Révolutions de Paris: dédiées à la nation et au district des Petits-Augustins, Issues 154-171De l'imprimerie de P. de Lormel, 1792 - France |
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... juges : d'autres portent les yeux plus haut , & n'épargnent point les adminiftrateurs du département & les miniftres du roi . Le premier de tous les fonctionnaires eft le principal ob- jet de leurs philippiques . Parmi tous ces ...
... juges : d'autres portent les yeux plus haut , & n'épargnent point les adminiftrateurs du département & les miniftres du roi . Le premier de tous les fonctionnaires eft le principal ob- jet de leurs philippiques . Parmi tous ces ...
Page 578
... juges de paix , fes commen- faux , un procès contre le patriote Santerre , & qui eft convenu avec le directoire du département de faire del- tituer le fage Pétion & fes collègues , trop jufte châtiment pour s'être refufés à lui demander ...
... juges de paix , fes commen- faux , un procès contre le patriote Santerre , & qui eft convenu avec le directoire du département de faire del- tituer le fage Pétion & fes collègues , trop jufte châtiment pour s'être refufés à lui demander ...
Page 28
... jugés . S'il avoit carte blanche , & que cependant le roi lui ait enjoint particuliérement de fe re- plier fous Lille , qu'il faffe connoître la lettre du roi , & le roi eft déchu de la couronne . Si Luckner n'a pas reçu de lettre ...
... jugés . S'il avoit carte blanche , & que cependant le roi lui ait enjoint particuliérement de fe re- plier fous Lille , qu'il faffe connoître la lettre du roi , & le roi eft déchu de la couronne . Si Luckner n'a pas reçu de lettre ...
Page 52
... jugés aux premiers pas qu'ils faifoient en entrant , & cela chaque jour ; les tribunes étoient inexorables . Il ne man - ` qua à cette fcène que la préfence de Lafayette , & c'eft dommage qu'elle n'ait pas été jouée à la féance où le ...
... jugés aux premiers pas qu'ils faifoient en entrant , & cela chaque jour ; les tribunes étoient inexorables . Il ne man - ` qua à cette fcène que la préfence de Lafayette , & c'eft dommage qu'elle n'ait pas été jouée à la féance où le ...
Page 58
... juges de paix du département de Paris font devenus entre les mains du roi des inftrumens de perfécution ; enfin que par l'influence de la lifte civile , par l'injufte rigueur du pouvoir exécutif envers les amis de la révo- lution , par ...
... juges de paix du département de Paris font devenus entre les mains du roi des inftrumens de perfécution ; enfin que par l'influence de la lifte civile , par l'injufte rigueur du pouvoir exécutif envers les amis de la révo- lution , par ...
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Common terms and phrases
ainfi annoncé appelé armée armes arrêté auffi aura avant avoient avoit avons bataillons c'eft camp caufe cent chargé château chef citoyens comité commandant commiffaires commune compte confeil configne conftitution convention corps cour d'autres d'être déclaration décret demande départemens département députés dernier dire doit donner doute écrit enfin ennemis étoient étoit fans féance fection fera feront feul foit foldats fommes font force forme forte fous fuite garde nationale général gens guerre heures hommes j'ai jour juges l'affemblée nationale l'armée l'ennemi Lafayette législatif lettre liberté libre lieu livres loix Louis XVI Luckner main marche membres ment mettre militaire mille miniftre mort moyens municipalité n'eft nation nombre nommé nouvelle officiers ordres paffer patrie patriotes perfonne peuple place plufieurs porter pouvoir exécutif préfent premier pris projet propofé public publique qu'à qu'un quatre rapport refte rendre renvoyé rien s'eft s'il tête tion troupes trouvé
Popular passages
Page 193 - A ces grands intérêts se joint encore un but également important, et qui tient à cœur aux deux souverains, c'est de faire cesser l'anarchie dans l'intérieur de la France, d'arrêter les attaques portées au trône et à l'autel, de rétablir le pouvoir légal, de rendre au roi la sûreté et la liberté dont il est privé, et de le mettre en état d'exercer l'autorité légitime qui lui est due.
Page 197 - C'est par ces raisons que je requiers et exhorte tous les habitants du royaume, de la manière la plus forte et la plus instante, de ne pas s'opposer à la marche et aux opérations des troupes que je commande, mais de leur accorder plutôt partout une libre entrée et toute bonne volonté, aide et assistance que les circonstances pourront exiger. Donné au quartier général de Coblentz, le 25 juillet 1792. Signé: ClIARLKS-GiJILLAUME FERDINAND, dltcde Brunswick-Lvnebourg. ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE....
Page 534 - ... route par laquelle ils peuvent la sauver. « Persuadé, messieurs, qu'ainsi que les droits de l'homme sont la loi de toute assemblée constituante , une constitution devient la loi des législateurs qu'elle a établis, c'est à vous-mêmes que je dois dénoncer les efforts trop puissans que l'on fait pour vous écarter de cette règle que vous avez promis de suivre.
Page 589 - Roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter, mais il a besoin de dire à la Nation française que la violence, à quelque excès qu'on veuille la porter, ne lui arrachera jamais un consentement à tout ce qu'il croira contraire à l'intérêt public.
Page 73 - Toute personne revêtue d'un signe de rébellion , sera poursuivie devant les tribunaux ordinaires ; et , en cas qu'elle soit convaincue de l'avoir pris à dessein , elle sera punie de mort. Il est ordonné à tout citoyen de l'arrêter ou de la dénoncer sur-lechamp , à peine d'être réputé complice : toute cocarde autre que celle aux trois couleurs nationales, est un signe de rébellion.
Page 380 - ... son aise les deux seules divinités dignes du culte d'une nation éclairée. Mardi matin, ces deux belles figures se trouvèrent dépouillées de toutes leurs draperies, et malicieusement exposées à tous les regards dans la nudité la plus hideuse et la moins décente. Ce délit mérite punition. Il est dû sans doute à quelques prêtres jaloux de l'encens brûlé la veille sur d'autres autels que les leurs.
Page 534 - ... respecte encore plus le peuple dont la Constitution est la volonté suprême; ni la bienveillance que vous m'avez constamment témoignée, car je veux la conserver comme je l'ai obtenue, par un inflexible amour de la liberté. Vos circonstances sont difficiles. La France est menacée au-dehors et agitée au-dedans. Tandis que des cours étrangères annoncent l'intolérable projet d'attenter à notre souveraineté nationale, et se déclarent ainsi les ennemis de la France, des ennemis intérieurs,...
Page 213 - ... que, la patrie étant en danger, tous les hommes français sont de fait appelés à la défendre, que les citoyens vulgairement et aristocratiquement connus sous le nom de citoyens passifs, sont des hommes français, partant qu'ils doivent être et qu'ils sont appelés tant dans le service de la garde nationale pour y porter les armes, que dans les sections et dans les assemblées primaires, pour y délibérer. En conséquence, les citoyens qui ci-devant composaient...
Page 538 - Messieurs, j'ai obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie, à vous, au Roi, et surtout à moi-même , à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel hommage de mon dévouement à son autorité constitutionnelle, de ma reconnaissance personnelle et de mon respect pour elle.