent alors avec la cour. Tant de sottises ont été débitées par l'esprit de parti, qu'il n'est pas déplacé de vous affirmer ici que jamais aucune affection individuelle n'a dérangé 'ma (i) M.
Page 72 - ... me faire sortir de cet état de tranquillité, pour me jeter de nouveau dans toutes les agitations de la vie. Mon fils aîné avait épousé sa cousine, seconde fille du roi Joseph. Il vivait à Florence près de son père. Il était remarquablement beau et bon, rempli d'intelligence , de feu, et du besoin de dépenser ses facultés pour le bonheur des autres. Malgré les grandeurs qui avaient environné son enfance, et dont j'avais tant redouté l'influence pour l'éducation que je voulais donner...
Page 297 - ... déclaré s'être accru, s'accroître encore, et devoir être diminué; nous aurions eu une représentation parlementaire que M. Pitt a déclaré être contraire à la liberté; et si nous avions adopté les idées anglaises d'amélioration, c'eût été, au dire des patriotes de ce pays, une réforme radicale, et, au dire de leurs antagonistes, un changement révolutionnaire. Nous nous serions donc retrouvés dans le péril des expériences; il ne nous fût resté de certain qu'une chambre de...