Nouvelle chronique de la ville de Bayonne, Volumes 1-2

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Duhart-Fauvet, 1827 - Bayonne (France) - 489 pages
 

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Popular passages

Page 461 - A CES CAUSES, et autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre Conseil et de notre certaine...
Page 326 - ... Espagne ne sont attribuées qu'au roi seul. On ne conçoit pas ce que voulait faire Napoléon , avec ces signes extérieurs d'affection et de demi-reconnaissance , au moment même où le dénoûment de cette trame allait tout éclaircir : ces simulacres n'étaient propres qu'à aggraver ses torts. A peine le prince était rentré chez lui , que le général Savary vint lui faire part des intentions de Napoléon sur la cession du trône d'Es.pagne (i).
Page 493 - Paris, que ces présentes ils aient à faire lire, publier et registrer : et le contenu en icelles garder, observer et exécuter de point en point, selon leur forme et teneur : car tel est notre plaisir : en témoin de quoi nous avons fait mettre notre scel a cesdites présentes.
Page 493 - Si donnons en mandement à nos amés et féaux conseillers les gens tenant notre cour de parlement à Paris , que ces présentes ils aient à faire lire , publier et registrer , et le contenu en icelles...
Page 153 - ... mille familles , le long de notre côte et frontière de Biscaye, près notre ville de Bayonne ; nous avons résolu de les en tirer et mettre à leur choix d'entrer plus avant au dedans de notre royaume , qui est l'habitation que doivent prendre ceux qui veulent s'y réfugier , et non aux frontières , ni même près des forteresses qui en sont les clefs et principale entrée , comme est notre ville de Bayonne.
Page 493 - Car tel est notre plaisir, en témoin de quoi nous avons fait mettre notre scel à ces présentes. Donné à Versailles, le septième jour du mois de février, l'an de grâce mil sept cent soixante-trois , et de notre règne le quarante-huitième.
Page 331 - Il affectionnait beaucoup les promenades sur l'Adour du coté du Boucau. Jamais il n'annonçait ni l'heure ni le lieu de ses excursions, affectant même de les varier beaucoup, et de rentrer dans son palais par les chemins où il se croyait le moins attendu. Quelquefois le matin , de bonne heure , il gagnait seul , et comme à la dérobée , les allées voisines de son appartement...
Page 328 - ... s'y tint avec ce calme et cette aisance' dans les manières qui naissent de l'habitude du commandement , et qui lui conviennent si bien. On voyait un homme qui se sentait roi partout où il était. Il salua les Français comme il aurait fait sa famille. On fut frappé de la hauteur de sa stature , de l'air de bonté empreint sur sa figure , de la rondeur de ses manières ; la teinte de son visage et de ses cheveux , le caractère de ses traits et de sa physionomie retraçaient tout-àfait la...
Page 39 - Assisté d'un cer• tain nombre d'échevins et d'un clerc assesseur, il jugeait » en première instance les causes des bourgeois et de » leurs serviteurs, tant au civil qu'au criminel.
Page 146 - Les filles, les femmes mariées , les veuves , les jeunes et les vieilles, portent des habits difFérens, soit dans les cérémonies funèbres, soit dans celles des noces, soit aux processions. Leurs tailleurs ne sont que pour leur usage et pour celui du pays de Labourd : si l'on...

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