Conciergerie où sa douceur l'avait déjà rendue chère à tout ce qu'il y avait de prisonniers, qui la pleurèrent sincèrement. — Le jour où elle fut condamnée, elle s'était habillée en blanc, et avec soin : ses longs cheveux noirs tombaient... Les femmes sous la terreur - Page 397by Eugène Moret - 1872 - 423 pagesFull view - About this book
 | French revolution, 1789 - 1820 - 524 pages
...qu'il y avait de prisonniers, » qui la pleurèrent sincèrement. » Le jour où elle fut condamnée, elle s'était habillée » en blanc et avec soin : ses longs cheveux noirs tom» baient épars jusqu'à sa ceinture : elle eût attendri » les cœurs les plus férocrs •,... | |
 | 1820 - 514 pages
...condamnée, elle s'était habillée M eu blanc et avec soin : ses longs cheveux noirs totn» baient épars jusqu'à sa ceinture : elle eût attendri » les cœurs les plus féroces 5 mais ces monstres en » avaient-ils un ? d'ailleurs elle n'y prétendait pas : elle » avait choisi... | |
 | Madame Roland - France - 1821 - 460 pages
...ceinture : elle eût attendri les » cœurs les plus féroces ; mais ces monstres en avaient» ils un ? d'ailleurs elle n'y prétendait pas : elle avait...choisi » cet habit comme symbole de la pureté de son ame. » Après sa condamnation, elle repassa dans le guichet » avec une vitesse qui tenait de la joie... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1821 - 458 pages
...qu'il y avait de prisonniers, qui » la pleurèrent sincèrement. » Le jour où elle fut condamnée, elle s'était habillée » en blanc et avec soin : ses longs cheveux noirs tom» baient «pars jusqu'à sa ceinture : elle eût attendri les » cœurs les plus féroces ; mais... | |
 | Madame Roland - France - 1821 - 448 pages
...qu'il y avait de prisonniers, qui » la pleurèrent sincèrement. » Le jour où elle fut condamnée , elle s'était habillée » en blanc et avec soin : ses longs cheveux noirs tom» baient épars jusqu'à sa ceinture : elle eût attendri les » cœurs les plus féroces ; mais... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1823 - 320 pages
...inestimables , et qu'ils ne soient pas perdus pour la postérité ! Le jour où elle fut condamnée , elle s'était habillée en blanc et avec soin : ses...choisi cet habit comme symbole de la pureté de son ame. Après sa condamnation, elle repassa dans le guichet avec une vitesse qui tenait de la joie. Elle... | |
 | Honoré-Jean Riouffe - France - 1823 - 348 pages
...qu'il y avait de prisonniers qui la pleurèrent sincèrement. Le jour où elle fut condamnée , cllc s'était habillée en blanc et avec soin : ses longs...choisi cet habit comme symbole de la pureté de son ame. Après sa condamnation, elle repassa dans le guichet avec une vitesse qui tenait de la joie. Elle... | |
 | Honoré-Jean Riouffe - France - 1823 - 332 pages
...prisonniers qui la pleurèrent sincèrement. Le jour où elle fut condamnée , elle s'était ha])illée en blanc et avec soin : ses longs cheveux noirs tombaient...choisi cet habit comme symbole de la pureté de son ame. Après sa condamnation, elle repassa dans le guichet avec une vitesse qui tenait de la joie. Elle... | |
 | 1823 - 332 pages
...prisonniers qui la pleurèrent sincèrement. Le jour où elle fut condamnée, elle s'était ha]>illée en blanc et avec soin : ses longs cheveux noirs tombaient...choisi cet habit comme symbole de la pureté de son ame. Après sa condamnation, elle repassa dans le guichet avec une vitesse qui tenait de la joie. Elle... | |
 | Augustin Creuzé de Lesser - Cid (Epic cycle) - 1836 - 458 pages
...ce qu'il y avait de prisonniers , qui la pleurèrent sincèrement. Le jour où elle fut condamnée, elle s'était habillée en blanc et avec soin. Ses longs cheveux noirs flottaient sur ses épaules, elle eût attendri les cœurs les plus féroces ; mais ces monstres en... | |
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