Le Censeur européen, ou, Examen de diverses questions de droit public: et de divers ouverages littéraires et scientifiques, considérés dans leurs rapports avec les progrès de la civilisation, Volume 3

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Bureau de l'administration, 1817 - France
 

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Popular passages

Page 173 - Bonaparte s'en empare et la fait exercer par ses agens. Les projets de lois étaient soumis à une discussion publique : Bonaparte ordonne que les séances de son sénat seront secrètes, et que le corps législatif fera la loi en statuant par scrutin secret, et sans aucune discussion de la part de ses membres. Il crée un corps, appelé
Page 151 - doive pas être faite , le roi prendra sur-le-champ des mesures, pour faire cesser ou prévenir toutes, hostilités; les ministres demeurent responsables des délais. » Si le corps législatif trouve que les hostilités commencées sont une aggression coupable de la part des ministres ou de
Page 203 - qui tendent à augmenter dans chacun l'activité à produire, et le respect pour la production d'autrui. . . » 7°. Que toute l'espèce humaine ayant un but et des intérêts communs, chaque homme doit se considérer uniquement, dans les rap*ports sociaux , comme engagé dans une compagnie de travailleurs.
Page 164 - avec moi La police découvrit de petites menées royalistes, dont le foyer était au-delà du Rhin. Une tête auguste s'y trouvait impliquée. Toutes les circonstances de cet événement cadraient d'une manière incroyable avec celles qui me portaient à tenter un coup d'état. La perte du duc d'Enghien décidait la question qui
Page 154 - Cette politique de tout juger par la force , a fait la règle de sa conduite dans toutes les circonstances. Il n'ya plus qu'un secret pour mener le monde, dit-il, c'est d'être fort ; parce qu'il n'ya dans la force ni erreur, ni illusion ; c'est le vrai mis à
Page 318 - MÉMOIRES pour servir à l'histoire de la guerre entre la France et la Russie en 1812 , avec un atlas militaire ; par un officier de l'état-major de l'armée française.
Page 151 - ne peut être décidée que par un décret du corps législatif, rendu sur la proposition formelle et nécessaire du roi , et sanctionnée par lui.
Page 45 - fallait donc que je fusse le plus fort de toute nécessité , car je n'étais pas seulement chargé de gouverner la France , mais de lui soumettre le monde : sans quoi le monde l'aurait anéantie. » Je n'ai jamais eu de choix dans les partis que j'ai pris : ils ont toujous été commandés par les événemens ; parce que le danger était toujours
Page 13 - Ma naissance me destinait au service : c'est pourquoi j'ai été placé dans les écoles militaires. J'obtins une lieutenance au commencement de la révolution. Je n'ai jamais reçu de titre avec autant de plaisir que celui-là. Le comble de mon ambition se bornait alors à porter un jour une
Page 72 - corporations avec des intérêts : parce que les intérêts sont ce qu'il ya de plus réel dans ce monde. •; . *> J'ai fait des lois dont l'action était immense, mais uniforme. Elles avaient pour principes le maintien de l'égalité. Elle est si fortement empreinte dans ces codes, qu'ils suffiront seuls pour la conserver. » J'instituai une caste intermédiaire. Elle

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