Études révolutionnaires: Philippe d'Orléans-Égalité |
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accusations avaient Barrère Bourbons Brissot brissotins Buzot c'était Camille Desmoulins citoyen club des jacobins comité comte Convention nationale crime déclaration décret demande député devait discussion donner duc d'Or duc d'Orléans duc de Chartres duchesse d'Orléans Dumouriez Egalité enfans eût évènemens faction d'Orléans famille royale Fayette femme fille fût Gironde girondins Gorsas homme instruite au Châtelet intrigues j'ai jacobins jour journaux journée l'Assemblée nationale l'époque Laclos laisser léans lettre liberté lippe livres long-temps Louis XVI Louis-Philippe Louis-Philippe-Joseph Louvet maison d'Orléans Marat membre ment ministre Mirabeau Mme de Genlis monarchie Moniteur Montagne Montpensier mort motion n'avait n'était nation nom du duc Palais-Royal paroles passé patriotisme pensée Pétion peuple Philippe d'Orléans Philippe Égalité politique populaires prince princesse de Lamballe procédure régent reine républicain république reste révolution révolutionnaire Rincy Robespierre royauté s'était Saint-Fargeau sang séance secret serait seul Sillery tête tion tribunal tribune Versailles Voidel Voilà vote voulait
Popular passages
Page 99 - ... Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 304 - J'ai mérité la mort pour l'expiation de mes péchés ; j'ai contribué à la mort d'un innocent, mais il était trop bon pour ne me point pardonner, et Dieu nous rejoindra tous deux avec saint Louis.
Page 240 - Uniquement occupé de mon devoir, convaincu que tous ceux qui ont attenté ou qui attenteront par la suite à la souveraineté du peuple méritent la mort, je vote pour la mort!
Page 299 - J'ai fait ce qui dépendait de moi pour l'empêcher; je l'avais même fait afficher à la porte de ma chambre , en observant que ceux qui me traiteraient ainsi seraient condamnés à l'amende en faveur des pauvres.
Page 131 - Il n'ya plus, pour aucune partie de la nation, ni pour aucun individu, aucun privilège ni exception au droit commun de tous les Français. Il n'ya plus ni jurandes, ni corporations de professions, arts et métiers.
Page 204 - Plusieurs journaux affectent de publier que j'ai des desseins ambitieux et contraires à la liberté de mon pays ; que dans le cas où Louis XVI ne serait plus, je suis placé derrière le rideau pour mettre mon fils ou moi à la tête du gouvernement. Je ne prendrais pas la peine de me...
Page 205 - Au surplus, je ne crois pas que vos comités entendent priver aucun parent du roi de la faculté d'opter entre la qualité de citoyen français et l'expectative soit prochaine , soit éloignée du trône. Je conclus donc à ce que vous rejetiez purement et simplement l'article de vos comités; mais dans le cas où vous l'adopteriez, je déclare que je déposerai sur le bureau ma renonciation formelle aux droits de membre de la dynastie régnante , pour m'en tenir à ceux de citoyen français.
Page 261 - Deux-Ponts est de cent cinquante et il ne leur vient pas de recrues; tout va dans les volontaires ou dans les nouveaux corps. En outre, le décret qui a assimilé les troupes de ligne aux volontaires les a animés les uns contre les autres. Les volontaires désertent et fuient de toutes parts ; on ne peut plus les arrêter.
Page 217 - Athènes petit craignait la prépondérance d'un individu ; on lui donnait en l'exilant plus de poids encore qu'il n'en avait. Athènes voulait par cette loi conserver la liberté et l'égalité : cette loi admise en France renverserait les droits de l'homme et détruirait l'égalité. » Nous ne savions pas qu'il existât encore parmi nous des Bourbons autres que ceux qui sont au Temple ; votre décret vient de nous l'apprendre. » Vous n'avez encore rien fait pour la Constitution , cette...
Page 302 - En ce moment, Monsieur, je sors des prisons, où j'ai été conduit pour avoir rétracté le serment de 1791, et pour avoir fait une rétractation aussi incendiaire et capable de séduire tout le monde, comme il plaisait de dire aux constitutionnels schismatiques de ce pays. Arrivé chez moi , je trouve une lettre de votre part , datée déjà du 25 avril dernier. La crainte de me compromettre avait empêché de me l'envoyer dans les prisons d'Épinal, et je m'empresse de vous répondre. « A l'égard...