Mémoires de Monsieur l'abbé de Montgon, Volume 2

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Page li - d'Etat du Roi , Sa Majefté y étant ,, „ tenu à Verfailles le vingt-fept Avriji. „ mil fept cent quarante-huit. Signé , PHELYPEAUX. Peut-être fera-t-on bien aife d'avofr une connoi0ance plus particulière dc" i7
Page cxxviii - A nouvelle dignité dont je viens rendre hommage à VM quelque grande qu'elle foit en ellemême , m'eft encore infiniment plus précieufe , parce que je la tiens uniquement de fa main, & , fi je l'ofe dire , parce qu'elle ne lui fait pas moins d'honneur qu'à moi-même. Qu'il me foit permis , Sire , de publier aujourd'hui ce que la bonté de votre cœur vous avoit infpiré en ma faveur , dans un tems où vous n'étiez pas encore le difpenfateur des grâces.
Page lvii - J'ai examiné avec beaucoup d'attention le Mémoire que M. le Procureur général m'a envoyé , & j'ai donné des ordres en conformité à M. Dodun, qui eft allé à Paris , pour régler toutes chofes de concert avec vous. Comme il eft au fait de la matière, il aura foin d'éviter les inconvéniens dont votre lettre fait mention , &c.
Page cxxix - Souve* rains un culte prefque égal à celui de la Divinité. Parmi celles de l'Europe , il y en a qui veulent gouverner leurs Rois : d'autres , quoique trèsattachées à eux & très-fidèles , les reipeclent encore plus qu'elles ne les aiment.
Page v - I L étoit tems que je priffe moi-même le gouvernement de mon état , & que je me donnaffe tout entier à l'amour que je dois à mes peuples , pour marquer combien je fuis touché de leur fidélité.. Quelque fenfible que je fois au zele qu'a montré mon coufin le duc de Bourbon dans les affaires dont je lui avois confié...
Page xliv - Miniftres plénipotentiaires avons figné , en vertu de nos pleins-- pouvoirs , le préfent afte d'acceffion , & y avons fait appofer le cachet de nos armes. Fait à Tefchen le i3 Mai i779.
Page xxiii - Royale une bonne harmonie, et nous n'entreprendrons rien qui puisse interrompre l'amitiè si bien établie entre les deux royaumes depuis tant d'années. Et comme de notre côté nous déclarons franchement que cette...
Page lvi - Je lui pardonne des plaintes injuftes , parce qu'elles naiCfent de fes maux, que la mifere trouble la raifon , & qu'il n'eft pas à portée de juger avec quelle attention je travaille à le fouftraire à de terribles conjonctures , dont je fuis pénétré au-delà de toute exprefïîon.
Page civ - Pour ce qui regarde les fecours mutuels qu'on doit fe donner , on eft convenu que l'Empereur , en cas que qui que ce...
Page lii - ... présent que nos finances étant dans une situation plus heureuse, nos principaux soins ne tendent qu'à rétablir l'ordre et la règle dans toutes les parties de notre Etat, rien ne nous a paru plus digne de notre attention que le nombre excessif...

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