Revue des deux mondes, Volume 53François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1882 - France |
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Algérie Alice allemand Arabes assez aujourd'hui aurait Bassorah bâtimens Bernard besoin Bismarck Bouilhet bras budget c'était cause Chaldée chambre choses cœur Cormenin coup d'autres d'Odette demander dépenses devant dire disait dit-il donner Drouyn de Lhuys duc de Nemours duchesse Égypte enfans États-Unis Européens eût femme fille fils Flaubert force Françoise Françoise de Rohan gouvernement guerre hommes impôts j'ai jamais jeune jour Jules Favre Krantz l'Allemagne l'Angleterre l'Empire l'enfant l'état lady Marlborough laisser lutte main marcs ment militaire millions ministre Mme de Terris monde mort moyen n'avait n'était nation nationale navires Odette œuvre parler passé passion pauvre pays pendant pensée personne peuple peut-être Philippe politique population porte pouvait premier presque prince Prusse puissance qu'un question raison regard Reichstag reine reste Rhèges rien Roger Rohan s'est s'était s'il Sarzec semble sentiment serait seul siècle soir sorte surtout tête Théophile Gautier Thiers tion Trémont trouver Tunisie vrai whigs yeux
Popular passages
Page 749 - II n'ya rien de changé en France ; il n'ya qu'un Français de
Page 462 - Le bon goût et l'air de Térence? Plaute n'est plus qu'un plat bouffon, Et jamais il ne fit si bon Se trouver à la comédie ; Car ne pense pas qu'on y rie De maint trait jadis admiré, Et bon IN ILLO TEMPORE : Nous avons changé de méthode ; Jodelet n'est plus à la mode, Et maintenant il ne faut pas . Quitter la nature d'un pas.
Page 460 - Tantôt chez un auteur j'adopte une pensée, Mais qui revêt, chez moi souvent entrelacée, Mes images, mes tours, jeune et frais ornement; Tantôt je ne retiens que les mots seulement; J'en détourne le sens, et l'art sait les contraindre Vers des objets nouveaux qu'ils s'étonnent de peindre...
Page 316 - Oui, vieux pédagogue, l'accord des temps est une ineptie, j'ai le droit de dire : Je voudrais que la grammaire soit à tous les diables et non pas : fût, entends-tu?
Page 453 - ... ce n'est pas une nécessité de ne mettre que les infortunes des rois sur le théâtre. Celles des autres hommes y trouveraient place s'il leur en arrivait d'assez illustres et d'assez extraordinaires pour la mériter, et que l'histoire prît assez de soin d'eux pour nous les apprendre.
Page 458 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 460 - Dévot adorateur de ces maîtres antiques, Je veux m'envelopper de leurs saintes reliques; Dans leur triomphe admis, je veux le partager; Ou bien de ma défense eux-mêmes les charger. Le critique imprudent, qui se croit bien habile, Donnera sur ma joue un soufflet à Virgile; Et ceci (tu peux voir si j'observe ma loi) , Montaigne , il t'en souvient , l'avait dit avant moi.
Page 411 - ... il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la nature, il n'ya point de couvert mis pour lui. La nature lui commande de s'en aller, et ne tardera pas à mettre elle-même cet ordre à exécution.
Page 439 - ... par une assistance fraternelle, assurer l'existence des citoyens nécessiteux, soit en leur procurant du travail dans les limites de ses ressources, soit en donnant, à défaut de la famille, des secours à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 807 - Le plus grand dérèglement de l'esprit, c'est de croire les choses, parce qu'on veut qu'elles soient, et non parce qu'on a vu qu'elles sont en effet.