 ... m'a réveillé. Je me suis retrouvé dans mon cachot. Il faisait un peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car toi et ta mère vous me parliez, je me suis levé au moins pour te parler et t'écrire. Mais, ouvrant mes fenêtres,...  Histoire des Girondins - Page 16by Alphonse de Lamartine - 1847Full view - About this book
 | Nicolas Toussaint Le Moyne des Essarts - 1796 - 502 pages
...las affreux barreaux, L s vei roux qui me séparent de toi,"ont vniùcu toute HUÏ fermeté d'aine ; j'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté, en criant dans mon trimberu : Lucile f Lûcile ! 6 ma chère Lucile î en es-tu? (Ici on remarque , la trace d'une larme.)... | |
 | Camille Desmoulins - France - 1825 - 442 pages
...peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car toi et ta mère vous me parliez, je me suis levé au moins pour te parler et t'écrire....: Lucile! Lucile! ô ma chère Lucile, où es-tu? (là on remarqué la trace d'une larme.) Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est... | |
 | Camille Desmoulins - France - 1825 - 412 pages
...jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car toi et ta mère vous nie parliez, je nie suis levé au moins pour te parler et t'écrire. Mais,...d'âme. J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté eu criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile! 6 ma chère Lucile, où es-tu? (Ici on remarque la trace... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - France - 1837 - 1022 pages
...t'écrire. Mais ouvrant mes fenêtres, la pensée de ma solitude , les affreux barreaux , les verroux qui me séparent de toi, ont vaincu toute ma fermeté...j'ai sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile ! Lncile ' ô ma chère Lucile, où es-tu?.... ( Ici on remarque la trace d'une larme.) Hier au soir... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Pierre Célestin Roux-Lavergne - France - 1837 - 514 pages
...peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car toi et ta mère vous me parliez, je me suis levé au moins pour te parler et t'écrire....pensée de ma solitude, les affreux barreaux, les verroux qui me séparent de toi, ont vaincu tonte ma fermeté d'ame. J'ai fondu en larmes , ou plutôt... | |
 | Camille Desmoulins - France - 1838 - 444 pages
...peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car toi et ta mère vous me parliez, je me suis levé au moins pour te parler et t'écrire....me séparent de toi , ont vaincu toute ma fermeté m. ..* 221 «-« d'ame. J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté en criant dans mon tombeau... | |
 | E. Lairtullier - France - 1840 - 432 pages
...mon réveil, en ouvrant mes fenêtres, la pensée de ma solitude, les affreux barreaux, les verroux qui me séparent de toi, ont vaincu toute ma fermeté...sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile, ma chère Lucile, où es-tu? Hier au soir, j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est également... | |
 | E. Lairtullier - France - 1840 - 434 pages
...ouvrant mes fenêtres, la pensée de ma solitude, les affreux barreaux, les verroux qui me separent de toi, ont vaincu toute ma fermeté d'âme. J'ai...sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile, ma chère Lucile, où es-tu ? Hier au soir, j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est également... | |
 | Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 302 pages
...» jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car » toi et ta mère vous me parliez , je me suis levé au moins » pour te parler et t'écrire....sangloté en criant dans » mon tombeau : Lucile ! Lucile ! o ma chère Lucile, où » es-tu ? Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur » s'est également... | |
 | Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 284 pages
...» jour. Me pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car » toi et ta mère vous me parliez, je me suis levé au moins » pour te parler et t'écrire....toute ma fermeté d'âme. » J'ai fondu en larmes, ou plutAt j'ai sangloté en criant dans » mon tombeau : Lucile ! Lucile ! ô ma chère Lucile, où »... | |
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