Bulletin de la Société de GéographieSociete de Géographie, 1855 - Geography |
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affluents Africains Alfred Maury Andersson Arabes assez Baguermi baie de Fonseca Bolivie Bornou Bulletin Caire canal capitaine Mac-Clure cartes cartographie cheikh Chichimèques Chine Comayagua commerce Commission centrale comte d'Escayrac côte cours d'eau d'Anville Darfour désert docteur Barth docteur Vogel donne Égypte États-Unis européens explorations Fellatas Fitri fleuve général géo gouvernement Guatemala habitants Harar hommes Honduras Indiens j'ai Jomard Journal jours jusqu'à Kanemi Khartoum Kouka l'Afrique l'Amazone l'Amérique l'Égypte l'Europe l'expédition l'ile l'Inde l'océan l'ouest lac Ngami langue latitude Malte-Brun Mañil Médogo ment mer Rouge Messieurs milles montagnes nahuatl Namaquas navigation navires nègres Nicaragua nord observations orientale ouvrages passer pays pendant Petermann peuples plaine pluies population port position présente races ragle rapport région régna relation rivière Roquette route San-Salvador savant science séance Sémino serait sérère seulement situé Société de géographie Souaken Soudan suivant sultan terre tion Toltèques Tombouctou travaux tribus trouve Tsad vallée visiter voyage voyageur Waday Wara
Popular passages
Page 249 - L'emportèrent enfin. Il dit > Ne pleurez point .Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère , N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai , J'étais là ; telle chose m'avint. Vous y croirez être vous-même.
Page 248 - Hélas! dirai-je, il pleut : Mon frère at-il tout ce qu'il veut, Bon soupe, bon gîte, et le reste?
Page 42 - Recherches critiques, historiques et géographiques sur les fragments d'Héron d'Alexandrie, ou du système métrique égyptien considéré dans ses bases, dans ses rapports avec les mesures itinéraires des Grecs et des Romains et dans les modifications qu'il a subies depuis le règne des Pharaons jusqu'à l'invasion des Arabes, ouvrage posthume de M.
Page 132 - L'œil, par exemple, quoiqu'ouvert ne voit plus ou presque plus, et les plus grands efforts ne suffisent pas toujours à faire apercevoir l'objet le plus rapproché. Une nuit je voyageais sans domestiques et accompagné d'un seul guide sur une route très fréquentée et très apparente; le guide se tenait à quelques pas en arrière de moi , j'étais en proie au ragle : « Tu n'es plus dans la route , me cria » tout à coup mon guide, appuie à gauche. » J'appuyai à gauche et coupai la route...
Page 187 - Soudan, co n'est point comme chez nous, la terre qui manque à l'homme, mais l'homme qui manque à la terre. La principale culture dans le Soudan oriental est celle du dokhn. M. Thibaud, qui a- cultivé lui-même, dans le Kordofan, le dokhn pour la nourriture de ses domestiques, m'a assuré, au Caire, qu'un hectare de dokhn ne pouvait nourrir que de huit à dix hommes.
Page 235 - Henri deBrossard écrivent à la Société pour la remercier de les avoir admis au nombre de ses membres, et ils promettent de s'efforcer de concourir à ses utiles travaux.
Page 296 - ... railroad, from the Red river to the Rio Grande, by brevet captain John Pope, corps topogr. eng. I vol. in-8".
Page 133 - C'est en vain pourtant qu'on se roidit pour ne point voir ; les plus beaux raisonnements n'y font rien. On sait qu'il n'existe pas, on agit comme s'il n'existait pas , mais on le voit toujours , à moins qu'on ne vienne à penser à autre chose ou que l'imagination ne fasse du palais une forteresse ou une ville. Au milieu du ragle, j'ai déclamé des vers ou psalmodié le Coran sans me tromper d'une syllabe; j'ai soutenu des conversations très longues sans le moindre embarras, comme aussi sans le...
Page 129 - ... l'Arabe verra un chameau; là où nous verrons un clocher, il verra un minaret, et ainsi de suite. Une forte préoccupation a sur la nature des hallucinations une influence remarquable, j'en citerai quelque s exemples.
Page 131 - Soaken et Berber) , d'un noir qui s'y était égaré. Depuis une soixantaine d'heures, ce malheureux n'avait rien pris. En proie au ragle, il n'apercevait autour de lui que des sources d'eau vive, dont il croyait s'abreuver sans cesse ; l'air sec du désert lui apportait des effluves humides ; il marchait avec précaution sur le sable, se croyant sur un sol détrempé. Quelquefois il apercevait le Nil et le sentait; il courait alors ou se traînait jusqu'à ce que ses forces vinssent à le trahir....