Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou Bibliotheque de l'homme-d'état et du citoyen; |
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... étoit permis à perfonne d'attenter à fa vie , & l'Etat flétriffoit la mémoire de ceux qui le faifoient . Les Athéniens dégradoient auffi la mémoire de celui qui s'étoit privé volontairement de la vie . On lui coupoit la main qui avoit ...
... étoit permis à perfonne d'attenter à fa vie , & l'Etat flétriffoit la mémoire de ceux qui le faifoient . Les Athéniens dégradoient auffi la mémoire de celui qui s'étoit privé volontairement de la vie . On lui coupoit la main qui avoit ...
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... étoit donc le fentiment de cette ville célébre tant vantée par l'Orateur Romain ( c ) , que l'intérêt feul de la République peut empê- cher un homme de fe tuer . Les Druides Gaulois croyoient l'immortalité de l'ame , & cette doctrine ...
... étoit donc le fentiment de cette ville célébre tant vantée par l'Orateur Romain ( c ) , que l'intérêt feul de la République peut empê- cher un homme de fe tuer . Les Druides Gaulois croyoient l'immortalité de l'ame , & cette doctrine ...
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... étoit donc peut - être , de la part de ces an ciens Perfes , qu'expofer leur vie pour le fervice du Prince , & au péril de leurs propres jours , fauver les fiens , ce qui eft permis & même com- mandé . Il y a fans doute quelque chofe de ...
... étoit donc peut - être , de la part de ces an ciens Perfes , qu'expofer leur vie pour le fervice du Prince , & au péril de leurs propres jours , fauver les fiens , ce qui eft permis & même com- mandé . Il y a fans doute quelque chofe de ...
Page 15
... étoit propofée n'étoit pas de périr , c'étoit de fervir l'Etat , d'obéir au Prince , de faire plaifir à un ami . Il n'eft point de tendreffe plus parfaite ( difent les livres faints ) , que celle qui fait facri- fier fa vie à fes amis ...
... étoit propofée n'étoit pas de périr , c'étoit de fervir l'Etat , d'obéir au Prince , de faire plaifir à un ami . Il n'eft point de tendreffe plus parfaite ( difent les livres faints ) , que celle qui fait facri- fier fa vie à fes amis ...
Page 25
... étoit établie dans Conftance ; déjà l'Évêque & la plupart des Chanoines avoient abandonné la ville , qui s'étoit liée par une com- bourgeoisie avez Zurich & Berne , pour fe foutenir dans leur nouvelle pro- feffion de foi . L'iffue de la ...
... étoit établie dans Conftance ; déjà l'Évêque & la plupart des Chanoines avoient abandonné la ville , qui s'étoit liée par une com- bourgeoisie avez Zurich & Berne , pour fe foutenir dans leur nouvelle pro- feffion de foi . L'iffue de la ...
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Common terms and phrases
affemblée affez affurer ainfi auffi auroit avoient avoit befoin c'eft C'eſt caufe ceffe chofes circonftances citoyens Cofaques commerce Confeil confentement conféquent conferver confidérable confifte Conftantin Conftantinople conftitution Confuls connoiffance connoître Corfes corps Corvées Crédit Crimes dépenfes difpofition doit efpece efprit enfuite eſt Etat étoient étoit fage fans doute fe trouve feconde fecours felon femblables femble fentiment feroient feroit fervice fervir feul fiecle fignes fimple fociété foient foin foit fommes font fous fouvent fuccès fuivant fujets fur-tout fureté général Génois gouvernement habitans hommes jufqu'à jufte juftice l'efprit l'Etat l'Ifle l'ufage laiffer lefquels loix lorfqu'il lorfque Magiftrats Majefté maniere mauvaiſe Miniftre n'eft n'étoit nation naturelle néceffaire néceffité négocians négociant obferver paffer paffions particuliere penfer perfonne peuple plaifir plufieurs Podeftats poffible Pologne pourroit préfent prefque premiere Prince propofer public puiffance puiffe raifon reffources refpect refte République République de Gênes richeffes Romains Rome Souverain terre tion ufage
Popular passages
Page 317 - Car tel eft notre plaifir ; & afin que ce foit chofe ferme & ftable à toujours , nous y avons fait mettre notre fcel. Donné à Verfailles , au mois de Janvier , Tau de grâce mil fept cent foixante-dix-fept, & de notre règne le troifieme.
Page 303 - A ces caufes , & autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre confeil & de notre •certaine fcience, pleine puiffance & autorité royale, nous...
Page 412 - Celui-là chez eux est sobre et modéré qui ne s'enivre que de vin; l'usage trop fréquent qu'ils en ont fait le leur a rendu insipide, ils cherchent à réveiller leur g'oût déjà éteint par des eaux-de-vie et par toutes les liqueurs les plus violentes; il ne manque à leur débauche que de boire de l'eau-forte.
Page 368 - CAR tel eft notre plaifir ; en témoin de quoi nous avons fait mettre notre fcel à cefdites Préfentes. DONNÉ à Verfailles le premier jour du nuis de Février , l'an de grâce mil fept cent foixame-feize , & de notre règne le fécond. Signe'.
Page 368 - CAUSES & autres à ce Nous mouvant, de l'avis de notre Confeil & de notre certaine fcience, pleine puiflance & autorité Royale , nous avons dit , déclaré & ordonné , & par ces Préfentes fignées de notre main.
Page 110 - ROI. lOUIS par la grâce de Dieu Roi de France & de Navarre: A tous ceux qui ces préfentes Lettres verront, Salut.
Page 412 - Ces peuples, d'ailleurs, ont leur dieu et leur roi : les grands de la nation s'assemblent tous les jours, à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église. Il ya au fond de ce temple un autel consacré à leur dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables. Les grands...
Page 412 - Qui considérera que le visage du prince fait toute la félicité du courtisan , qu'il s'occupe et se remplit pendant toute sa vie de le voir et d'en être vu , comprendra un peu comment voir Dieu peut faire toute la gloire et tout le bonheur des saints.
Page 111 - Royale , nous avons par ces préfentes fignées de notre main , dit , déclaré & ordonné , difons , déclarons & ordonnons , voulons & nous plaît ce qui fuit : ARTICLE PREMIER.
Page 17 - Les plaisirs, pris sans modération, abrègent plus les jours des hommes que les remèdes ne peuvent les prolonger. Les pauvres sont moins souvent malades faute de nourriture, que les riches ne le deviennent pour en prendre trop. Les alimens qui flattent trop le goût, et qui font manger au-delà du besoin, empoisonnent au lieu de nourrir.