Histoire de la révolution française, Volume 9Lecointe, 1834 - France |
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18 fructidor agents allait Alpes armées armées du Rhin Augereau Autrichiens avaient Barras Bergame Bernadotte Bonaparte c'était Carniole Carnot cents cinq-cents Cisalpine Clichy clichyens club de Clichy Cobentzel collègues commission conseils constitution constitutionnels corps législatif coup d'état déja députés devait direc directeurs directoire division donner duché de Modène Duverne de Presle émigrés ennemis envoyés états états vénitiens eût événements faction royaliste fallait française garde nationale général en chef général Kilmaine gouvernement grenadiers guerre Hoche Italie Joubert Kerpen Kilmaine l'Adige l'Angleterre l'archiduc l'armée d'Italie l'Autriche l'empereur l'Izonzo laisser Larévellière Léoben Letourneur Lido Lille Lombardie Mantoue marche Masséna ment Milan mille hommes millions ministre Moreau moyens n'avait n'était négociation paix patriotes Pichegru pouvait préliminaires de Léoben projets propositions provinces puissance Ramel républicains république république cispadane reste réunir révolution Rewbell Rhin s'était secret seul soldats sur-le-champ Tarwis tion toire traité trésorerie Tronçon-Ducoudray troupes Tyrol vait Valteline Venise vénitiens Vérone voulait
Popular passages
Page 245 - Soldats ! le gouvernement veille sur le dépôt des lois, qui lui est confié. Les royalistes, dès l'instant qu'ils se montreront, auront vécu. Soyez sans inquiétude, et jurons par les mânes des héros qui sont morts à côté de nous pour la liberté, jurons sur nos nouveaux drapeaux : « Guerre implacable aux ennemis de la République et de la Constitution de l'an III ! » La fête fut suivie d'un grand banquet, où de nombreux toasts furent portés au milieu d'une exaltation croissante.
Page 380 - Le peuple français, pour être libre, avait les rois à combattre. Pour obtenir une Constitution fondée sur la raison, il avait dix-huit siècles de préjugés à vaincre : la constitution de l'an III et vous, avez triomphé de tous ces obstacles.
Page 245 - Soldats, je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la patrie ; mais la patrie ne peut courir de dangers réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait triompher de l'Europe coalisée sont là. Des montagnes nous séparent de la France; vous les franchiriez avec la rapidité de l'aigle, s'il le fallait, pour maintenir la Constitution, défendre la liberté, protéger le Gouvernement et les républicains.
Page 381 - Vous êtes parvenus à organiser la grande « nation dont le vaste territoire n'est circonscrit « que parce que la nature en a posé elle-même
Page 97 - ... entière et de vrai sauveur de l'Allemagne ? Ne croyez pas , Monsieur le Général en chef, que j'entende par là qu'il ne vous soit pas possible de la sauver par la force des armes ; mais , dans la supposition que les chances de la guerre vous deviennent favorables , l'Allemagne n'en sera pas moins ravagée. Quant à moi...
Page 97 - L'Europe, qui avait pris les armes contre la République française, les a posées. Votre nation reste seule; et cependant le sang va couler encore plus que jamais. Cette sixième campagne s'annonce par des présages sinistres. Quelle qu'en soit l'issue, nous tuerons de part et d'autre quelques milliers...
Page 319 - La légalité était une illusion à la suite d'une révolution comme la nôtre. Ce n'est pas à l'abri de la puissance légale que tous les partis pouvaient venir se soumettre et se reposer ; il fallait une puissance plus forte , pour les réprimer, les rapprocher, les fondre, et pour les protéger tous contre l'Europe en armes : et cette puissance , c'était la puissance militaire.
Page 383 - Chiavenna, de Bormio et de la Valteline; aux peuples de Gênes, aux fiefs impériaux, aux peuples des départements de Corcyre , de la mer Egée et d'Ithaque. — Envoyé à Paris les chefs-d'œuvre de Michel...
Page 195 - Je n'examinerai point si leur envahissement, médité peut-être avant les attentats qui lui servirent de motifs, n'est pas destiné à figurer dans l'histoire comme un digne pendant du partage de la Pologne. Je veux bien...
Page 97 - Vous , Monsieur le Général en chef, qui, par votre naissance, approchez si près du trône et êtes au-dessus de toutes les petites passions qui animent souvent les ministres et les gouvernements , êtes-vous décidé à mériter le titre de bienfaiteur de l'humanité entière et de vrai sauveur de l'Allemagne ? Ne croyez...