Journal des Révolutions de l'Europe, en 1780 & 1790, Volumes 11-12Société typographique, 1790 - France |
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Common terms and phrases
adreffe affez affuré ainfi arrêté auffi avoient avoit Baftard Baftille Barnave c'eft c'étoit caiffe caufe champ de Mars châtelet Chenon chofe citoyens comité des recherches comte comte d'Artois confeil conféquence confidérable conftitution connoître dame Rogé décret dépenfes députés devoit enfuite étoient étoit faifant faifoit fans favoir Fayette fe font féance fecond fecret fecrétaire fédération femme fentiment fera feroit fervice fervir feul fieur Blonde fieur Caron fieur Cleynmann fieur de Berteval fieur le Bel fieur Parent fieur Watelet figné foit folliciter fommes fous fouvent François Frondeville fuivant fujet fur le champ garde nationale Goupil homme Journet jufqu'à juftice l'abbé l'affemblée nationale laiffer lettre liberté lorfque Louis XVI Macaye maifon mife millions miniftre Mirabeau mois monfieur Montazeau municipalité n'avoit n'eft nation néceffaire Necker obferve paffer patriotes perfonne peuple plufieurs préfent préfident premiere prifon Prince propofé Pyron refte refufa répondant Roland s'eft Sainte-Foix tems tion troupes vouloit
Popular passages
Page 30 - Assez longtemps les cabinets politiques ont notifié la mort de ceux qui ne furent grands que dans leur éloge funèbre ; assez longtemps l'étiquette des cours a proclamé des deuils hypocrites.
Page 24 - Je finis par l'objet qui me tient le plus à cœur. •• J'ai promis , par mon contrat de mariage avec la Reine, que, dans le cas où je cesserais de vivre avant elle , une maison convenable lui...
Page 34 - Ce vœu que nous avons tous formé, ce vœu du plus chéri des rois, nous vous proposons de l'accomplir aujourd'hui. « Nous ne sommes plus Bretons ni Angevins », ont dit nos frères de la Bretagne et de l'Anjou; comme eux, nous disons : « Nous ne sommes plus Parisiens, nous sommes tous Français ». Vos exemples et les dernières paroles du Roi...
Page 9 - BULLETIN DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE. SÉANCE DU MARDI 13 JUILLET. M. le président fait lecture d'une lettre de M. Guignnrd (1), ministre de la maison du roi. — « M. le président Je vous prie de lire à l'Assemblée nationale cette lettre que j'ai l'honneur de vous écrire rapidement. Je viens d'être informé que M.
Page 55 - est le premier conçu, et, par conséquent, qu'il est roi de droit, « tandis que ce sentiment n'est pas reconnu par d'autres de « cet état. « Cette crainte néanmoins ne put jamais engager la reine à « détruire les preuves par écrit de sa naissance , parce qu'en » cas d'événement et de mort du jeune roy elle entendoit faire « reconnoistre son frère, quoiqu'elle eust un autre enfant.
Page 9 - Représentans de la Nation , et de nos dispositions constantes pour tout ce qui peut concourir au bonheur de nos Sujets et à la prospérité de l'a France. » « Seroit-il donc possible que des ennemis du bien public cherchassent encore à troubler les travaux...
Page 110 - O'o) tout le bien étoit dans fon travail & fon induftrie. En 1770 , un procès fournit à la femme Rogé occafion de venir à Paris, où elle connut le fieur Parent.
Page 10 - Ministère de la Guerre. Je n'ai jamais répondu à tout cela que comme à des objets qui ne regardent point mon Dépaitement. * » « II est à remarquer que ce Particulier ne paroît m'avoir cité nulle part, mais bien...
Page 23 - Militaire , ne fait point partie des dépenses de l'Armée. « L'ensemble de ces divers objets , malgré les réductions qui ont eu lieu depuis mon avènement au Trône...
Page 92 - Il est en outre assigné chaque année douie cents livres, qui seront dunnées sur le jugement de l'académie, et au nom de la nation, pour prix, à l'auteur du meilleur ouvrage qui aura paru, soit sur la morale, soit sur le droit public, soit enfin sur quelque sujet utile.