Chef-d'Œuvres dramatiques, Volume 21791 |
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acte Aglaé aime Allez ALZONDE amant AMÉLIE amour ARONDE ARONDEL asyle avoit ayeux bonheur Calprénede chagrins Charles IX chere Ciel cœur Comte de Salisbury Comtesse de Salisbury connois connoître coupable courroux craint crime cruel d'Edouard déja derniere desirs destin douleur DUMONT ÉDOUARD Edouard III enfin êtes étoit EUGENIE fille foible foiblesse frémis fuir funeste fureur Gardes GLASTON gloire goût grace Gresset haine HAMILTON Henri Héros heureux hymen Ismene j'ai j'aurois j'en j'étois jours l'ame l'amitié l'amour l'Écosse l'honneur l'horreur l'interrompant l'univers laisse lieux loix Londre long-tems maître malheur MATHURINE maux moi-même Monsieur mort mortelle nom d'Aglaé Norvege paroître Patrie peine pere peuple plaisirs poignard pouvois projet régner rien Rois Rosalie s'il sais sauver SCENE PREMIERE SCENE VII secret Seigneur séjour sentimens seroit seul SIDNEY soins sort tems tendre tendresse Théatre traître trépas triste trône vertu veut vœux vois vois-je voix VOLFAX Vorcestre yeux zele
Popular passages
Page 9 - j'aime les pays où l'on trouve des hommes. Quel diable de jargon ! Je ne vous connois plus. Vous ne m'aviez, pas fait au métier de reclus. Depuis votre retour du voyage de France , Où mon goût près de vous me mit par préférence, Je n'avois pas encor regretté mon pays
Page 73 - De la Patrie enfin je n'entends plus la voix ! Des traîtres, des complots qu'elle soit la victime : l'horreur doit habiter dans le séjour du crime. Que la guerre y répande et le deuil et l'effroi ; Mon ami m'est ravi , tout est fini pour moi ! L'univers ne m'est plus qu'un désert où j'expire... le supplice est-il prêt
Page 13 - soins, tous les maux que l'Empire partage : Voilà le joug brillant auquel je suis lié , Sort toujours déplorable , et toujours envié ! C'est peu que les périls, l'esclavage et la peine, Que dans tous les États le ministère entraîne ; Jugez quels nouveaux soins exigent mes devoirs , Ministre d'un Empire où régnent deux pouvoirs
Page 30 - Tout mon repos dépend de votre diligence,... Au reste , en attendant que j'aille au premier jour De ce nouveau bienfait remercier la Cour > Vous m'y justifîrez. D'une pareille absence Ma mauvaise santé sauvera l'indécence. Après ces soins remplis, je vous attends ici. Partez , si vous aimez un. malheureux ami
Page 42 - Eugénie au point de fuir ma Cour : L'amour va réparer le crime de l'amour. Oui, fût-il condamné , le sang de ce que j'aime Est sacré dans ces lieux, ainsi que le mien même* Sans le sceau de ma main les loix ne peuvent rien : Le coupable est son père , et son
Page 69 - cet amour va sortir : C'en est fait.... Mais songez qu'après cette victoire , Si je puis l'obtenir, je suis tout à ma gloire; Qu'à ma gloire rendu, n'agissant plus qu'en Roi, Un pardon dangereux ne dépend plus de moi. La Justice a parlé; je lui dois sa victime.... Vous voyez la fureur et l'amour qui m'anime, Madame
Page 32 - beauté n'est point née Pour une dépendance au peuple destinée : L'Empire est son partage; et c'est elle en ce jour , C'est elle qu'avec moi va couronner l'amour, Si , moins contraire enfin au bonheur où j'aspire, Le sort veut terminer les maux dont je soupire.
Page 12 - et de débris Voyez les flots couverts. La discorde a troublé la sûreté des mers. Un reste fugitif de l'Ecosse asservie » Sur ces côtes errant, sans espoir , sans patrie, Au milieu de son cours troublant votre vaisseau, Pourroit vous entraîner dans un exil nouveau. Attendez que la paix, rendue à ces contrées, Vous ouvre sur les eaux des routes assurées.
Page 7 - par la victoire, Le soldat redemande Edouard et la gloire. Le peuple veut la paix. Au nom de nos Héros , Je vais porter le Prince à des exploits nouveaux. Je ne crains que Vorcestre. Ame de cet Empire, II range, il conduit tout à la paix qu'il
Page 29 - j'en crois votre vertu , J'en crois mon sang. Montrez cette âme magnanime; Vous pouvez, par l'effort d'une vertu sublime , Dans nos fastes brillans précéder les Héros , Quelque degré d'honneur qu'atteignent leurs travaux* Au de-li de leur sort la gloire vous appelle; Le Ciel a fait pour vous une vertu nouvelle. Même au-dessus du Trône il est encore un rang