J'eus sur tout cela les idées les plus étranges; je croyais que le mouvement de ma main n'était qu'une espèce d'existence fugitive, une succession de choses semblables ; je l'approchai de mes yeux : elle me parut alors plus grande que tout mon corps... Histoire naturelle, générale et particulière - Page 54by comte Georges Louis Leclerc de Buffon - 1799Full view - About this book
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - Natural history - 1749 - 584 pages
...mouvement de ma main n'étoit qu'une efpèce d' exijlence fugitive , une fuccejjïon de chofes femblables , je l'approchai de mes yeux , elle me parut alors plus grande que tout mon corps , &" elle jit difparoitre à ma vûe un nombre infini d'objets. Je commençai àfoupçonner qu'il y... | |
| Jean Sales - Human beings - 1777 - 498 pages
...vement n'étoit qu'une efpèce d'exiftcnce » fugitive , une fucceflion de chofes fembla» blés ; je l'approchai de mes yeux , elle me » parut alors plus grande que tout mon corps, » & elle fit difparoître k ma vue un nombre » infini d'objets. » Je commençai à foupçonner qu'il... | |
| comte Georges Louis Leclerc de Buffon - 1778 - 684 pages
...mouvement de ma main net oh -qu'une cfpèce d' exijlence fugitive , une fuccej/ïon de cliofes femblables , je l'approchai de mes yeux , elle me parut alors plus grande que tout mon corps , dr elle fit difparoître à ma vue un nombre infini d'objets. tement que ma main net oh qu'une petite... | |
| Jean Sales - Human beings - 1789 - 440 pages
...n'étoit qu'une efpece d'exiftence fugitive, » une fuccelîion de chofes femblables; je Tap» prochai de mes yeux , elle me parut alors. >» plus grande que tout mon corps , & elle fit » difparoîtreàmavueunnombreinfinid'objets. » Je commençai à foupçonner qu'il y... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - Natural history - 1800 - 480 pages
...mouvement de ma main n'était qu'une espèce d'existence fugitive , une succession de choses semblables; je l'approchai de mes yeux : elle me parut alors plus...disparaître à ma vue un nombre infini d'objets. \vt , , Je commençai à soupçonner qu'il y avait de l'illusion dans cette sensation qui me venoit... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...mouvement de ma main n'était qu'une espèce d'existence fugitive , une succession de choses semblables ; je l'approchai de mes yeux; elle me parut alors plus...l'illusion dans cette sensation qui me venait par les yeux. J'avais vu distinctement que ma main n'était qu'une petite partie de mon corps , et je ne pouvais... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...de ma main n'étoit qu'une espèce d'existence / „fugitive, une succession de choses semblables; je l'approchai „de mes yeux, elle me parut alors plus grande que tout mon „corps, et elle fit disparoître à ma vue un nombre infini „d'objets. „Je commençai à soupçonner qu'il y avoit... | |
| French literature - 1821 - 480 pages
...mouvement de ma main n'étoit qu'une espèce d'existence fugitive, une succession de choses semblables ; je l'approchai de mes yeux; elle me parut alors plus grande que tout mon corps , et elle fit disparoître à ma vue un nombre infini d'objets. Je commençai à soupconner qu'il y avoit de l'illusion... | |
| Sophie Cottin - Exiles - 1823 - 442 pages
...mouvement de ma main n'étoit qu'une espèce d'existence fugitive, une succession de choses semblables ; je l'approchai de mes yeux ; elle me parut alors plus grande •que tout mon corps, et elle fit disparoître à ma vue un nombre infini d'objets. (j.9 Je commençai à soupçonner qu'il y avoit de... | |
| Authors - 1824 - 514 pages
...mouvement de ma main n'était qu'une espèce d'existence fugitive, une succession de choses semblables ; je l'approchai de mes yeux : elle me parut alors plus...l'illusion dans cette sensation qui me venait par les yeux. J'avais vu distinctement que ma main n'était qu'une petite partie de mon corps , et je ne pouvais... | |
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