Louis XVI (i.e. seiziéme): son administration et ses relations diplomatiques avec l'Europe, Volume 2Belin-Leprieur, Éditeur, 1844 - France |
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alliance Américains amiral Anglais avaient bailli de Suffren bataille Brest cabinet de Versailles canons capitaines Catherine Choiseul colonies commandement commerce comte d'Artois comte d'Estaing comte d'Orvillers comte de Grasse comtesse conseil cour de Versailles Danemarck déclaration devait diplomatique donner duc de Chartres duchesse escadres espagnole esprit États-Unis Fayette finances flotte forces Francklin frégates général gentilshommes Gibraltar glorieux gouvernement Grande-Bretagne guerre maritime Hollande hommes hostilités idées intérêts j'ai Joseph l'Amérique l'amiral l'Angleterre l'armée l'Autriche l'empereur l'escadre l'Espagne l'esprit l'État l'Europe l'impératrice l'Inde l'indépendance lettre liberté Londres lord North lord Stormont Louis XVI madame maison de Bourbon Majesté Marie-Antoinette marine marquis marquis de Villette Maurepas médiation ment ministre monarchie Motte-Picquet n'avait n'était nation navires Necker négociations neutres noble officiers paix pavillon peuple philosophique politique popularité ports prince Prusse puissance Rayneval reine reste royale Russie s'était Sartines secret serait seulement situation système Teschen tion traité Turgot Vergennes Voltaire voulait
Popular passages
Page 85 - Je soussigné déclare qu'étant attaqué depuis quatre jours d'un vomissement de sang à l'âge de quatre-vingtquatre ans et n'ayant pu me traîner à l'église, M.
Page 146 - Le grand aumônier lui a demandé quel nom il voulait lui donner; Monsieur a répondu : « Mais ce n'est pas par où l'on commence; la première chose est de savoir quels sont les père et mère ; c'est ce que prescrit le rituel. » Le prélat a répliqué que cette demande devait avoir lieu lorsqu'on ne connaissait pas d'où venait l'enfant ; qu'ici ce n'était pas le cas , et que personne n'ignorait que Madame était...
Page 266 - St-Priest peut toujours tâter le terrain à Constantinople sur la navigation libre de la mer Noire. Je me trompe fort si les trois cours ne prendront pas querelle à la fin, et gare l'incendie L — • Versailles, 15 avril 1775.
Page 102 - ... prédécesseurs pouvaient être classés, par un esprit juste et raisonnable, avec ceux des siècles barbares ; ou comme si mon royaume ne devait à ces trois règnes le ton et la place qu'il tient et qu'il occupe en Europe. Ce n'est pas à l'Europe...
Page 342 - La conversation que j'ai eue avec M. de Maurepas ne me permet plus de différer de remettre entre les mains du roi ma démission. J'en ai l'âme navrée.
Page 84 - Je n'ai considéré que ce que je dois à votre naissance, à votre ministère et à votre mérite. Vous êtes un général à qui j'ai demandé un soldat. Je vous supplie de me pardonner de n'avoir pas prévu la condescendance avec laquelle vous seriez descendu jusqu'à moi ; pardonnez aussi l'importunité de cette lettre, elle n'exige pas l'embarras d'une réponse, votre temps est trop précieux.
Page 251 - SMI ajoute aux moyens qu'elle prend pour fixer la nature des marchandises, dont le commerce est réputé de contrebande en temps de guerre, des règles précises sur la forme des papiers de mer dont les vaisseaux russes seront munis. Avec cette précaution, SM est assurée, qu'il ne naîtra aucun incident...
Page 116 - J'ai l'honneur d'être, etc. < 12 mai 1776. » Réponse de M. Turgot. « Je ne doute pas, monsieur, de la part que madame de Maure« pas et vous avez prise à l'événement qui vient de m'arriver. * Mais quand on a servi son maître avec fidélité, qu'on a fait « profession de ne lui taire aucune vérité utile, et qu'on n'a à se « reprocher ni faiblesse , ni fausseté , ni dissimulation , on se « retire sans honte , sans crainte, et sans remords. » J'ai l'honneur d'être, avec les sentiments...
Page 249 - La guerre dans laquelle le roi se trouve engagé n'ayant d'autre objet que l'attachement de SM au principe de la liberté des mers, elle n'a pu voir qu'avec une vraie satisfaction l'impératrice de Russie adopter ce même principe et se montrer résolue à le soutenir.
Page 28 - Phidias couvriraient la terre de vos images; la chute de l'empire ottoman serait célébrée en grec; Athènes serait une de vos capitales ; la langue grecque deviendrait la langue universelle ; tous les négociants de la mer Egée demanderaient des passeports grecs à votre majesté.