Revue de Gascogne: bulletin bimestrial de la Société historique de Gascogne, Volume 6; Volume 47

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Popular passages

Page 501 - Considérant que, dans une monarchie constitutionnelle, le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social; Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter pour l'avenir sur des actes de sagesse et de justice; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait...
Page 501 - Qu'il a commis cet attentat aux droits du peuple lors même qu'il venait d'ajourner, sans nécessité, le Corps législatif, et de faire supprimer comme criminel un rapport de ce corps, auquel il contestait son titre et sa part à la représentation nationale ; — Qu'il a entrepris une suite de guerres en violation de l'article...
Page 500 - France vient de briser le joug sous lequel elle gémit avec vous depuis tant d'années. — Vous n'avez jamais combattu que pour la patrie ; vous ne pouvez plus combattre que contre elle sous les drapeaux de l'homme qui vous conduit. — Voyez tout ce que vous avez souffert de sa tyrannie; vous étiez naguère un million de soldats ; presque tous ont péri; on les a livrés au fer de l'ennemi sans subsistances, sans hôpitaux; ils ont été condamnés à périr de misère et de faim.
Page 241 - Les ministres de la religion exerçant les premières et les plus importantes fonctions de la société et obligés de résider continuellement dans le lieu du service auquel la confiance des peuples les a appelés, seront défrayés par la nation.
Page 331 - Je jure d'être fidèle à la nation et de maintenir la liberté et l'égalité, ou de mourir en la défendant (2).
Page 503 - Majesté l'empereur Alexandre, les intérêts de la dynastie de l'empereur Napoléon. — Un événement imprévu ayant tout à coup arrêté les négociations, qui cependant semblaient promettre les plus heureux résultats, je vis...
Page 502 - Par différentes mesures dont les suites étaient la ruine des villes, la dépopulation des campagnes, la famine et les maladies contagieuses ; » Considérant que , par toutes ces causes, le gouvernement impérial établi par le sénatus-consulte du 28 floréal an xii a cessé d'exister, et que le vœu manifeste de tous les Français appelle un ordre de choses dont le premier résultat soit le rétablissement de la paix générale, et qui soit aussi l'époque d'une réconciliation solennelle entre...
Page 501 - Sénat, par sa capitale, et surtout par ses malheurs ; vous êtes ses plus nobles enfants, et ne pouvez appartenir à celui qui l'a ravagée, qui l'a livrée sans armes, sans défense, qui a voulu rendre votre nom odieux à toutes les nations et qui aurait peut-être compromis votre gloire, si un homme qui n'est pas même français pouvait jamais affaiblir l'honneur de nos armes et la générosité de nos soldats. Vous n'êtes plus les soldats de Napoléon, le Sénat et la France entière vous dégagent...
Page 341 - Les vicaires et desservants seront choisis parmi les ecclésiastiques pensionnés en exécution des lois de l'Assemblée constituante. Le montant de ces pensions et le produit des oblations •formeront leur traitement.
Page 500 - Voyez tout ce que vous avez souffert de sa tyrannie. Vous étiez naguère un million de soldats ; presque tous ont péri : on les a livrés au fer de l'ennemi, sans subsistances, sans hôpitaux ; ils ont été condamnés à périr de misère et de faim. Soldats, il est temps de finir les maux de la patrie: la paix est dans vos mains; la refuserez-vous à la France désolée? Les ennemis mêmes vous la demandent: ils regrettent de ravager ces belles contrées, et ne veulent s'armer que contre votre...

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