...j» sabres, nos piques, donnez la mort à ces » monstres». Qu'on imagine combien le canon d'slarmp, la nouvelle de la prise de Verdun , et ces discours...irascible d'une populace égarée , à laquelle on nous dénonçoit comme ses plus cruels ennemis. CeJre multitude effrénée grossissent de la manière la...

...piques ,• donnez'la mort à ces « monstres.» ''-.'- . .' • «•'• '. • i i Qu'on imagine combien le canon d'alarme, la nouvelle de la prise...discours provocateurs durent exciter le caractère Tellement Irascible d'une populace égarée, à laquelle on nous dénoncait comme ses plus cruels ennemis....

...femmes. Voilà nos sabres, nos piques: donnez la mort à ces monstres. La populace effrénée grossissoit de la manière la plus effrayante à mesure que nous avancions vers 1' ' Abbaye , en passant sur le Pont-Neuf, par la rue Dauphine et le carrefour AeBussy. Un de mes compagnons...

...femmes. Voilà nos sabres, nos piques: donnez la mort à ces monstres. La populace effrénée grossissoit de la manière la plus effrayante à mesure que nous avancions vers Y Abbaye , en passant sur le Pont-Neuf, par la rue Dauphine et le carrefour de Bussy. Un de mes compagnons...

...à ces » monstres. » Qu'on imagine combien le canon d'alarme , la nouvelle de la prise de Verdnn et ces discours provocateurs durent exciter le caractère...par le Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour de Bnssy. Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes...

...vos femmes. Voilà nos sabres et nos piques ; don• nez la mort à ces monstres. « « Qu'on imagine combien le canon d'alarme, la nouvelle de la prise...par le Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour Bussy. « Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes,...

...et vos femmes. Voilà « nos sabres et nos piques ; donnez la mort à ces monstres. » Qu'on imagine combien le canon d'alarme, la nouvelle de la prise...voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous forca de les laisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un...

...et vos femmes. Voilà « nos sabres et nos piques ; donnez la mort à ces monstres. » Qu'on imagine combien le canon d'alarme, la nouvelle de la prise...irascible d'une populace égarée à laquelle on nous dénoncait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée grossissait de la manière la...

...« femmes. Voilà nos sabres et nos piques ; donnez la « mort à ces monstres. » « Qu'on imagine combien le canon d'alarme, la nouvelle de la prise...par le Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour Bucy. le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades recut un coup de sabre sur l'épaule, un autre...

...« femmes. Voilà nos sabres et nos piques ; donnez la « mort à ces monstres. » « Qu'on imagine combien le canon d'alarme, la nouvelle de la prise...effrayante, à mesure que nous avancions vers l'Abbaye, parle Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour Bucy. le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades...