Journal historique et littéraire, Volume 180, Part 2F. Cavelier, 1789 |
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Common terms and phrases
affemblée affez affure ainfi auffi avoient avoit Avril c'eft c'eſt caufe ceffe chofes comte confeil conféquence conferver confidération conftitution connoiffance derniere Dieu difcours efprits enfans enfuite eſt états étoient étoit évêques fage faint fanté fe font fe rendre fe trouve féance fecond fecret fens fent fera feroit fervice fervir feul fiecle foient foit foldats fommes fous fouvent fouverain fuccès fuite fuivant fujet fur-tout général hommes ipfa jours jufqu'à jufte Juillet Juin l'abbé l'affemblée l'auteur l'efprit l'Eglife laiffer lettre loix long-tems Louis XIV madame de Maintenon maifon maniere ment miniftre Moldavie n'eft n'eſt n'étoit nation néceffaire obferver ordres paffage paffé paroît PAYS-BAS penfe perfonne peuple philofophie plufieurs pofte Pologne Polonois pouvoit préfente prefque prélat premiere prince prince Potemkin Proyart puiffance puiffe queftions refpect refte religion réponſe république Ruffie s'eft Selim III Suede tems tion troupes Turcs vaiffeaux دو رو وو
Popular passages
Page 532 - Majesté, quelque état, quelque rang qu'ils puissent avoir, sont personnellement responsables des malheurs présents et de tous ceux qui peuvent suivre. Déclare que, la dette publique ayant été mise sous la garde de l'honneur et de la loyauté française, et la Nation ne refusant pas d'en payer les intérêts...
Page 390 - ... déclare, à l'unanimité des suffrages, consentir provisoirement, pour la nation, que les impôts et contributions, quoique illégalement établis et perçus, continuent d'être levés de la même manière qu'ils l'ont été précédemment, et ce, jusqu'au jour seulement de la première séparation de cette Assemblée, de quelque cause qu'elle puisse provenir.
Page 400 - Homère, c'est de tout animer, et de nous pénétrer sans cesse des mouvements qui l'agitent; c'est de tout subordonner à la passion principale, de la suivre dans ses fougues, dans ses écarts, dans ses inconséquences, de la porter jusqu'aux nues, et de la faire tomber, quand il le faut, par la force du sentiment et de la vertu, comme la flamme de l'Etna que le vent repousse au fond de...
Page 133 - C'est dans cette confiance. Messieurs, que je vous ai rassemblés, et je vois avec sensibilité qu'elle a déjà été justifiée par les dispositions que les deux premiers Ordres ont montrées à renoncer à leurs privilèges pécuniaires.
Page 470 - Majefté les vives aïlarmes qu'infpire à l'afîemblée nationale de fort royaume , l'abus qu'on s'eft permis depuis quelque temps du nom d'un bon roi pour faire approcher de la capitale & de cette ville : de...
Page 390 - Enfin, l'assemblée, devenue active, reconnaît aussi qu'elle doit ses premiers momens à l'examen des causes qui produisent dans les provinces du royaume la disette qui les afflige, et à la recherche des moyens qui peuvent y remédier de la manière la plus efficace et la plus prompte. En conséquence, elle a arrêté .de nommer un comité pour s'occuper de cet important objet ; et que sa majesté sera suppliée de faire remettre à ce comité tous les renseignemens dont il pourrait avoir besoin.
Page 177 - Après le second entretien, le Roi convint que cet homme lui avoit dit une chose qui lui étoit arrivée il y avoit plus de vingt ans, et que lui seul savoit, parce qu'il ne l'avoit jamais dite à personne, et il ajouta que c'étoit un fantôme qu'il avoit vu dans la forêt de SaintGermain, et dont il étoit sûr de n'avoir jamais parlé. Il s'expliqua encore...
Page 399 - ... au confeil des dieux , fondant les » replis du cœur humain , & bientôt, riche « de fes découvertes , ivre des beautés de...
Page 389 - L'aflembiée nationale confidérant gué le premier ufage qu'elle doit faire du pouvoir dont 'la nation recouvre l'exercice , fous les aufpices *d'un Monarque qui, jugeant qu'elle...
Page 531 - Paris m'ont forcé de prendre; c'est à moi seul de juger de leur nécessité, et je ne puis à cet égard apporter aucun changement.