| 1859 - 520 pages
...subite. Booz ne savait point qu'une femme e"tait là. Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle. Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre e"tait nuptiale, auguste et solennelle ; Les anges y volaient sans doute obscure"ment, Car... | |
| Victor Hugo - 1859 - 330 pages
...subite. Booz ne savait point qu'une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle. Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ; Les anges y volaient sans doute obscurément, Car... | |
| Victor Hugo - 1877 - 432 pages
...subite. Booz ne savait point qu'une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle. Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle; Les souffles de la nuit flottaient sur Gaîgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle; Les anges y volaient sans doute obscurément,... | |
| Victor Hugo - 1882 - 422 pages
...4.i^\ Booz ne savait point qu'une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle ; ^• • ' * Les anges y volaient sans doute obscurément,... | |
| Paul Stapfer - French literature - 1888 - 346 pages
...endormi. Booz ne savait point qu'une femme était là, Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d'elle. Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala... Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire; Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement;... | |
| Camille Bellaigue - Drama - 1891 - 504 pages
...des blés les épis onduler; il frissonne, j'allais dire il embaume comme la brise même d'Orient : Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle, Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. Plus on entend, plus on relit cette partition, plus elle paraît belle et complète. Autant que par... | |
| Clair Tisseur - French language - 1893 - 374 pages
...amené l'allitération dans les deux vers suivants, qui sont au nombre des plus beaux de la langue : Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle, Les souffles de la nuit flottaient sur Galgalla. La répétition desfl (je ne trouve pas que le premier vers tire son charme de la répétition... | |
| Maurice Grammont - Indo-European languages - 1895 - 228 pages
...un effet que fait très bien comprendre l'étude des deux vers suivants de Victor Hugo (Booz) : « Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle, < Les souffles de la nuit flottaient ¿ur Galgala ». Le poète veut peindre dans ces deux vers les effluves parfumés qui s'exhalent comme... | |
| Paul Stapfer - 1897 - 344 pages
...la musique la plus suave, la plus enchanteresse, dont une oreille humaine puisse être caressée : Un frais parfum sortait des touffes d'Asphodèle; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala1. M. Théodore de Banville a dit avec esprit les choses les plus justes du monde sur l'importance... | |
| Eugène Rigal - 1900 - 384 pages
.../ : ce sont des souffles parfumés qui sans cesse s'élèvent et qui flottent dans l'air limpide : Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle, Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. Et ne parlons pas ici de hasard : le dernier de ces adorables vers n'a pas été trouvé du premier... | |
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