Louis XVIDelloye, 1840 - 524 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 18
Page 52
... pensée ; il n'avait pas la sagacité qui sonde les abus jusqu'à la racine , mais il avait horreur de l'iniquité , et jamais une préoccupation égoïste ne se plaçait dans son cœur entre les réclamations de son peuple et la volonté de les ...
... pensée ; il n'avait pas la sagacité qui sonde les abus jusqu'à la racine , mais il avait horreur de l'iniquité , et jamais une préoccupation égoïste ne se plaçait dans son cœur entre les réclamations de son peuple et la volonté de les ...
Page 75
... pensée de tous les législateurs , révèlent ce même besoin d'une intervention supérieure . A tout prendre , la sainte ampoule de Reims , fût - elle une super- stition , serait encore une magnifique allégorie : l'onction tombant de la ...
... pensée de tous les législateurs , révèlent ce même besoin d'une intervention supérieure . A tout prendre , la sainte ampoule de Reims , fût - elle une super- stition , serait encore une magnifique allégorie : l'onction tombant de la ...
Page 95
... pensée person- nelle ; mais lorsqu'il fallait quitter la région du bien spé- culatif pour entrer dans le domaine positif du bien poli- tique , son savoir - faire était craintif , tergiversant , plein d'anxiété et de malaise . Le prince ...
... pensée person- nelle ; mais lorsqu'il fallait quitter la région du bien spé- culatif pour entrer dans le domaine positif du bien poli- tique , son savoir - faire était craintif , tergiversant , plein d'anxiété et de malaise . Le prince ...
Page 100
... pensées . Pleine d'attraits devant Dieu , elle était parée aussi de tous les dons qui séduisent le monde : sa taille était accomplie et son visage charmant . Le reflet de l'âme brillait dans ses yeux comme dans ses paroles ; intime ...
... pensées . Pleine d'attraits devant Dieu , elle était parée aussi de tous les dons qui séduisent le monde : sa taille était accomplie et son visage charmant . Le reflet de l'âme brillait dans ses yeux comme dans ses paroles ; intime ...
Page 119
... pensée ca- pable de s'emparer de la multitude . Que représentait donc Voltaire ? Quel principe libéral et généreux la so- ciété venait - elle saluer dans le chantre infâme de la Pu- celle , adulateur de madame de Pompadour , de Frédé ...
... pensée ca- pable de s'emparer de la multitude . Que représentait donc Voltaire ? Quel principe libéral et généreux la so- ciété venait - elle saluer dans le chantre infâme de la Pu- celle , adulateur de madame de Pompadour , de Frédé ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
accusé adresse avaient avez Bertrand de Moleville bonheur c'était Calonne cardinal chambre château citoyens clergé Cléry cœur comte d'Artois conseil constitution constitutionnel convention nationale crime déclaration décret demande députés Descloseaux devant devoir Dieu donner Dumouriez enfants esprit états généraux eût famille royale Fayette force frères garde nationale gardes du corps heures homme j'ai jour juger justice l'assemblée nationale l'Église laisser législateurs lettre liberté liste civile Louis XVI lui-même madame Dubarry madame Élisabeth madame la dauphine Madame Roland main maison Majesté Malesherbes malheur manda Marie-Antoinette Maurepas ment Messieurs ministre Mirabeau Moleville monarchie monarque Monsieur municipaux n'avait n'était nation nécessaire Necker ordres parler passer personne peuple place porte pouvait pouvoir premier présenter prince princesse prononcer refus reine répondit représentants reproché reste rois royaume s'était sainte ampoule sanction sentiments Septeuil serait seul sieur Sire sort tête tiers état tion tour du Temple trône trouvé Versailles voiture voulait voulu
Popular passages
Page 386 - XVI sache que s'il me choisit pour Cette fonction je suis prêt à m'y dévouer. Je ne vous demande pas de faire part à la' Convention de mon offre , car je suis bien éloigné de me croire un...
Page 424 - Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j'ai été élevée, et que j'ai toujours professée. » N'ayant aucune consolation spirituelle à attendre...
Page 400 - Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués! » J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang,...
Page 425 - J'avais des amis; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur!
Page 335 - Les Français n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du Roi, a traîné du canon jusque dans la salle des gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache , et là , abusant...
Page 403 - Je dois à mon honneur, je dois à ma famille de ne point souscrire à un jugement qui m'inculpe d'un crime que je ne puis me reprocher; en conséquence je déclare que j'interjette appel à la nation elle-même du jugement de ses, représentants; je donne, par ces présentes, pouvoir spécial à mes défenseurs officieux, et charge...
Page 396 - ... de tous les soins et les peines qu'elle se donne pour eux et en mémoire de moi. Je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère. Je recommande à mon fils, s'il...
Page 178 - ... et l'éclat de la France; je dois en être le soutien, et je le serai constamment. » Mais tout ce qu'on peut attendre du plus tendre intérêt au bonheur public, tout ce qu'on peut demander à un souverain , le premier ami de ses peuples, vous pouvez, vous devez l'espérer de mes sentimens.
Page 242 - Je ferai davantage ; et, de concert avec la reine qui partage tous mes sentiments , je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené , je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des...
Page 396 - ... faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire ; et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.