Histoire de la Gaule méridionale sous la domination des conquérants Germains, Volume 3Paulin, 1836 - France |
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abbate Abd el Melek Abd el Rahman Adalric andalousiens Annal Aquitains Aquitaniæ Arabes Arabes andalousiens armée assiégeants Astron Asturies avaient Baledj Barcelonne Basques Berbères butin c'était Carloman Carlovingiens Charibert Charlemagne Charles Martel Charles-le-Chauve charte d'Alaon chefs arabes chose chrétiens Chronic chroniques frankes chroniqueurs clergé gallo-romain Clovis commandement comte Conde conquérants conquête Cordoue d'Abd d'Eudon dernier document domination duc Guillaume ecclésiastiques églises émirs Eudon évêque expédition fils forces Franko-Aquitains Fredeg frontière Gaule Goths gouvernement aquitain guerre Hakem Hecham historiens arabes hommes Hunald j'ai l'Aquitaine l'armée l'Ebre l'église l'Espagne l'histoire leudes Loire Louis marche Mariæ ment Mérovingiens midi monastère Musulmans n'avait n'était Narbonne Neustrie nommé Obeïd orientale paraît passé pays Péninsule Pepin peuples populations portion prædicti première probablement Provence Pyrénées quæ race reste Rhône royaume d'Aquitaine s'agit s'était Samah Saragosse seigneur Septimanie seul siége Soliman supposer taine tion Tortose troupes trouva Vaifre Vascons villes Visigoths Wamba Zaidoun
Popular passages
Page 347 - ... fond de la vallée, tuèrent, après un combat opiniâtre, tous les hommes jusqu'au dernier, pillèrent les bagages, et, protégés par les ombres de la nuit , qui déjà s'épaississaient , s'éparpillèrent en divers lieux avec une extrême célérité. » Les Basques avaient pour eux, dans cet engagement, la légèreté de leurs armes et l'avantage de leur position.
Page 128 - Sarrasins, était sous les murs ou aux environs de Tours, lorsqu'il apprit que les Francs s'avançaient à grandes journées. Ne jugeant pas à propos de les attendre dans cette position, dit M. Fauriel, il leva aussitôt son camp et recula jusqu'au voisinage de Poitiers, suivi de près par l'ennemi qui le cherchait.
Page 157 - Okba, le fit asseoir au milieu de l'assemblée et prit lui-même place au-dessous de lui. Quand tout le monde fut venu, Obeïd Allah fit appeler ses fils qui, en arrivant furent fort étonnés de tout ce qu'ils virent, ne soupçonnant pas où leur père en voulait venir. Obeïd Allah se leva alors avec dignité...
Page 450 - Remy à ceux qui le blâmaient, se conformer à la volonté d'un roi défenseur et propagateur de la foi catholique. Ses ordres n'étaient pas canoniques, sans doute; mais le chef des provinces, le gardien de la patrie, le triomphateur des nations l'avait commandé ! » L'aveuglement du clergé alla jusqu'à excuser ses actions sanguinaires, et Grégoire de Tours, après avoir raconté plusieurs de ses crimes, dit sans transition : « Dieu prosternait ses ennemis devant lui, parce qu'il marchait...
Page 156 - Allah était entouré d'une compagnie nombreuse au moment où Okbah parut en sa présence, et pour lui faire honneur, il le fit asseoir avec lui sur le même coussin. Le gouverneur avait des fils présents à cette réception ; c'étaient des jeunes gens pleins d'arrogance et de présomption; ils furent choqués de voir leur père, le second personnage de l'empire , traiter avec tant de distinction un homme que, suivant eux, il aurait suffisamment honoré d'un de ses regards. Ils murmurèrent et...
Page 352 - Ces considérations le déterminèrent aisément à traiter l'Aquitaine comme il avait traité l'Italie , à en faire ce qu'il avait fait de celle-ci, un royaume particulier, portion intégrante de l'empire, mais y ayant une existence personnelle, une destination propre, celle de résister aux invasions des Arabes andalousiens et de les resserrer le plus possible sur le sol de la Péninsule. C'était là, en quelque sorte, rendre à ce pays sa tâche première comme duché indépendant; c'était...
Page 127 - Mais donnez-leur le temps de se refroidir, de s'encombrer de butin et de prisonniers, de prendre goût aux belles demeures et aux aises de la vie , de se disputer à l'envi le commandement; et à leur premier revers ils sont à nous.
Page 250 - ... et la plus variée dans ses incidents; mais les chroniques franques, toujours grossièrement partiales en faveur des Carlovingiens contre les descendants de Charibert, ne l'ont été nulle part autant que dans le récit de cette même lutte. Elles ont dissimulé de leur mieux, d'un côté, les courageux efforts et les succès passagers de Waifre, de l'autre, les échecs partiels de Pépin ; si bien qu'à les prendre à la lettre, et à n'y pas supposer de réticence, on a de la peine à concevoir...
Page 52 - Toute ville soumise par les Arabes leur payait un tribut de guerre annuel , nommé kharadj , tribut qui variait du dixième au cinquième du revenu des terres et des immeubles. Toutes les armes et tous les chevaux des habitants devaient être aussitôt mis à la disposition des vainqueurs. Les biens de tous ceux qui avaient fui de la ville assiégée , où qui avaient été tués pendant sa défense, étaient saisis au profit du fisc musulman.
Page 471 - fût arraché de sa présence, jeté dans un chariot rempli d'épines « et conduit en exil. « Ne savais-tu donc pas, lui dit-il, qu'il ya « au-dessus de vous autres (prêtres) un des fils du roi Clotaire « pour maintenir ce qu'a fait son père?...