Louis XVIDelloye, 1840 - 524 pages |
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Page 31
... cause de deuil , et les joies royales furent encore une fois attris- tées par de sinistres présages . Au moment où la foule qui remplissait la place Louis XV s'ébranlait en masse , après le feu d'artifice , pour se porter sur le ...
... cause de deuil , et les joies royales furent encore une fois attris- tées par de sinistres présages . Au moment où la foule qui remplissait la place Louis XV s'ébranlait en masse , après le feu d'artifice , pour se porter sur le ...
Page 56
... cause de celle de leurs confrères , et partagèrent leur sort . Cet exil en masse créait un énorme vide qu'il fallait combler promptement . La grand'chambre avait été en- voyée à Pontoise . On entama des négociations ; elles furent ...
... cause de celle de leurs confrères , et partagèrent leur sort . Cet exil en masse créait un énorme vide qu'il fallait combler promptement . La grand'chambre avait été en- voyée à Pontoise . On entama des négociations ; elles furent ...
Page 60
... cause de la liberté intellectuelle et de la liberté individuelle . Louis XVI n'ignorait pas la liaison de M. de Malesherbes avec les philosophes , mais il se croyait suffi- samment en garde contre des idées dangereuses , aux- quelles il ...
... cause de la liberté intellectuelle et de la liberté individuelle . Louis XVI n'ignorait pas la liaison de M. de Malesherbes avec les philosophes , mais il se croyait suffi- samment en garde contre des idées dangereuses , aux- quelles il ...
Page 66
... cause de son absence . L'officier s'en prend à sa montre ; le roi la lui demande , et la trouvant parfaitement d'accord avec la justification alléguée il la jette au feu . « Voilà le cas que je fais d'une menteuse . » Le lendemain , au ...
... cause de son absence . L'officier s'en prend à sa montre ; le roi la lui demande , et la trouvant parfaitement d'accord avec la justification alléguée il la jette au feu . « Voilà le cas que je fais d'une menteuse . » Le lendemain , au ...
Page 104
... cause de ses défauts alors fort en vogue , l'enflure et la fausse philanthropie , cet écrit produisit une grande sensa- tion . La mode était de populariser les sciences : les mathé- matiques , l'astronomie , la physique occupaient les ...
... cause de ses défauts alors fort en vogue , l'enflure et la fausse philanthropie , cet écrit produisit une grande sensa- tion . La mode était de populariser les sciences : les mathé- matiques , l'astronomie , la physique occupaient les ...
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Common terms and phrases
accusé adresse avaient avez Bertrand de Moleville bonheur c'était Calonne cardinal chambre château citoyens clergé Cléry cœur comte d'Artois conseil constitution constitutionnel convention nationale crime déclaration décret demande députés Descloseaux devant devoir Dieu donner Dumouriez enfants esprit états généraux eût famille royale Fayette force frères garde nationale gardes du corps heures homme j'ai jour juger justice l'assemblée nationale l'Église laisser législateurs lettre liberté liste civile Louis XVI lui-même madame Dubarry madame Élisabeth madame la dauphine Madame Roland main maison Majesté Malesherbes malheur manda Marie-Antoinette Maurepas ment Messieurs ministre Mirabeau Moleville monarchie monarque Monsieur municipaux n'avait n'était nation nécessaire Necker ordres parler passer personne peuple place porte pouvait pouvoir premier présenter prince princesse prononcer refus reine répondit représentants reproché reste rois royaume s'était sainte ampoule sanction sentiments Septeuil serait seul sieur Sire sort tête tiers état tion tour du Temple trône trouvé Versailles voiture voulait voulu
Popular passages
Page 386 - XVI sache que s'il me choisit pour Cette fonction je suis prêt à m'y dévouer. Je ne vous demande pas de faire part à la' Convention de mon offre , car je suis bien éloigné de me croire un...
Page 424 - Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j'ai été élevée, et que j'ai toujours professée. » N'ayant aucune consolation spirituelle à attendre...
Page 400 - Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués! » J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang,...
Page 425 - J'avais des amis; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur!
Page 335 - Les Français n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du Roi, a traîné du canon jusque dans la salle des gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache , et là , abusant...
Page 403 - Je dois à mon honneur, je dois à ma famille de ne point souscrire à un jugement qui m'inculpe d'un crime que je ne puis me reprocher; en conséquence je déclare que j'interjette appel à la nation elle-même du jugement de ses, représentants; je donne, par ces présentes, pouvoir spécial à mes défenseurs officieux, et charge...
Page 396 - ... de tous les soins et les peines qu'elle se donne pour eux et en mémoire de moi. Je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère. Je recommande à mon fils, s'il...
Page 178 - ... et l'éclat de la France; je dois en être le soutien, et je le serai constamment. » Mais tout ce qu'on peut attendre du plus tendre intérêt au bonheur public, tout ce qu'on peut demander à un souverain , le premier ami de ses peuples, vous pouvez, vous devez l'espérer de mes sentimens.
Page 242 - Je ferai davantage ; et, de concert avec la reine qui partage tous mes sentiments , je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené , je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des...
Page 396 - ... faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire ; et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.