Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ... surnommé Égalité, Volume 31796 - France |
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... avoient été flétris par les tris bunaux ; ils devoient sur - tout faire profession d'impiété et de haine contre la dynastie ré- gnante ; ce dernier article étoit le point ca pital . On ne disoit pas d'abord ouverte ment qu'il s'agissoit ...
... avoient été flétris par les tris bunaux ; ils devoient sur - tout faire profession d'impiété et de haine contre la dynastie ré- gnante ; ce dernier article étoit le point ca pital . On ne disoit pas d'abord ouverte ment qu'il s'agissoit ...
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... avoient à leur tête Malouet , de ' Virieu , Clermont - Tonnerre , voulurent s'é- riger aussi en clubs . Ils firent pour cela des efforts inutiles ; ils ne purent jamais y parve- nir . L'ineptie de Bailly et de la Fayette mit un obstacle ...
... avoient à leur tête Malouet , de ' Virieu , Clermont - Tonnerre , voulurent s'é- riger aussi en clubs . Ils firent pour cela des efforts inutiles ; ils ne purent jamais y parve- nir . L'ineptie de Bailly et de la Fayette mit un obstacle ...
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... avoient de leur côté ni le nombre ni la force , ce leur fut une nécessité de renoncer absolument à se réu- nir . Quand la société fut suffisamment affer- mie , il s'y fit une sorte d'épuration ; on y mit en œuvre des moyens qui ...
... avoient de leur côté ni le nombre ni la force , ce leur fut une nécessité de renoncer absolument à se réu- nir . Quand la société fut suffisamment affer- mie , il s'y fit une sorte d'épuration ; on y mit en œuvre des moyens qui ...
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... avoient fondée , et que conduisoient ses meilleurs amis . Il n'eut pas de peine à la convaincre de la maxime , qu'on ne feroit rien tant qu'on n'auroit pas l'armée . Il fit ensuite comprendre aux jacobins que pour parvenir à débaucher ...
... avoient fondée , et que conduisoient ses meilleurs amis . Il n'eut pas de peine à la convaincre de la maxime , qu'on ne feroit rien tant qu'on n'auroit pas l'armée . Il fit ensuite comprendre aux jacobins que pour parvenir à débaucher ...
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... avoient recueilli . Ces officiers jacobins , traîtres à leur de- voir , à l'honneur , à leur roi , n'étant plus retenus par aucun frein , se jettèrent avec fureur dans le parti du prince ; ils soufflèrent la discorde dans leur corps ...
... avoient recueilli . Ces officiers jacobins , traîtres à leur de- voir , à l'honneur , à leur roi , n'étant plus retenus par aucun frein , se jettèrent avec fureur dans le parti du prince ; ils soufflèrent la discorde dans leur corps ...
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Histoire de la Conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans, Surnommé Égalité Galart De Montjoie No preview available - 2018 |
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Common terms and phrases
10 août appelloit assassins assem assemblée nat assemblée nationale auroit avocat avoient avoit Bailly Biron Brissot Brissotins bunal Chabroud Champ-de-Mars château Châtelet club cœur comité comte conjurés conseiller conspiration constitution constitutionnel convention nationale Coustard crimes croyoit d'Or Danton décret députés dernier devoient devoit disoit donner duc d'Orléans duc de Dorset duchesse Dumouriez Egalité égorger étoient étoit faisoit falloit famille royale fauxbourg Fayette fidélité forfaits Fouquier-Tinville François fût garde du corps garde nationale Gorsas homme impartiaux j'ai jacobins jamais jour journée jugement l'assemblée nationale Laclos léans long-tems Louis XVI LOUIS-PHILIPPE-JOSEPH maire malheureux Marat massacre membre du tri ment Messieurs mille ministres Mirabeau monarque mort n'avoient n'avoit n'étoit nation officiers orléanistes personnes Pétion peuple portoit pouvoit premier prince princesse prison reine république reste révolution rien Robespierre s'étoient sang Santerre scélérats serment seroit seul Sillery soldats sorte tems tenoit tête tion tribunal tribune trône vérité Voidel vouloient vouloit
Popular passages
Page 248 - Au reste quand ce grand Dieu a choisi quelqu'un pour être l'instrument de ses desseins, rien n'en arrête le cours; ou il enchaîne , ou il aveugle , ou il dompte tout ce qui est capable de résistance.
Page 40 - Reine, qui partage tous mes sentiments, je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené. Je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des...
Page 36 - ... particulières, les oppositions, les haines malheureuses qui sont la suite inévitable des longues dissensions, la situation critique des finances et les incertitudes sur la fortune publique, enfin, l'agitation générale des esprits, tout semble se réunir pour entretenir l'inquiétude des véritables amis de la prospérité et du bonheur du royaume.
Page 133 - J'oserai dire qu'après avoir fait tant de sacrifices à l'intérêt du peuple et à la cause de la liberté, il ne m'est plus permis de sortir de la classe de simple citoyen où je ne me suis placé qu'avec la ferme résolution d'y rester toujours, et que l'ambition serait en moi une inconséquence inexcusable.
Page 39 - Après vous avoir ainsi préservés des grandes contrariétés qui pouvaient si aisément traverser vos soins et vos travaux, je crois le moment arrivé où il importe à l'intérêt de l'État que je m'associe d'une manière encore plus expresse et plus manifeste à l'exécution et à la réussite de tout ce que vous avez concerté pour l'avantage de la France. Je ne puis saisir une plus grande occasion...
Page 40 - Ne professons tous, à compter de ce jour, ne professons tous, je vous en donne l'exemple, qu'une seule opinion, qu'un seul intérêt, qu'une seule volonté, l'attachement à la constitution nouvelle et le désir ardent de la paix...
Page 59 - Plus je vois s'approcher la journée du 14 juillet, plus je me confirme dans l'idée qu'elle doit inspirer autant de sécurité que de satisfaction. Ce sentiment est surtout fondé sur les dispositions patriotiques de tous les citoyens, sur le zèle de la garde nationale parisienne , sur celui de nos frères d'armes...
Page 37 - Une volonté suivie, un effort général et commun sont absolument nécessaires pour obtenir un succès véritable. Continuez donc vos travaux sans autre passion que celle du bien ; fixez toujours votre première attention sur le sort du peuple et sur la liberté publique ; mais occupez-vous aussi d'adoucir, de calmer toutes...
Page 36 - Messieurs, la gravité des circonstances où se trouve la France, m'attire au milieu de vous. Le relâchement progressif de tous les liens...
Page 239 - Je me retirai , en voulant retenir des larmes qui coulaient malgré moi , et bien résolu de finir là mon ministère. Je m'en ouvris à un de mes collègues qui n'avait pas plus de fermeté que moi pour le continuer, et je lui dis , avec ma franchise ordinaire : Mon ami , les prêtres membres de la convention , en votant pour la mort, quoique la sainteté de leur caractère le leur defendit , ont formé la majorité qui nous délivre du tyran.