Révolutions de Paris: dédiées à la nation et au district des Petits-Augustins, Issues 154-171De l'imprimerie de P. de Lormel, 1792 - France |
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Page 524
... avoit fait entendre qu'en 1792 il lui laifferoit jouer le rôle d'un fecond Richelier ; & le fieur Dumourier trompé lui- même par fon orgueil & les promeffes de la cour , avoit donné tête baiffée dans le piége . Petit fultan en fous ...
... avoit fait entendre qu'en 1792 il lui laifferoit jouer le rôle d'un fecond Richelier ; & le fieur Dumourier trompé lui- même par fon orgueil & les promeffes de la cour , avoit donné tête baiffée dans le piége . Petit fultan en fous ...
Page 539
... avoit qu'à parler pour le faire marcher contre les ennemis à la tête de nos armées . Infenfés partifans de cet homme hypocrite ! direz - vous encore qu'il n'alloit à la cour que pour épier fes mou- vemens & fervir la nation ? Direz ...
... avoit qu'à parler pour le faire marcher contre les ennemis à la tête de nos armées . Infenfés partifans de cet homme hypocrite ! direz - vous encore qu'il n'alloit à la cour que pour épier fes mou- vemens & fervir la nation ? Direz ...
Page 540
... avoit eues avec lui , lorfque les amis de la conftitution fe flattoient d'éteindre toutes femences de difcorde & de divifions , M. Lafayette lui avoit paru défirer un changement à peu près fem- blable à celui propofé maintenant par M ...
... avoit eues avec lui , lorfque les amis de la conftitution fe flattoient d'éteindre toutes femences de difcorde & de divifions , M. Lafayette lui avoit paru défirer un changement à peu près fem- blable à celui propofé maintenant par M ...
Page 541
... avoit jamais été auffi sûr de la liberté , qu'a- près avoir joui du fpectacle que venoit de lui offrir dans cette journée le peuple de la capitale . M. Lafayette ne fit pas d'autre réponse ; il ne répondit pas un mot aux interpellations ...
... avoit jamais été auffi sûr de la liberté , qu'a- près avoir joui du fpectacle que venoit de lui offrir dans cette journée le peuple de la capitale . M. Lafayette ne fit pas d'autre réponse ; il ne répondit pas un mot aux interpellations ...
Page 564
... avoit dit qu'on avoit voulu payer des citoyens pour venir aux tribunes huer les opinions contraires aux Feuillans . Le renvoi a été décrété . M. Thuriot a demandé que le juge de paix de la fection des Poftes fût tenu d'envoyer une ...
... avoit dit qu'on avoit voulu payer des citoyens pour venir aux tribunes huer les opinions contraires aux Feuillans . Le renvoi a été décrété . M. Thuriot a demandé que le juge de paix de la fection des Poftes fût tenu d'envoyer une ...
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Common terms and phrases
adminiftrateurs adreffes affemblées affez affure ainfi armée auffi auroit Autrichiens avoient avoit bataillons befoin c'eft c'eſt camp camp de Maulde caufe château chofe citoyens Coblentz commiffaires commiffion confeil conferver confidérable configne conftitution convention nationale corps législatif crété déclaration départemens département députés difpofitions directoire Dumourier enfuite ennemis eſt étoient étoit falut fang fans doute fayette fe font féance feconde fecrétaire fection femblée fera feront fervice fervir feul fieur figné fociété foit foldats fommes fous fuiffes fuivant fujet furveillance garde nationale général guerre habitans jour jufqu'à juftice l'affemblée a décrété l'affemblée nationale l'armée l'ennemi Lafayette laiffer lettre liberté loix Longwy Louis XVI Luckner magiftrats maifon mefures mille hommes miniftre motion municipalité n'eft n'étoit nation néceffaire obfervations officiers paffer Parifiens patrie patriotes perfonne Pétion pétition peuple plufieurs pofte pouvoir exécutif préfent préfident prifes propofé propofition Pruffiens refpect refte Renvoyé au comité repréfentans s'eft tion toyens troupes Tuileries
Popular passages
Page 193 - A ces grands intérêts se joint encore un but également important, et qui tient à cœur aux deux souverains, c'est de faire cesser l'anarchie dans l'intérieur de la France, d'arrêter les attaques portées au trône et à l'autel, de rétablir le pouvoir légal, de rendre au roi la sûreté et la liberté dont il est privé, et de le mettre en état d'exercer l'autorité légitime qui lui est due.
Page 197 - C'est par ces raisons que je requiers et exhorte tous les habitants du royaume, de la manière la plus forte et la plus instante, de ne pas s'opposer à la marche et aux opérations des troupes que je commande, mais de leur accorder plutôt partout une libre entrée et toute bonne volonté, aide et assistance que les circonstances pourront exiger. Donné au quartier général de Coblentz, le 25 juillet 1792. Signé: ClIARLKS-GiJILLAUME FERDINAND, dltcde Brunswick-Lvnebourg. ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE....
Page 534 - ... route par laquelle ils peuvent la sauver. « Persuadé, messieurs, qu'ainsi que les droits de l'homme sont la loi de toute assemblée constituante , une constitution devient la loi des législateurs qu'elle a établis, c'est à vous-mêmes que je dois dénoncer les efforts trop puissans que l'on fait pour vous écarter de cette règle que vous avez promis de suivre.
Page 589 - Roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter, mais il a besoin de dire à la Nation française que la violence, à quelque excès qu'on veuille la porter, ne lui arrachera jamais un consentement à tout ce qu'il croira contraire à l'intérêt public.
Page 73 - Toute personne revêtue d'un signe de rébellion , sera poursuivie devant les tribunaux ordinaires ; et , en cas qu'elle soit convaincue de l'avoir pris à dessein , elle sera punie de mort. Il est ordonné à tout citoyen de l'arrêter ou de la dénoncer sur-lechamp , à peine d'être réputé complice : toute cocarde autre que celle aux trois couleurs nationales, est un signe de rébellion.
Page 380 - ... son aise les deux seules divinités dignes du culte d'une nation éclairée. Mardi matin, ces deux belles figures se trouvèrent dépouillées de toutes leurs draperies, et malicieusement exposées à tous les regards dans la nudité la plus hideuse et la moins décente. Ce délit mérite punition. Il est dû sans doute à quelques prêtres jaloux de l'encens brûlé la veille sur d'autres autels que les leurs.
Page 534 - ... respecte encore plus le peuple dont la Constitution est la volonté suprême; ni la bienveillance que vous m'avez constamment témoignée, car je veux la conserver comme je l'ai obtenue, par un inflexible amour de la liberté. Vos circonstances sont difficiles. La France est menacée au-dehors et agitée au-dedans. Tandis que des cours étrangères annoncent l'intolérable projet d'attenter à notre souveraineté nationale, et se déclarent ainsi les ennemis de la France, des ennemis intérieurs,...
Page 213 - ... que, la patrie étant en danger, tous les hommes français sont de fait appelés à la défendre, que les citoyens vulgairement et aristocratiquement connus sous le nom de citoyens passifs, sont des hommes français, partant qu'ils doivent être et qu'ils sont appelés tant dans le service de la garde nationale pour y porter les armes, que dans les sections et dans les assemblées primaires, pour y délibérer. En conséquence, les citoyens qui ci-devant composaient...
Page 538 - Messieurs, j'ai obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie, à vous, au Roi, et surtout à moi-même , à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel hommage de mon dévouement à son autorité constitutionnelle, de ma reconnaissance personnelle et de mon respect pour elle.