Napoléon et l'Europe, fragments historiques, Volume 2 |
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Common terms and phrases
ALEXANDRE KOURAKIN Ambert anglais armée armes armistice autrichien avaient avril Bernadotte c'était cabinet Châtillon comte confédération du Rhin conférences congrès contre-projet convention cours alliées déclaration demande dépêche devait duc d'Angoulême duc de Bassano duc de Vicence duché de Varsovie ennemis état eût excellence février force Francfort général Gilly général Grouchy général Yorck gouvernement guerre j'ai jour l'Allemagne l'Angleterre l'aristocratie l'armée française l'Autriche l'em l'empe l'empereur Alexandre l'empereur d'Autriche l'empereur Napoléon l'ennemi l'Espagne l'état l'Europe l'indépendance lois lord Castlereagh majesté impériale marche maréchal médiateur mée ment Metternich mille hommes monarchie n'avait n'était nation négociation noblesse ordres paix parceque pereur peuple plénipoten plénipotentiaires alliés plénipotentiaires des cours poléon porter position pouvait Pradt prendre prince Kourakin principes projet propositions Prusse prussien puissances alliées réponse rétablissement révolution Rhin rois royale Russie S. M. l'empereur sacrifices serait seul souverains Suède Talleyrand territoire Tilsitt tion traité traité de Tilsitt triche trône troupes voulait
Popular passages
Page 349 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale , je comptais sur la réunion de tous les efforts , de toutes les volontés , et le concours de toutes les autorités nationales.
Page 218 - Napoléon, par la grâce de dieu et les constitutions, empereur des Français, roi d'Italie, protecteur de la confédération du Rhin, médiateur de la confédération suisse, etc.
Page 76 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 355 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 299 - ... liberté , de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre , par un seul mot , un terme aux souffrances de la nation, de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie. Voulait-il plus ? Les puissances s'étaient offertes à discuter, dans un esprit de conciliation, ses voeux sur des objets de possession d'une mutuelle convenance qui dépasseraient les limites de la France avant les guerres de la révolution.
Page 373 - Je dois donc , pour la dignité de mon trône , pour l'intérêt de mes peuples , pour le repos de l'Europe , excepter du pardon , les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux chambres que je me propose d'assembler incessamment.
Page 315 - Napoléon Bonaparte est déclaré traître et rebelle, pour s'être introduit à main armée dans le département du Var. Il est enjoint à tous les gouverneurs, commandans de la force armée, gardes nationales, autorités civiles, et même aux simples citoyens, de lui courir sus, de l'arrêter, et de le traduire incontinent devant un conseil de guerre, qui, après avoir reconnu l'identité, provoquera contre lui l'application des peines prononcées par la loi.
Page 356 - Je proteste solen«nellement ici , à la face du «ciel et des hommes, contre la «violence qui m'est faite, con«tre la violation de mes droits «les plus sacrés, en disposant par «la force de ma personne et de «ma liberté. Je suis venu libre
Page 258 - En général, je ne désire qu'une paix solide et honorable, et elle ne peut être telle que sur les bases proposées à Francfort. Si les alliés eussent accepté vos propositions le 9 , il n'y aurait pas eu de bataille, je n'aurais pas couru les chances de la fortune dans le moment où le moindre insuccès perdait la France; enfin je n'aurais pas connu le secret de leur faiblesse. 11 est juste qu'en retour j'aie les avantages des chances qui ont tourné pour moi.
Page 92 - L'île d'Elbe, adoptée par SM l'empereur Napoléon pour le lieu de son séjour, formera, sa vie durant, une principauté séparée, qui sera possédée par lui en toute souveraineté et propriété.