Journal encyclopédique ou universel, Volume 4, Parts 1-31777 |
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Page 26
... étoient familieres aux Grecs & aux Ro- mains , M . C. confidere cette partie de l'art oratoire relativement à la langue angloife , Tous ces principes font appuyés d'exem- ples bien choifis . Il n'y a rien de bien neuf dans cette ...
... étoient familieres aux Grecs & aux Ro- mains , M . C. confidere cette partie de l'art oratoire relativement à la langue angloife , Tous ces principes font appuyés d'exem- ples bien choifis . Il n'y a rien de bien neuf dans cette ...
Page 45
... étoient de véritables coquilles , & qu'elles ont été dépofées autrefois par la mer , dans les lieux où elles fe trouvent raffemblées ; il foutint que des animaux , & furtout des poiffons avoient donné aux pierres figurées , toutes leurs ...
... étoient de véritables coquilles , & qu'elles ont été dépofées autrefois par la mer , dans les lieux où elles fe trouvent raffemblées ; il foutint que des animaux , & furtout des poiffons avoient donné aux pierres figurées , toutes leurs ...
Page 48
... étoient tom- bées , je m'en allois , dit - il lui - même , trifte , maigre , exténué de fatigues , cou- cher à la minuit , ou au point du jour , accoutré de telle forte comme un homme que l'on auroit traîné par tous les bour- biers de ...
... étoient tom- bées , je m'en allois , dit - il lui - même , trifte , maigre , exténué de fatigues , cou- cher à la minuit , ou au point du jour , accoutré de telle forte comme un homme que l'on auroit traîné par tous les bour- biers de ...
Page 55
... étoient ceux de Thebes , fe- lon Diodore , qui fe donnoient pour les plus anciens de tous les hommes . Cette prétention des habitans de Thebes en par- ticulier , eft une nouvelle preuve de ce qu'on a déjà vu , que , fur la reffemblan ...
... étoient ceux de Thebes , fe- lon Diodore , qui fe donnoient pour les plus anciens de tous les hommes . Cette prétention des habitans de Thebes en par- ticulier , eft une nouvelle preuve de ce qu'on a déjà vu , que , fur la reffemblan ...
Page 59
... étoient comme fre- res . 3 ° . Le nombre des enfans mâles nés ' le même jour que Séfoftris , montoit à 1700. C'est un nombre exceffif , furtout lorsqu'il ne s'agit que d'enfans mâles . Jacob & Efau devoient devenir deux peu- ples , & fe ...
... étoient comme fre- res . 3 ° . Le nombre des enfans mâles nés ' le même jour que Séfoftris , montoit à 1700. C'est un nombre exceffif , furtout lorsqu'il ne s'agit que d'enfans mâles . Jacob & Efau devoient devenir deux peu- ples , & fe ...
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Common terms and phrases
adreffée affez affure ainfi Alonzo anglois auffi auroit avoient avoit bafe Bareges Bouillon c'eft c'eft-à-dire C'eſt c'étoit Cardigan caufe ceffe cervelet chofes Clément XIV comte confeil conféquence confidérer connoiffances connoître deftiné Démofthene difcours duc de Bouillon efpeces enfuite étoient étoit fagacité faifoit fçait fçavant fçavoir fciences fe trouve féance fecond fecours fecret felon femble fens fentimens fentiment feroit fervir feul fiecle fimple fluide fociété foient foin foit folide font fouf fous fouvent fouverain ftyle fuccès fuite fuivant fujets furtout Gauvain hiftoire homme Jacob Journal jufqu'à l'abbé l'auteur l'efprit l'hiftoire l'ufage laiffer lefquels lettres loix lumiere maniere maréchal marquis de Pombal ment mille liv miniftre n'eft néceffaire obfervations ouvrage paffe paffions paroît particuliere penfe perfonne peuple philofophe phyfique Pizare plaifir plufieurs pofe préfent prefque premiere prince propofé puiffance Quito raifon réfiftances refte s'eft Séfoftris tems Thebes tion ufage vaiffeau Zulmie
Popular passages
Page 116 - le vieux bâtiment D'une machine chancelante. Tantôt un déluge d'humeur De fucs empoifonnés inonde ma paupière ,' Mais ce n'eft pas aflez d'en perdre la lumière , II faut encor que fon aigreur Dans d'inutiles yeux me forme une douleur
Page 53 - féculiers , fous l'autorité fpirituelle des ordinaires des lieux , en fe conformant aux loix du royaume. II. Ils .ne pourront fe réunir pour vivre plufieurs enfemble en fociété, fous quelque prétexte que. ce
Page 119 - N'a, pour me confoler dans l'excès de mon deuil, Que de porter ton nom jufques au bout du monde, De jetter tous les jours des fleurs fur ton cercueil, Chanter tes agrémens , & célébrer tes charmes
Page 118 - rare & précieux Que l'avare main des dieux Ne fit que montrer à la terre ; Digne héritier du nom de ce foudre de guerre
Page 120 - ce tilleul, au frais , je vins me repofer. Cet arbre porte encor le tendre caractère Des vers que j'y gravai
Page 118 - Efprits fupérieurs, en qui la volupté Ne déroba jamais rien à l'habileté, Dignes de plus de vie & de plus de fortune.
Page 55 - du. procureur-général du roi .d'y tenir la main, & d'en certifier la cour dans le mois
Page 116 - à tout moment , Que cette mère bienfaifante Ne fait plus, d'une main tremblante, Qu'étayer le vieux bâtiment D'une machine chancelante. Tantôt un déluge
Page 162 - pour les remèdes, & fa confiance dans la nature, lui ont quelquefois attiré le reproche de ne pas croire
Page 148 - de la religion indienne dans la Tartarie , le Thibet & la Chine, & fur les livres fondamentaux de cette religion , qui ont été traduits