| Denis Diderot - Encyclopedias and dictionaries, French - 1769 - 452 pages
...defirer , que la perfévérance & la fin de Socrate. L'exercice a quelquefois élevé l'homme à là Vertu la plus fublime. Elle peut donc être d'inftitution...fruit de la difcipline. Celui qui penfe autrement, ne connoîtpas la force d'un précepte, d'une idée. C'eft aux aftions qu'on reconnoît l'homme Vertueux.... | |
| Denis Diderot - Philosophy - 1769 - 448 pages
...pour le bonheur. Celui qui ra poffede n'a plus rien à defirer , que la perfévérance & la fin de Socrate. L'exercice a quelquefois élevé l'homme...plus fublime. Elle peut donc être d'inftitution & le fruît de la difcipline. Celui qui penfe autrement, ne connoîtpas la force d'un précepte, d'une idée.... | |
| Encyclopedias and dictionaries, French - 1769 - 396 pages
...defirer , que la perfévérance & la fin de )> Socrate. u L'exercice a quelquefois élevé l'homme a » la vertu la plus fublime. Elle peut donc » Être d'inftitution , & le fruit de la diici» pline. Celui qui penfe autrement , ne cona noît pas la force d'un précepte , d'une idée.... | |
| 1772 - 402 pages
...pour le «bonheur , celui qui la poflède n'a plus rien nh dcfiier , que la perfévérance & la fin de «Socrate. ,, L'exercice a quelquefois élevé l'homme...la «vertu la plus fublime. Elle peut' donc être d'infi,titution , & le fruit de la difcipline. Celui qui »penfe autrement, ne connoît pas la force... | |
| Jean Baptiste Robinet - France - 1780 - 696 pages
...pour le bonheur. Celui qui la poifede n'a plus rien à défirer, que la perfévérance & la fin de Socrate. L'exercice a quelquefois élevé l'homme...pas la force d'un précepte, d'une idée. C'eft aux aérions qu'on reconnoît l'homme vertueux. La vertu ornera fon ame aílez , pour qu'il puùTe négliger... | |
| Jean Baptiste Robinet - France - 1780 - 704 pages
...fuffit pour le bonheur. Celui qui la pofle n'a plus rien à défirer, que la perfévérance & la fin de Socrate. L'exercice a quelquefois élevé l'homme à la vertu la plus fublime. El peut donc être d'infiitution & le fruit de la difcipline. Celui qui penfe a trement ne connoît... | |
| Encyclopedias and dictionaries, French - 1782 - 1036 pages
...poflede n'a plus rien à délirer , que la perfévéraiice & la fin <lc Socrate. v • L'exercice à quelquefois élevé l'homme à la vertu la plus fublime. Elle peut donc être d'inftittition & le fruit de la difoipline. Celui qui penfe autrement ne connoit pas laforced'un précepte,... | |
| Louis Mayeul Chaudon - Biography - 1789 - 796 pages
...n'a plus rien à " tieiirer, que la perfévérance , & " la fin de Sacrale. L'exercice a fouт> vent élevé l'homme à la vertu la » plus fublime: elle peut donc être " le fruit de l'éducation ; celui qui » penfe autrement , ne connoît pas » la force des préceptes....... | |
| Louis Mayeul Chaudon - Biography - 1804 - 612 pages
..., n'a plus rien à défircr que la perfévérance , Se la fin de Socraic. — L'exercice a fouvent élevé l'homme à la vertu la plus fublime : elle peut donc être le fruit de l'éducation; celui qui penfe autrement , ne connoît pas la force des vrais préceptes.... | |
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