Histoire de la révolution française, Volume 7Langlois et Leelereq, 1855 - France |
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... trouvait d'accord avec la conduite que Marat tint dans ces circon- stances . Il ne parut nulle part , se tint caché dans son souterrain pen- dant toute la journée du 10 août , et n'en sortit qu'après le combat , qu'après la victoire ...
... trouvait d'accord avec la conduite que Marat tint dans ces circon- stances . Il ne parut nulle part , se tint caché dans son souterrain pen- dant toute la journée du 10 août , et n'en sortit qu'après le combat , qu'après la victoire ...
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... trou- vait obstrué d'une multitude de maisons plus ou moins élevées , formant des rues avec divers détours , les- quelles pouvaient être considérées comme autant de chemins couverts , par où il était facile d'arriver sans péril jusqu'à ...
... trou- vait obstrué d'une multitude de maisons plus ou moins élevées , formant des rues avec divers détours , les- quelles pouvaient être considérées comme autant de chemins couverts , par où il était facile d'arriver sans péril jusqu'à ...
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... trouvait , aux approches de la nuit , rangée en bataille sur la grande place du Louvre . Les bataillons appelés par Mandat à défendre le trône arrivèrent suc- cessivement , et , en première ligne , celui des Filles- Saint - Thomas ...
... trouvait , aux approches de la nuit , rangée en bataille sur la grande place du Louvre . Les bataillons appelés par Mandat à défendre le trône arrivèrent suc- cessivement , et , en première ligne , celui des Filles- Saint - Thomas ...
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... trouvait dépou- drée et aplatie d'un côté seulement ; accident ridicule et , dans un tel moment , d'une fatalité tragique ! En habit violet , le chapeau sous le bras , l'épée au côté et les yeux rouges de larmes qu'en secret il avait ...
... trouvait dépou- drée et aplatie d'un côté seulement ; accident ridicule et , dans un tel moment , d'une fatalité tragique ! En habit violet , le chapeau sous le bras , l'épée au côté et les yeux rouges de larmes qu'en secret il avait ...
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... trouvait menacé maintenant par beaucoup de ceux qui avaient été appelés pour le défendre ! 1 Mémoires de Mme Campan , t . II , chap . xx1 , p . 244 . - 2 Georges Duval , Souvenirs de la Terreur , t . II , p . 448. L'auteur entendit ces ...
... trouvait menacé maintenant par beaucoup de ceux qui avaient été appelés pour le défendre ! 1 Mémoires de Mme Campan , t . II , chap . xx1 , p . 244 . - 2 Georges Duval , Souvenirs de la Terreur , t . II , p . 448. L'auteur entendit ces ...
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Common terms and phrases
10 août accusé armée avaient Barbaroux Barère Bertrand de Moleville Brissot Buzot c'était Camille Desmoulins Chabot chap château citoyens club des Jacobins cœur Comité de surveillance commissaires Commune conseil général Convention coup crime Danton déclara décret demande députés devant discours duc de Brunswick Dumouriez ennemis Fabre d'Églantine fédérés fureur Garat gardes nationaux Georges Duval Gironde Girondins Guadet heures Histoire parlementaire hommes Ibid jour Jourgniac de Saint-Méard Journal de Cléry journées de septembre juger justice l'Abbaye l'abbé Sicard l'Assemblée l'Histoire l'hôtel lettre liberté Louis XVI Louvet Marat Marseillais massacre Maton Mémoires de Dumouriez ment Michelet ministre Mme Roland Montagnards mort municipalité n'avait n'était passer patrie patriotes Peltier Pétion peuple Pfyffer prêtres prison prisonniers Prudhomme Prusse Prussiens récit République Révolution Robespierre Roederer royale s'était Saint-Just Saint-Méard sang Santerre séance sections septembre 1792 serait seul soldats Suisses tion tribune tyrannie ubi supra Varenne Vergniaud XVII
Popular passages
Page 247 - Vous qui soutenez la patrie chancelante contre le torrent du despotisme et de l'intrigue, vous que je ne connais que, comme Dieu, par des merveilles ; je m'adresse à vous, monsieur, pour vous prier de vous réunir à moi pour sauver mon triste pays.
Page 392 - Un jour peut-être les hommes , aussi éloignés de nos préjugés que nous le sommes de ceux des Vandales , s'étonneront de la barbarie d'un siècle où ce fut quelque chose...
Page 189 - Hier fut un jour sur les événements duquel IL FAUT peut-être laisser UN VOILE. Je sais que le Peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice...
Page 148 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace^ toujours de l'audace, et la France est sauvée.
Page 147 - Paris concerte avec le pouvoir exécutif les mesures qu'elle est dans l'intention de prendre. Je demande aussi que l'Assemblée nationale, qui dans ce moment-ci est plutôt un grand comité militaire qu'un Corps législatif, envoie à l'instant, et chaque jour, douze commissaires au camp, non pour exhorter par de vains discours les citoyens à travailler, mais pour piocher eux-mêmes (Vifs applaudissements) ; car il n'est plus temps de discourir, il faut piocher la fosse de nos ennemis, ou chaque...
Page 352 - ... diffamation dont il avait d'avance arrangé tout le plan , a cru pouvoir alors imprimer impunément que je les avais dirigés , je me contenterais de l'abandonner au remords, si le remords ne supposait une âme. Je dirai , pour ceux que l'imposture...
Page 426 - Mais vous, qui ne vous avisâtes jamais de les réclamer en faveur de tant de malheureux dont les délits sont moins les leurs que ceux du gouvernement par quelle fatalité vous en souvenez-vous seulement pour plaider la cause du plus grand de tous les criminels?
Page 424 - Proposer de faire le procès à Louis XVI, de quelque manière que ce puisse être, c'est rétrograder vers le despotisme royal et constitutionnel ; c'est une idée contre-révolutionnaire, car c'est mettre la révolution elle-même en litige. En effet, si Louis peut être encore l'objet d'un procès, Louis peut être absous ; il peut être innocent : que dis-je!
Page 359 - Convention nationale l'aveugle instrument de vos coupables desseins, il vous suffirait de prononcer devant elle un roman bien astucieux , de lui proposer de décréter , sans désemparer, la perte de la liberté et son propre déshonneur ! Que me reste-t-il à dire contre des accusateurs qui • s'accusent eux-mêmes?... Ensevelissons, s'il est possible , ces méprisables manœuvres dans un éternel oubli. Puissions-nous dérober aux regards de la postérité ces jours peu glorieux de notre histoire...
Page 350 - Car s'il est vrai qu'une grande nation ne peut se lever par un mouvement simultané, et que la tyrannie ne peut être frappée que par la portion des citoyens, qui est plus près d'elle, comment ceux-ci oseront-ils l'attaquer, si, après la victoire, les délégués, venant des parties éloignées de...