Louis XVIDelloye, 1840 - 524 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 51
Page 6
... n'avait que six ans , et la tâche de madaine de Marsan était accomplie . Il fut remis entre les mains des hommes , au mois de septembre 1760 . Tous les stratagèmes employés pour le préparer à cette séparation ne purent lui en dissimuler ...
... n'avait que six ans , et la tâche de madaine de Marsan était accomplie . Il fut remis entre les mains des hommes , au mois de septembre 1760 . Tous les stratagèmes employés pour le préparer à cette séparation ne purent lui en dissimuler ...
Page 20
... n'avait plus d'autre frein que celui qu'il s'imposait à lui - même . Sa mère avait suivi de près M. le dauphin au tombeau . Comme son époux aussi , elle bénit ses enfants avant de mourir , et ferma ses yeux consolés parce qu'ils avaient ...
... n'avait plus d'autre frein que celui qu'il s'imposait à lui - même . Sa mère avait suivi de près M. le dauphin au tombeau . Comme son époux aussi , elle bénit ses enfants avant de mourir , et ferma ses yeux consolés parce qu'ils avaient ...
Page 35
... n'avait pas connu de pareils désordres à la cour de Vienne . La favorite irritée oubliait les jouissances du luxe et les hommages dont elle était si étrangement entourée , de- vant ce froid mépris qu'elle ne pouvait ni faire fléchir ni ...
... n'avait pas connu de pareils désordres à la cour de Vienne . La favorite irritée oubliait les jouissances du luxe et les hommages dont elle était si étrangement entourée , de- vant ce froid mépris qu'elle ne pouvait ni faire fléchir ni ...
Page 39
... n'avait pas eu d'exemple à la cour depuis longtemps ; elle fut surtout l'ouvrage de Marie- Antoinette et du dauphin , qui l'entretenaient avec la plus grande persévérance . Bien souvent ils avaient à lutter contre leur propre maison ...
... n'avait pas eu d'exemple à la cour depuis longtemps ; elle fut surtout l'ouvrage de Marie- Antoinette et du dauphin , qui l'entretenaient avec la plus grande persévérance . Bien souvent ils avaient à lutter contre leur propre maison ...
Page 52
... n'avait pas ce coup d'œil infaillible qui perce l'avenir à une grande profondeur , mais il avait le sentiment du devoir gravé au fond de l'âme et perpétuellement présent à la pensée ; il n'avait pas la sagacité qui sonde les abus jusqu ...
... n'avait pas ce coup d'œil infaillible qui perce l'avenir à une grande profondeur , mais il avait le sentiment du devoir gravé au fond de l'âme et perpétuellement présent à la pensée ; il n'avait pas la sagacité qui sonde les abus jusqu ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
accusé adresse avaient avez Bertrand de Moleville bonheur c'était Calonne cardinal chambre château citoyens clergé Cléry cœur comte d'Artois conseil constitution constitutionnel convention nationale crime déclaration décret demande députés Descloseaux devant devoir Dieu donner Dumouriez enfants esprit états généraux eût famille royale Fayette force frères garde nationale gardes du corps heures homme j'ai jour juger justice l'assemblée nationale l'Église laisser législateurs lettre liberté liste civile Louis XVI lui-même madame Dubarry madame Élisabeth madame la dauphine Madame Roland main maison Majesté Malesherbes malheur manda Marie-Antoinette Maurepas ment Messieurs ministre Mirabeau Moleville monarchie monarque Monsieur municipaux n'avait n'était nation nécessaire Necker ordres parler passer personne peuple place porte pouvait pouvoir premier présenter prince princesse prononcer refus reine répondit représentants reproché reste rois royaume s'était sainte ampoule sanction sentiments Septeuil serait seul sieur Sire sort tête tiers état tion tour du Temple trône trouvé Versailles voiture voulait voulu
Popular passages
Page 386 - XVI sache que s'il me choisit pour Cette fonction je suis prêt à m'y dévouer. Je ne vous demande pas de faire part à la' Convention de mon offre , car je suis bien éloigné de me croire un...
Page 424 - Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j'ai été élevée, et que j'ai toujours professée. » N'ayant aucune consolation spirituelle à attendre...
Page 400 - Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués! » J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang,...
Page 425 - J'avais des amis; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur!
Page 335 - Les Français n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du Roi, a traîné du canon jusque dans la salle des gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache , et là , abusant...
Page 403 - Je dois à mon honneur, je dois à ma famille de ne point souscrire à un jugement qui m'inculpe d'un crime que je ne puis me reprocher; en conséquence je déclare que j'interjette appel à la nation elle-même du jugement de ses, représentants; je donne, par ces présentes, pouvoir spécial à mes défenseurs officieux, et charge...
Page 396 - ... de tous les soins et les peines qu'elle se donne pour eux et en mémoire de moi. Je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère. Je recommande à mon fils, s'il...
Page 178 - ... et l'éclat de la France; je dois en être le soutien, et je le serai constamment. » Mais tout ce qu'on peut attendre du plus tendre intérêt au bonheur public, tout ce qu'on peut demander à un souverain , le premier ami de ses peuples, vous pouvez, vous devez l'espérer de mes sentimens.
Page 242 - Je ferai davantage ; et, de concert avec la reine qui partage tous mes sentiments , je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené , je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des...
Page 396 - ... faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire ; et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.