| François Hue - France - 1806 - 542 pages
...l'estrade du Président, et, debout à côté de lui, il dit : " Je suis venu ici, pour éviter un " grand crime, et je pense que je ne saurais être plus " en sûreté qu'au milieu de vous, Messieurs."— *• " Vous pouvez, Sire," répondit le Président (Gua*det), " compter sur la fermeté de l'Assemblée... | |
| Antoine Etienne Nicolas Fantin des Odoards - 1807 - 460 pages
...journalistes. Le roi dit : Je suis venu ici pour éviter un grand crime qui allait se commettre ,• je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu des représentans de la nation. Guadet occupait alors le fauteuil en l'absence du président ; il répondit... | |
| Claude-François-Xavier Millot - 1809 - 436 pages
...ministres Sainte-Croix et Dubouchage. Je suis venu, dit l'infortuné , pour sauver à mon peuple un grand crime , et je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu de vous. Après ces mots, dont l'éloquence naïve devait attendrir tout ce qui avait un cœur , il alla s'asseoir... | |
| Pierre Turbat - Procès (Trahison) - 1814 - 430 pages
...aux ministres* Le roi dit : Je suis venu ici pour é filer un grand crime qui allait SB commettre^ et je pense que je ne saurais être plus en sûreté quau milieu de vous, Messieurs. Vergniaud, président en l'absence de Merlet, répondit : « vous pouvez; , sire , compter sur la fermeté... | |
| Pierre Turbat - 1814 - 426 pages
...sûreté qu'au milieu de vous, Messieurs. Vergniaud , président en l'absence de Merlet , répondit : « vous pouvez , sire , compter sur la fermeté de l'assemblée nationale; ses membres ont juré de mourir eu soutenant les droits du peuple et les autorités constituées. » D'après les observations de quelques... | |
| Henri Le Maire - 1816 - 484 pages
...sur les siéges destinés aux ministres. « Je suis venu » ici, dit le roi, pour éviter un grand crime, » et je pense que je ne saurais être plus en » sûreté qu'au Inilieu de vous, messieurs. « Vous pouvez, sire, répondit Gua'det, qui » occupait alors le fauteuil,... | |
| Le Normant - France - 1819 - 646 pages
...l'estrade du président, et, debout à côté de lui , il dit : Je suis venu ici pour éviter un grand crime , et je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu de vous , Messieurs . Frous pouvez, Sire, répondit le président, compter sur la-fermeté de FAssemblée nationale; ses... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1821 - 550 pages
...du peuple dépose le prince royal sur le bureau. Le roi : « Je suis venu ici pour éviter un grand crime, et je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu de vous , Messieurs. » . .. FergniauX) président : «Vous pouvez , Sire, compter sur la fermeté de l'Assemblée nationale... | |
| Charles Élie marquis de Ferrières - France - 1821 - 548 pages
...du peuple dépose le prince royal sur le bureau. Le roi ; « Je suis venu ici pour éviter un grand crime, et je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu• de vous , Messieurs. » f^ergniaux, président : «Vous pouvez , Sire, compter sur la fermeté de l'Assemblée nationale... | |
| 1821 - 548 pages
...du peuple dépose le prince royal sur le bureau. Le roi : « Je suis venu ici pour éviter un grand crime, et je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu de vous , Messieurs. » Vergniaux, président : « Vous pouvez , Sire, compter sur la fermeté de l'Assemblée nationale... | |
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