Rapin-Thoyras: sa famille, sa vie et ses oeuvres |
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académies anglais Angleterre années Antoine de Rapin armée auteurs avaient avoit avons Bouillargues capitaine Castres catholiques cause cavalerie célèbre Chambre de l'Edit Charles Ier Chaudane chefs cœur comte de Portland conversion dernier devant Dieu Eglises estoit famille de Rapin François Ier frère garnison gloire gouvernement gouverneur guerre Guillaume Guillaume d'Orange Haye Henri Henri VIII Histoire historiens hommes huguenots Irlande Jacques de Rapin Jean de Rapin Jean Rou Jeanne de Pélisson jeune jours juger l'académie l'armée l'Eglise l'évêque l'Histoire d'Angleterre l'historien laissa Languedoc lettre lord Louis XIV Maravat Marchastel maréchal Mas-Garnier Maurienne Mauvers ment mille Montauban Montbartier Montpellier mort Navarre officiers Parlement passé Paul de Rapin pays Pélisson père persécution Pierre de Rapin politique premier prince d'Orange Protestantisme protestants Puylaurens Rapin-Thoyras réfugiés régiment règne reste royale royaume sainte Saumur Savoie Schomberg seigneur sentiment siècle sieur soldats synode tard Thoyras tion Toulouse troupes trouve Utrecht Valloires Wesel
Popular passages
Page 133 - Il ne s'étoit jamais cru si grand devant les hommes, ni si avancé devant Dieu dans la réparation de ses péchés et du scandale de sa vie. Il...
Page 134 - Ah! honte de la réformation! ah! souvenir digne d'ouvrir une source éternelle de larmes ! Rome, qui nous insultes et nous braves, ne prétends pas nous confondre en nous montrant ces galères que tu remplis de nos forçats, dont tu aggraves les peines par le bâton sous lequel tu les abats, par les chaînes dont tu les accables, par le vinaigre que tu répands sur leurs plaies ! Ne prétends pas nous...
Page 16 - ... entraînèrent la Maison de Savoie dans une ruine momentanée. Les doctrines de Luther avaient pénétré dans nos provinces, et l'évêque d'Aoste , Pierre Gazzini, proposait au syndic de Chambéry des mesures sévères contre les sectateurs de l'hérésiarque allemand. « De toutes parts , disait-il , nous recevons les nouvelles les plus déplorables; nos paroisses sont infestées de livres défendus. Les gens vont criant partout qu'il faut vendre les biens des prélats et des abbés pour nourrir...
Page 134 - ... en laissant les corps morts avec les corps vivants : mais lieux changés en lieux de délices par les influences de la grâce que Dieu verse dans l'âme des prisonniers , et par les cantiques d'allégresse qu'ils ne cessent de faire retentir à sa gloire. Ne prétends pas nous confondre en nous montrant ces maisons ruinées , ces familles dispersées , et ces troupes fugitives par tous les lieux de l'univers : ces objets sont notre gloire, et tu fais notre éloge en nous insultant. Veux-tu nous...
Page 134 - Rome , qui nous insultes et nous braves, ne prétends pas nous confondre en nous montrant ces galères que tu remplis de nos forçats , dont tu aggraves les peines par le bâton sous lequel tu les abats , par les chaînes dont tu les accables , par le vinaigre que tu répands sur leurs plaies ! Ne prétends pas nous confondre en nous montrant ces cachots noirs , inaccessibles...
Page 102 - Quel autre réformateur que Jésus-Christ a tenu à ses disciples un tel langage? Et quel autre que Dieu a pu donner à un tel langage une telle efficacité que les disciples aient sacrifié, avec joie, tous les biens...
Page 53 - ... il faut oublier le particulier, et luy envoyay la lettre du sieur de Monferran, et que je luy asseurois sur mon honneur luy en amener autres mille pour espousseter Mongommery, car je luy en voulois fort. Pendant ces allées et venues , les princes sejournoient à Montauban et...
Page 243 - L'Angleterre lui fut longtemps redevable de la seule bonne histoire complète qu'on eût faite de ce royaume , et de la seule impartiale qu'on eût d'un pays où l'on n'écrivait que par esprit de parti : c'était même la seule histoire qu'on pût citer en Europe, comme approchant de la perfection qu'on exige de ces ouvrages , jusqu'à ce qu'enfin on ait vu paraitre celle du célèbre Hume , qui a su écrire l'histoire en philosophe.
Page 29 - Mais ce dessein trouve un obstacle inattendu dans la coalition qui se forme entre le duc de Guise, le connétable de Montmorency et le maréchal de Saint-André.
Page 274 - Ordonnons qu'il ne sera fait différence ny distinction , pour le regard de ladite religion, à recevoir les escholiers pour estre instruits ès universitez , colléges et escholes , et les malades et pauvres ès hôpitaux, maladrerics et aumosnes publiques.