Histoire du travail et des travailleurs |
Common terms and phrases
agricole apprentis artisans assignats associations ateliers augmenté aujourd'hui avaient blé bourgeoisie Bourses du travail C'était capital centimes chemins de fer cher chiffres chômage classe ouvrière coalitions Colbert commerce compagnies compagnonnage compagnons confrérie conseils de prud'hommes consommation coopératives corporations coton Creusot crise cultivateur d'autrefois d'Avenel draps Ecole écoles économique enfants fabrication Fédération féodalité filatures française François Ier grève générale guerre hausse hectolitres heures houille indus industrie industrielle industries textiles internationale jour journée kilomètres kilos l'acier l'Etat l'Exposition l'industrie textile l'ouvrier laine législation livres Lyon machines maîtres manufacture royale mécanique ment métallurgie métiers milliards millions et demi mines mineurs misère moyen âge nationale nombre Nord pagnons pain patronale patrons payer pays paysan première production professionnelles progrès propriétaires propriété régime Révolution Rouen rural salaires Seilhac serfs seulement sociale sociétés syndicats terre tion tissage toiles tonnes travailleurs usines vaine pâture vapeur viande Voiron vriers XIXe siècle XVIIIe siècle
Popular passages
Page 524 - Sera puni d'un emprisonnement de six jours à trois ans et d'une amende de seize francs à trois mille francs, ou de l'une de ces deux peines seulement, quiconque, à l'aide de violences, voies de fait, menaces ou manœuvres frauduleuses, aura amené ou maintenu, tenté d'amener ou de maintenir une cessation concertée de travail, dans le but de forcer la hausse ou la baisse des salaires ou de porter atteinte au libre exercice de l'industrie ou du travail.
Page 47 - Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L'une fait tort à l'autre ; et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Page 507 - Qu'un travail manuel trop prolongé non seulement ruine la santé du travailleur, mais encore, en l'empêchant de cultiver son intelligence, porte atteinte à la dignité de l'homme: 2...
Page 546 - Considérant : Que l'émancipation des travailleurs doit être l'œuvre des travailleurs eux-mêmes, que les efforts des travailleurs pour conquérir leur émancipation ne doivent pas tendre à constituer de nouveaux...
Page 512 - ... contracter à leur profit des assurances individuelles ou collectives en cas de vie, de décès ou d'accidents, pourvoir aux frais des funérailles et allouer des secours aux ascendants, aux veufs, veuves ou orphelins des membres participants décédés.
Page 293 - Je croyais que c'était comme à Genève ou en Suisse, où tous les habitants à leur aise sont en état d'exercer l'hospitalité.
Page 512 - Les sociétés de secours mutuels sont des associations de prévoyance qui se proposent d'atteindre un ou plusieurs des buts suivants : assurer à leurs membres participants et à leurs familles des secours en cas de maladie, blessures ou infirmités, leur constituer des pensions de...
Page 296 - ... du roi qui ne l'est qu'autant qu'il a un royaume et des sujets, qui est d'un âge à en pouvoir sentir la conséquence, et qui, pour être le premier roi de l'Europe, ne peut être un grand roi s'il ne l'est que de gueux de toutes conditions, et si son royaume se tourne en un vaste hôpital de mourants et de désespérés à qui on prend tout chaque année en pleine paix.
Page 295 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 294 - ... le malheureux peuple, et contre ses oppresseurs'. Cet homme, quoique aisé, n'osait manger le pain qu'il avait gagné à la sueur de son front, et ne pouvait éviter sa ruine qu'en montrant la même misère qui régnait autour de lui. Je sortis de sa maison aussi indigné qu'attendri, et déplorant le sort de ces belles contrées à qui la nature n'a prodigué ses dons que pour en faire la proie des barbares publicains.