Mémoires de la régence du duc d'Orléans, durant la minorité de Louis XV, roi de France, Volume 2 |
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affaires affez affurer aiant ainfi Alberoni Arrêt auffi auroit avoient avoit Banque Billets de l'Etat Bretagne c'eft Cardinal caufe Cellamare cent chofes Compagnie Comte conferver confidérable d'Espagne Déclaration deniers devoit Duc d'Orléans Duc Régent Ducheffe Edit enfuite envoia Espéces Etats étoient étoit faifoit fans fent fentimens fept Fermes Générales feroit fervice fervir feulement fieur foient foit fomme font fous fuivant fujet Généraux Guerre Indes inftances jufte Juftice l'Empereur laiffa Lettres Madrid Majefté Marc Matieres Meffieurs ment mille livres Millions Minif Miniftre moiens mois Monfieur Monnoies n'eft Nancré néceffaire Nobleffe ordonné ordre paffer pagne Païs Paix Parlemens Parlement perfonne plufieurs pouvoit pré préfent Préfident Prince Prince de Cellamare Province Puiffances raifons reçûës réfolu refte Remontrances rent Roiale Roiaume s'étoit Sardaigne Sicile Sire tems tion toûjours Traité de Londres Traitez d'Utrecht vingt vûë دو دو دو رو ود وو
Popular passages
Page 185 - Le publiera ressenti aucun fruit, ni de l'augmentation des monnoies, ni de la taxe des gens d'affaires. On exige cependant les mêmes tributs que le feu roi a exigés pendant le fort des plus longues guerres : mais dans le temps que le roi tiroit d'une main, il répandoit de l'autre, et cette circulation faisoit subsister les grands et les peuples.
Page 330 - Transporté de joie > il court à l'infant chez fon Maître, pour lui demander fon congé. Comme il entroit , un ami de la maifon le pria de lui chercher un bon Cocher. Je fuis dans le même embarras que vous , répondit cet homme je penfe à en chercher un pour moi, tel que vous me le demandez j & charité bien ordonnée commence par foi même.
Page 374 - Février , portoit défenfes à tous Orfèvres & autres Ouvriers en . Or & en Argent , de fabriquer ou vendre aucun ouvrage d'or , excédant le poids d'une once, excepté les Croix des Ecclefiaftiques , & des Chevaliers des Ordres du Roi: de faire ni de vendre des...
Page 184 - Les enfants qui commencent à ouvrir les yeux en pénètrent les motifs; il n'en est point qui ne voie que l'on sacrifie le véritable intérêt de la nation à une • espérance que l'on ne peut supposer sans crime, et qu'on ne peut envisager sans horreur.
Page 225 - gne un terme de trois mois , du «• jour de la Signature du Traité , « pour accepter les conditions qui lui « ont été offertes , que toutes les Par- * ties Contradantes garantiflent & « s^engagent à faire exécuter, «' VI. Comme il ne feroit pas *• jufte , que la Paix de l'Europe dé...
Page 311 - ... les horreurs d'une guerre, dont il n'a déjà que trop éprouvé les dangers. Mes peuples...
Page 160 - ... & que nos ouvriers perdent courage, sans épargner, ni le temps, ni les offres , ni l'argent Si Nous...
Page 217 - Mais il afluroit en même-temps que fon Maître ne fe défifteroit jamais de fon entreprife , & il n'avoit pas honte de rejetter fur lui le blâme de fa propre inflexibilité. Enfin , SA Majefté lui fit dire au mois de Juin dernier , que l'amour qu'Elle doit à fes peuples, & qui doit prévaloir à tout autre lentiment, lui défendoit de différer davantage à ligner le Traité avec l'Empereur & le Roi de la Grande-Bretagne.
Page 178 - ... même silence, parce que nous aurions mieux aimé mille fois mourir que de troubler le repos de la France, et d'inquiéter le reste de l'Europe, quoique les lois fondamentales de ce royaume nous en donnent l'administration, préférablement à lui.
Page 199 - Savoye, qui affura que l'Empereur ne s'en éloigneroit pas. Après la fignature du traité de Bade , le Roi chargea le Maréchal de Villars (¿) de fuivre avec le .Prince Eugène le même objet. Et...