J'ai les yeux si pleins de larmes que je ne vois plus ce que j'écris. Nous nous regardions sans proférer une parole, nous nous serrions les mains , nous nous embrassions... Immobiles, dans un morne silence et les yeux fixés , nous regardions le pavé... Les massacres de septembre - Page 216by G. Lenotre - 1907 - 340 pagesFull view - About this book
| Jean-Gabriel Peltier - France - 1792 - 572 pages
...l'enleva, le mit fur fes épaules, & fut le porter dans la rue, où il reçut la mon..... fai les yeux fi pleins de larmes, que je ne vois plus ce que j'écris. Nous nous regardions fans proférer une parole ; nous nous ferrions les mains; nous nous embralfionà Immobiles, dans un... | |
| Pierre Jean Baptiste Nougaret - Correctional institutions - 1797 - 398 pages
...l'enleva , le mit suc ses épaules et fut le porter dans la rue , où il reçut la mort. J'ai les yeux si pleins de l'armes , que je ne vois plus ce que...nous regardions sans proférer une parole ; nous nous setrions les mains ; nous nous embrassions Immobiles , dans un morne silence , et les veux fixés ,... | |
| Pierre Anne Louis de Maton de la Varenne - France - 1806 - 550 pages
...proférer und parole; nous nous serrions les mains ; rious nous embrassions. Immobiles, dans ûn-mofrie silence , et les yeux fixés , nous regardions le pavé de notre prison, que la lune éclairait daris l'intervalle de l'ombre formée par les. triples barreaux de nps fenêtres. Mais bientôt les... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1823 - 424 pages
...l'enleva , le mit sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2) J'ai les yeux si pleins de larmes , que je ne vois plus ce que j'écris....les yeux fixés , nous regardions le pavé de notre (1) Je suis parvenu à le connaître depuis que je suis sorti de prison. Il ya apparence qu'il avait... | |
| France - 1823 - 412 pages
...l'enleva , le mit sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2) J'ai les yeux si pleins de larmes , que je ne vois plus ce que j'écris....les yeux fixés , nous regardions le pavé de notre (1) Je suis parvenu à le connaître depuis que je suis sorti de prison. Il ya apparence qu'il avait... | |
| 1823 - 404 pages
...mit sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2). ..... J'ai les yeux si pleins de larmes, que je ne vois plus ce que j'écris....les yeux fixés , nous regardions le pavé de notre (i) Je suis parvenu à le connaître depuis que je suis sorti de prison. Il ya apparence qu'il avait... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - France - 1823 - 404 pages
...l'enleva, le mit sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2) J'ai les yeux si pleins de larmes, que je ne vois plus ce que j'écris....embrassions. .... Immobiles , dans un morne silence, et les jeux. fixés , nous regardions le pavé de notre (1) Je suis parvenu à le connaître depuis que je... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - France - 1823 - 406 pages
...sur ses épaules , et fut le porter dans la rue où il reçut la mort (2) J'ai les yeux si pleins dé larmes ^ que je ne vois plus ce que j'écris. Nous...proférer une parole ; nous nous serrions les mains j nous nous embrassions Immobiles , dans un morne silence, et les yeux fixés , nous regardions le... | |
| 1824 - 812 pages
...ns; death itself hovering over our heads, * " Nous nous regardions sans proférer uno («ч »Ни ; nous nous serrions les mains, nous nous embrassions..... . .Immobiles, dans un morne silence et les yeux fixes, nous regardions le pavé de notre prison, que la lune éclairait dans l'intervalle de l'ombre... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - France - 1835 - 502 pages
...l'enleva, le mit sur ses épaules et fut le porter dans la rue, où il reçut la mort... J'ai les yeux si pleins de larmes que je ne vois plus ce que j'écris....par les triples barreaux de nos fenêtres... Mais bienlôt les cris des nouvelles victimes nons redonnaient notre première agitation et nous rappelaient... | |
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