Journal encyclopédique ou universel, Volume 3 |
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affez ainfi ALCIBIADE AMELIE anciens année arts auffi auteur avoit beau belle c'eft caufe chofes cœur commun confidérable coup cours d'autres demande Dieu dire doit donne écrit effets également enfin enfuite étoient étoit fable fans fcene fciences femme fentiment fera feroit feul fociété foit fond font force forme fort forte fous fouvent fuivant fujet général génie goût Grece heureux hommes idées jeune joue jour Journal jufqu'à juger l'art l'auteur lettres lieu livres loix main maître maladies maniere médecine mémoire ment mieux mille monde mort moyen n'eft n'en nature naturelle nombre nouveau nouvelle obfervations ouvrage paffer parle pays peine pendant pere perfonnes petit petits peuple philofophie piece pieds place plufieurs poëte porte préfente premier premiere propre public qu'un rapport refte rend rien s'il tems terre théâtre tion tire traité trouve utile vérité volume yeux
Popular passages
Page 359 - Vous êtes pourtant ma cadette, Dit la Fable, et, sans vanité, Partout je suis fort bien reçue. Mais aussi, dame Vérité, Pourquoi vous montrer toute nue? Cela n'est pas adroit. Tenez, arrangeons-nous; Qu'un même intérêt nous rassemble. Venez sous mon manteau, nous marcherons ensemble: Chez le...
Page 208 - Retz, par fes mémoires , mit fi fort à la mode parmi nous ; il peint en action. On croit voir fes perfonnages agir & converfer, Toutes les figures font vraies & ont les proportions exactes de la nature.
Page 545 - L'Abbé , charmé de cette' abfence ', -dernanda à la femme; du Teinturier la permifïion de! .venir fouper avec elle. Après quelques petites difficultés , la Dame fe rendit ; & la partie s'exécuta. Au milieu du repas le mari parut fubitement ; & pour fe venger de fon Rival , il le plongea dans une cuve pleine de teinture verte , qui donna à l'Abbé un teint de la même couleur. On l'appella depui* ce tems là , FAltè vert.
Page 218 - Tu ptux t'échaufFer & difputer pour des biens mtprifables comme la, fange aux yeux , je ne dis pas d'un dieu , mais aux yeux même de nos voifins plus fages que nous! Que font tes terres, -en comparaiibn ~de l'Anique ? L'Atiique comparée à la Grece?
Page 445 - Et ces profonds refpefts que la 'terreur infpire , A leur pompeux éclat mêlent peu de douceur, Et fatiguent fouvent leur trifte poflerTeur.
Page 391 - ... fi la piraterie tolérée , même encouragée dans la librairie , n'avoit dérangé mes projets ; j'ai enrichi des frippons , & tiré peu d'avantage de mes travaux littéraires. Ces...
Page 115 - Social, modulant fur un clavier des airs champêtres, des vaudevilles & des romances. Mais on s'étonne de voir ce véhément écrivain , ce génie libre & fier , accoutumé à méditer fur les intérêts des fouverains & des peuples, & né , ce femble, pour leur faire adorer la juftite , oubliant tout-àcoup fa deftinée glorieufe , pour embrafler la proieffion des mercenaires, & devenir un fimpie copifte de mufique.
Page 110 - Et ce peintre des ridicules & des vices , qui a fu donner à (es couleurs de l'éclat & de la vivacité , du mouvement & de la vie pour tous les tems , efprit inventif & fécond , qui feul a connu l'art d'attacher ég...
Page 225 - ... quelques pas , & déjà ils apperçoivent des chaumières : elles couvrent l'étendue du royaume; les palais y brillent de loin en loin , & encore les chaumières les preflem-ils de tous côtés. Ah ! qui peut , dit le prince , habiter ces triftes & dégoûtantes demeures?
Page 233 - Je fuis ,, encore le même, mon fort eft changé, mes „ principes ne le font pas. Voyons, & fi nous „ n'en trouvons pas de meilleurs , vous favez „ bien que je ne m'écarterai pas de ceux que „ j'ai toujours fuivi ; non , quand tout un „ peuple me préfenteroit comme des fpeâres ,, menacans , ia pauvreté , les chaînes & la