 | French literature - 1780 - 394 pages
...(ecles & faclio-ns, &. jugent pour ou contre fans confîdérer l'équité de la caufe. Vous êtes Juges du pré ou du champ, non de la vie, non des mœurs , non de la Religion. Vous penfez bien faire d'adjuger la caufe à celui que vous eftimez plus homme de bien , ou meilleur... | |
 | Villemain (M.) - Christian literature, Early - 1827 - 510 pages
...la cour , le vieux chancelier avec sa figure austère, disait aux magistrats : «Vous êtes ju» ges du pré ou du champ , non de la vie , non des » mœurs , non de la religion. Vous pensez bien » faire, d'adjuger la cause à celui que vous estimez » plus homme de bien, ou meilleur... | |
 | Abel François Villemain - Christian literature, Early - 1827 - 582 pages
...la cour , ie vieux chancelier avec sa figure austère, disait aux magistrats : «Vous êtes ju» ges du pré ou du champ , non de la vie , non des » mœurs, non de la religion. Vous pensez bien » faire, d'adjuger la cause à celui que vous estimez » plus homme de bien, ou meilleur... | |
 | Villemain (M.) - 1828 - 512 pages
...la cour , le vieux chancelier avec sa figure austère, disait aux magistrats : «Vous êtes ju» ges du pré ou du champ , non de la vie , non des » mœurs , non de la religion. Vous pensez bien » faire, d'adjuger la cause à celui que vous estimez » plus homme de bien, ou meilleur... | |
 | Art and literature - 1829 - 886 pages
...jugent, pour ou contre , sans considérer l'équité, de la cause. * Vous estes judges du, pré on du champ; non de la vie, non des mœurs, non de la religion. Vous pensez bien faire d'adjuger la cause à celuy que vous estimez plus homme de bien , ou meilleur... | |
 | Guillaume Louis Julien Carré - 1833 - 530 pages
...factions, qui jugent pour ou contre, sans considérer « l'équité de la cause : vous êtes juges du pré ou du champ , non de la vie , non « des mœurs, non de la religion. « Vous pensez bien faire d'adjuger la cause à celui que vous estimez plus « homme de bien ou meilleur... | |
 | Ed Mennechet - France - 1836 - 286 pages
...grave et austère du chancelier donnait une singulière énergie. « Vous êtes , disait-il, juges du pré ou du champ, non de la vie, non des mœurs, non de la religion. Vous pensez bien faire d'adjuger la cause à celui que vous estimez le plus homme de bien ou meilleur... | |
 | Alfred Péron - Normandy (France) - 1841 - 826 pages
...i563... Nous entendons L'Hôpital adresser aux magistrats ces mémorables paroles : « Vous esles juges du pré ou du « champ, non de la vie, non des mœurs, non de la religion. Vous pensez « bien faire d'adjuger la cause à celui que vous estimez plus homme de « bien ou meilleur... | |
 | Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen (France) - Science - 1842 - 458 pages
...1503... Nous entendons L'Hôpital adresser aux magistrats ces mémorables paroles : « Vous estes juges du -pré ou du champ , non de la vie , non des mœurs , non de la religion. Vous pensez bien faire d'adjuger la cause à celui que vous estimez plus homme de bien ou meilleur... | |
 | Villemain (M.) - Europe - 1846 - 456 pages
...la cour, le vieux chancelier , avec sa figure austère , disait aux magistrats : « Vous êtes juges du pré ou du champ , non de la vie , non des mœurs, non de la religion. Vous pensez bien faire d'adjuger la cause à celui que vous estimez plus homme de bien , ou meilleur... | |
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Vous estes juges du pré ou du champ , non de la vie , non des mœurs , non de la religion. Vous pensez bien faire d'adjuger la cause à... 
