 | Antoine-Marin Le Mierre - French poetry - 1782 - 312 pages
...nuit va replier fes voiles ,. Déjà pâliflent les étoiles • *f Devant l'aube qui les blanchit. Quels foins t'occupent loin de moi !. Quoi ! des heures...Me fuis-je trompé ? le coq chante ; II recommence 3 je l'entends , Le jour va poindre , & je t'attends. t Quoi ! ma priere elt impulsante, Et j'ai jetté... | |
 | Capelle (M., Pierre Adolphe) - French poetry - 1819 - 674 pages
...à ta visite. Je sens que l'air se rafi aîchil ; La Nuit va replier ses voiles ; Déjà pâlissent les étoiles Devant l'Aube qui les blanchit. Dieu charmant, quels lieux te retiennent? Quels soins t'occupent loin de moi ! Quoi ! des heures qui t'appartiennent Vont-elles s'écouler sans toi... | |
 | Jean Baptiste Joseph Champagnac - 1825 - 254 pages
...droits à ta visite. Je sens que l'air se rafraîchit, La nuit va replier ses voiles, Déjà pâlissent les étoiles Devant l'aube qui les blanchit. Dieu charmant ! quels lieux te retiennent, Quels soins t'occupent loin de moi ! Quoi! des heures qui t'appartiennent, Vont-elles s'écouler sans toi?... | |
 | Jean-Baptiste-Joseph Champagnac - French poetry - 1825 - 244 pages
...visite. Je sens que l'air se rafraîchit, La nuit va replier ses voiles, Déjà pâlissent les étoilrs Devant l'aube qui les blanchit. Dieu charmant ! quels lieux te retiennent, Quels soins t'occupent loii» de moi! Quoi ! des heures qui t'appartiennent , Vont-elles s'écouler sans... | |
 | Belgium - 1838 - 508 pages
...droits à ta visite. Je sens que l'air se rafraîchit, La nuit va replier ses voiles ; Déjà palissent les étoiles Devant l'aube qui les blanchit. Dieu charmant , quels lieux te retiennent ? Quels soins t'occupent loin de moi? Quoi ! des heures qui t'appartiennent Vont elles s'écouler sans toi?... | |
 | Adolphe Duhart-Fauvet - 1872 - 144 pages
...à ta visite. Je sens que l'air se rafraîchit ; La nuit va replier ses voiles ; Déjà pâlissent les étoiles Devant l'Aube qui les blanchit. Dieu charmant, quels lieux te retiennent ? Quels soins t'occupent loin de moi ? Quoi ! des heures qui t'appartiennent Vont-elles s'écouler sans toi... | |
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... manie Sur des monceaux d'or tient courbé. Mais moi , moi qui te sollicite Après un innocent travail ; / Qui sur ma porte , où je t'invite , N'ai point pour toi d'épouvantail , J'ai quelques droits à ta visite. Je sens que l'air se rafi aîchil... 