Révolutions de Paris: dédiées à la nation et au district des Petits-Augustins, Issues 154-171De l'imprimerie de P. de Lormel, 1792 - France |
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... il loutient encore aujourd'hui que ces prêtres , que tous les contre - révolutionnaires rassemblés dans Paris ne doivent inspirer aucune crainte ; il demande en mêmetemps la dissolution des sociétés vigilantes , dont le regärd a ...
... il loutient encore aujourd'hui que ces prêtres , que tous les contre - révolutionnaires rassemblés dans Paris ne doivent inspirer aucune crainte ; il demande en mêmetemps la dissolution des sociétés vigilantes , dont le regärd a ...
Page 531
... je me demande : à quel degré d'aviliffement feroit donc réduit un peuple immense , plus fort encore par ses ressources naturelles que par les défenses de l'art , opposant à une confédération inonstrueuse l'avantage des combinaisons ...
... je me demande : à quel degré d'aviliffement feroit donc réduit un peuple immense , plus fort encore par ses ressources naturelles que par les défenses de l'art , opposant à une confédération inonstrueuse l'avantage des combinaisons ...
Page 538
C'est de cette manière que nous pourrons montrer au roi ce qu'il demande depuis trés - long - temps , de savoir à quoi s'en tenir . On ne laiflera rien dans ses mains si l'on veut , mais il faut le lui montrer pour le convaincre ...
C'est de cette manière que nous pourrons montrer au roi ce qu'il demande depuis trés - long - temps , de savoir à quoi s'en tenir . On ne laiflera rien dans ses mains si l'on veut , mais il faut le lui montrer pour le convaincre ...
Page 541
M. Lafayette , appelé à la tribune par un grand nombre de voix qui l'invitoient á répondre à M. Danton , y est monté ; il a dit a peu près : « Meffieurs , l'un des préopinans me demande pourquoi je viens me réunir à cette société .
M. Lafayette , appelé à la tribune par un grand nombre de voix qui l'invitoient á répondre à M. Danton , y est monté ; il a dit a peu près : « Meffieurs , l'un des préopinans me demande pourquoi je viens me réunir à cette société .
Page 544
... a pas dit que je doutois de mes braves soldats , on se demande , pourquoi vous paroissez faire une supposition toute gratuite , & mettre ainsi à la difcussion ce qui n'y étoit nullement , en laisant de côté ce dont il s'agissoit .
... a pas dit que je doutois de mes braves soldats , on se demande , pourquoi vous paroissez faire une supposition toute gratuite , & mettre ainsi à la difcussion ce qui n'y étoit nullement , en laisant de côté ce dont il s'agissoit .
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Common terms and phrases
ainſi annoncé appelé armée armes aura auroit avant avoit avons bataillons c'eſt camp cent chargé château citoyens comité commandant commune compte conſtitution convention corps cour crimes d'autres d'être déclaration décret demande départemens département députés dernier devant dire doit donner doute écrit enfin ennemis eſt étoient étoit fans fera font force forme garde garde nationale général gens guerre heures hommes j'ai jour juges juſqu'à l'allemblée l'armée l'aſſemblée nationale l'ennemi l'ordre Lafayette lettre liberté libre lieu livres loix Louis XVI Luckner main marche membres ment meſures mettre militaire mille miniſtre mort moyens municipalité n'eſt nation nombre nouvelle officiers ordres parler patrie patriotes perſonne peuple place pluſieurs porter pouvoir exécutif premier pris projet public publique qu'à qu'un quatre rapport rendre renvoyé révolution rien s'eſt s'il ſans ſera ſeront ſes ſoit ſon ſont ſous ſur tête tion troupes trouvé volontaires
Popular passages
Page 193 - A ces grands intérêts se joint encore un but également important, et qui tient à cœur aux deux souverains, c'est de faire cesser l'anarchie dans l'intérieur de la France, d'arrêter les attaques portées au trône et à l'autel, de rétablir le pouvoir légal, de rendre au roi la sûreté et la liberté dont il est privé, et de le mettre en état d'exercer l'autorité légitime qui lui est due.
Page 197 - C'est par ces raisons que je requiers et exhorte tous les habitants du royaume, de la manière la plus forte et la plus instante, de ne pas s'opposer à la marche et aux opérations des troupes que je commande, mais de leur accorder plutôt partout une libre entrée et toute bonne volonté, aide et assistance que les circonstances pourront exiger. Donné au quartier général de Coblentz, le 25 juillet 1792. Signé: ClIARLKS-GiJILLAUME FERDINAND, dltcde Brunswick-Lvnebourg. ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE....
Page 534 - ... route par laquelle ils peuvent la sauver. « Persuadé, messieurs, qu'ainsi que les droits de l'homme sont la loi de toute assemblée constituante , une constitution devient la loi des législateurs qu'elle a établis, c'est à vous-mêmes que je dois dénoncer les efforts trop puissans que l'on fait pour vous écarter de cette règle que vous avez promis de suivre.
Page 589 - Roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter, mais il a besoin de dire à la Nation française que la violence, à quelque excès qu'on veuille la porter, ne lui arrachera jamais un consentement à tout ce qu'il croira contraire à l'intérêt public.
Page 73 - Toute personne revêtue d'un signe de rébellion , sera poursuivie devant les tribunaux ordinaires ; et , en cas qu'elle soit convaincue de l'avoir pris à dessein , elle sera punie de mort. Il est ordonné à tout citoyen de l'arrêter ou de la dénoncer sur-lechamp , à peine d'être réputé complice : toute cocarde autre que celle aux trois couleurs nationales, est un signe de rébellion.
Page 380 - ... son aise les deux seules divinités dignes du culte d'une nation éclairée. Mardi matin, ces deux belles figures se trouvèrent dépouillées de toutes leurs draperies, et malicieusement exposées à tous les regards dans la nudité la plus hideuse et la moins décente. Ce délit mérite punition. Il est dû sans doute à quelques prêtres jaloux de l'encens brûlé la veille sur d'autres autels que les leurs.
Page 534 - ... respecte encore plus le peuple dont la Constitution est la volonté suprême; ni la bienveillance que vous m'avez constamment témoignée, car je veux la conserver comme je l'ai obtenue, par un inflexible amour de la liberté. Vos circonstances sont difficiles. La France est menacée au-dehors et agitée au-dedans. Tandis que des cours étrangères annoncent l'intolérable projet d'attenter à notre souveraineté nationale, et se déclarent ainsi les ennemis de la France, des ennemis intérieurs,...
Page 213 - ... que, la patrie étant en danger, tous les hommes français sont de fait appelés à la défendre, que les citoyens vulgairement et aristocratiquement connus sous le nom de citoyens passifs, sont des hommes français, partant qu'ils doivent être et qu'ils sont appelés tant dans le service de la garde nationale pour y porter les armes, que dans les sections et dans les assemblées primaires, pour y délibérer. En conséquence, les citoyens qui ci-devant composaient...
Page 538 - Messieurs, j'ai obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie, à vous, au Roi, et surtout à moi-même , à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel hommage de mon dévouement à son autorité constitutionnelle, de ma reconnaissance personnelle et de mon respect pour elle.