Lettres juives, ou Correspondance philosophique, historique & critique: entre un juif voyageur en différens états de l'Europe, & ses correspondans en divers endroitsP. Paupie, 1754 |
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Common terms and phrases
Aaron Monceca adverfaires affez affuré aifément ainfi Anglois auffi autrefois Rabbin avoient avoit ayent c'eft c'eſt Caraïte Cardinal de Lorraine caufe cher Brito cher Ifaac cher Monceca chofe confiderable connoiffance content & heureux d'Ariftote Dieu differentes difputes Docteurs Efclaves effe efprits enfans enfuite eſt étoient étoit euffent fage fans femmes fent fentimens feroit fervir feul fiécle fimple foient foit font fous foutenir fouvent fpirituel François fuis fujet gens Henri IV hommes Ifaac Onis illuftres Jéfuites Jefus jufte juftice Juifs l'ame l'ame des bêtes l'effence l'efprit laiffer lefquelles LETTRE LETTRES JUIVES Loix lorfqu'il lorfque Lycurgue maniere ment miférables Miriam n'eft Nation Nazaréens paffe paffions Papus paroît Payens penfer perfonne Peuples Philofophe plaifir ples plufieurs Pontifes Porte-toi pouvoir Princes puiffe qu'un quæ Rabbin de Conftantinople raifon refte Religion ridicule Romains Simeon Souverains tems Théologiens tion Tripoli Turcs vérité zaréens
Popular passages
Page 5 - ajouter à notre idée de la matière la faculté de " penfer, que de comprendre qu'il y joigne une autre » fubftance avec la faculté de penfer ; puifque nous «• ignorons en quoi confifte la penfée , & à quelle
Page 302 - IV» 5 mais je m'appuierai de l'autorité de Brantôme , qui , quoique mauvais chrétien , était pour le temps très-bon catholique. « Quand il arrivoit à la cour quelque » fille ou dame nouvelle qui fût belle, il » (le cardinal) la venoit aussitost accoster, » et, la raisonnant, il lui disoit qu'il la » vouloit dresser de sa main. Quel dres...
Page 1 - Lettres Juives, ou correspondance philosophique, historique et critique, entre un Juif voyageur en différens Etats de l'Europe, et ses correspondans en divers endroits.
Page 5 - Subftance immaterielle qui penfe ? Car par rapport à nos notions il ne nous eft pas plus malaifé de concevoir que Dieu peut, s'il lui...
Page 328 - Rois , quand le peuple vouloit fe rendre trop puiiïant , & fortifiant au contraire le parti du peuple, quand les Rois tendoient à la tyrannie. Ariftote écrit, que le nombre des Sénateurs fut réglé à vingt-huit , parce que des trente que Lycurgue avoit...
Page 257 - On ne veut plut rien dire qu'avec efprit. Autant de mots» autant de traits. Une ode n'eft aujourd'hui qu'une faite d'épigrammcs rangées méthodiquement bout à bout.
Page 300 - M. le Duc , il s'en alla trouver Madame la Duchefle en fa chambre , pour .la faluer ; & s'approchant d'elle , elle qui étoit la même arrogance du monde, lui préfenta la main pour la baifer : M. le Cardinal , impatient de cet affront , s'approcha pour la baifer à la 'bouche , &r elle de fe reculer ; lui , perdant patience , & s'approchant de plus pres encore.
Page 240 - Amurat fongeât à faire mourir aucun Efclave , il voulut boire & manger dans leur prifon. Il leur ordonna de lui préparer un repas , & refta à rable jufqu'au jour.
Page 233 - IV portait à Biron une amitié tendre : « Je n'ai tant aimé personne comme je l'ai aimé, disait-il ; je lui eusse fié mon fils et mon royaume. Il m'a bien servi ; mais il ne peut pas dire que je ne lui ai pas sauvé la vie trois fois. Je le tirai des mains de l'ennemi à Fontaine-Française, si blessé et si étourdi de coups que, comme j'avais fait le soldat pour le sauver, je fis encore le maréchal pour la retraite. » Biron n'en poursuivit pas moins ses ambitieux desseins; c'était à la...
Page 187 - L'enfant dans la matrice, dit ce ,t grand homme , fera difforme, s'il n'a pas afles d'efi. ,, pace pour y demeurer à fon aife. Il reflemble en „ cela à un vegetable , lequel trouvant une pierre ou „ quelque autre chofe, qui le gène dans fon accroît „ fement , croit peu à peu tortu , de travers , mince -, ?, en tierementdifforme d'un côté& épais de l'autre.