| Mortimer Ternaux - France - 1862 - 462 pages
...et, à vrai dire, cette masse de chair est insensible. « Il voulut me parler des Anglais, de leur industrie, du génie commercial de cette nation. Il...ne le connaissent pas seraient tentés de prendre irue timidité pour delà stupidité; mais on se tromperait : il esi très-rare qu'il lui échappe... | |
| Mortimer Ternaux - France - 1862 - 466 pages
...et, à vrai dire, cette masse de chair est insensible. « Il voulut me parler des Anglais, de leur industrie, du génie commercial de cette nation. Il...s'embarrassa, s'en aperçut et rougit. Cette difficulté n s'exprimer lui donne une timidité dont je m'aperçus plusieurs fois. Ceux qui ne le connaissent... | |
| Alcide Beauchesne - France - 1870 - 594 pages
...et, à vrai dire, cette masse de chair est insensible. » Il voulut me parler des Anglois , de leur industrie , du génie commercial de cette nation....dont je m'aperçus plusieurs fois. Ceux qui ne le connoisseut pas seroient tentés de prendre cette timidité pour de la stupidité; mais on se tromperoit... | |
| Alcide Beauchesne - France - 1870 - 630 pages
...et, à vrai dire, cette masse de chair est insensible. » Il voulut me parler des Anglois, de leur industrie, du génie commercial de cette nation. Il articula une ou deux phrases. Ensuitc il s'embarrassa, s'en aperçut et rougit. Cette difficulté à s'exprimer lui donne une timidité... | |
| France - 1904 - 978 pages
...ensuite il s'embarrassa, s'en aperçut, et rougit. « Ceux qui ne le connaissent pas, note Pétion, seraient tentés de prendre cette timidité pour de la stupidité, mais on se tromperait; il est très rare qu'il lui échappe une chose déplacée et je ne lui ai pas entendu dire une sottise. »... | |
| G. Lenotre - France - 1905 - 454 pages
...ensuite il s'embarrassa, s'en aperçut et rougit. « Ceux qui ne le connaissent pas, note Pétion, seraient tentés de prendre cette timidité pour de la stupidité, mais on se tromperait; il est trës rare qu'il lui échappe une chose déplacée et je ne lui ai pas entendu dire une sottise. »... | |
| G. Lenotre - France - 1905 - 438 pages
...reste le paralysait : à certain moment, il se laissa aller à parler des Anglais, de leur industrie : il articula une ou deux phrases, ensuite il s'embarrassa, s'en aperçut et rougit. « Ceux qui ne le connaissent pas, note Pétion, seraient tentés de prendre cette timidité pour de... | |
| G. Lenotre - France - 1921 - 450 pages
...ensuite, il s'embarrassa, s'en aperçut et rougit.. « Ceux qui ne le connaissent pas, note Pétion, seraient tentés de prendre cette timidité, pour de la stupidité, mais on se tromperait ; il est très rare qu'il lui échappe une chose déplacée et je ne lui ai pas entendu dire une sottise. »... | |
| 1904 - 992 pages
...reste, le paralysait : à certain moment, il se laissa aller à parler des Anglais, de leur industrie : il articula une ou deux phrases, ensuite il s'embarrassa, s'en aperçut, et rougit. « Ceux qui ne le connaissent pas, note Pétion, seraient tentés de prendre cette timidité pour de... | |
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